Sliver de Phillip Noyce (1993)
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le DVD Z2 UK arrive dans une édition "Uncut" à 5,99 £, pour le 7 aout 2006. Pas d'indication de format visible (en espérant qu'il s'agisse d'une version Widescreen). durée annoncée : 105 mn.
Oh really? Well then I'm sure you wouldn't mind giving us a detailed account of exactly how you concocted this miracle glue, would you ?
Après Sliver et Basic Instinct 2, c'est à se demander si l'on assiste pas à la naissance d'un nouveau courant : la sharonstonexploitation à travers les âges...
Plus sérieusement, ce que j'ai retenu de Sliver, c'était une scène un peu chaude contre le pilier, et des couleurs, une lumière plutôt réussies, mais c'est tout...Et c'est le pire frère Baldwin qu'on pouvait choisir.
Plus sérieusement, ce que j'ai retenu de Sliver, c'était une scène un peu chaude contre le pilier, et des couleurs, une lumière plutôt réussies, mais c'est tout...Et c'est le pire frère Baldwin qu'on pouvait choisir.
- DPG
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Euh, autant Daniel m'est très sympathique ds les chefs d'oeuvre que sont "Vampires" et "Harley Davidson & Malboro man" (surtout celui là pr les chefs d'oeuvre d'ailleurs ) autant là comme gars censé séduire Sharon Stone au top du glamour, je suis pas sûr que ça aurait collé à fondarsenium a écrit :...Et c'est le pire frère Baldwin qu'on pouvait choisir.
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"J'ai essayé de me suicider en sautant du haut de mon égo. J'ai pas encore atteri... "
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Tiens, ça me rappel qu'il faillait que je mette quelques chose au clair concernant les frères Baldwin !
Donc, ils sont bien 4 :
Alec Baldwin
William Baldwin (ou Billy Baldwin)
Daniel Baldwin
Stephen Baldwin
Et donc, vous aurez noté qu'Adam Baldwin n'est pas ...... un Baldwin !
Ouf, une bonne chose de faite !
Donc, ils sont bien 4 :
Alec Baldwin
William Baldwin (ou Billy Baldwin)
Daniel Baldwin
Stephen Baldwin
Et donc, vous aurez noté qu'Adam Baldwin n'est pas ...... un Baldwin !
Ouf, une bonne chose de faite !
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Mais quel enfoiré.DPG a écrit :Euh, autant Daniel m'est très sympathique ds les chefs d'oeuvre que sont "Vampires" et "Harley Davidson & Malboro man" (surtout celui là pr les chefs d'oeuvre d'ailleurs ) autant là comme gars censé séduire Sharon Stone au top du glamour, je suis pas sûr que ça aurait collé à fondarsenium a écrit :...Et c'est le pire frère Baldwin qu'on pouvait choisir.
Rappel du bonhomme :
Wishmaster, tout comme "The Relic", n'est pas le film du siècle.
Re: Sliver de Phillip Noyce (1993)
Attention le BR dispo en France ferait sauter les fesses de Baldwin. A confirmer mais apparemment, comme pour "presidio", il semblerait qu'il s'agisse d'une version tronquée.
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Re: Sliver de Phillip Noyce (1993)
Naaaaaaaaaaaaaan
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Re: Sliver de Phillip Noyce (1993)
mais que fait Jean Tulard?
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Re: Sliver de Phillip Noyce (1993)
le BD US est déjà sujet à caution, puisqu'à nouveau disponible en 2.10:1 et un mixage en DTS HD MA 2.0 .
Ce qui indiquerait que nous aurions eu droit au master cut US (la version sortie au cinéma sur le territoire américain) pour la HD et non pas au montage Uncut présent sur le dvd de 2006?
la durée française annoncée est de 1h48 pour le BD ( 1h46 pour le BD US)
il va falloir vérifier nos copies LD et DVD (pour les puristes du film s'entend!)
Ce qui indiquerait que nous aurions eu droit au master cut US (la version sortie au cinéma sur le territoire américain) pour la HD et non pas au montage Uncut présent sur le dvd de 2006?
la durée française annoncée est de 1h48 pour le BD ( 1h46 pour le BD US)
il va falloir vérifier nos copies LD et DVD (pour les puristes du film s'entend!)
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Re: Sliver de Phillip Noyce (1993)
Je crois que c'est le genre de coupes, que l'on remarque très vite sans vraiment avoir besoin de ressortir d'anciens supports enfin si quelqu'un a le BR!
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Re: Sliver de Phillip Noyce (1993)
Revu sur Paramount +
Il est au format 2.1:1, ce qui lui confère dès le début un aspect très curieux, comme si le visage de Naomi Singer était allongé. Très bizarre. Il semble également Uncut, puisqu'on y retrouve toutes les scènes chaudes, les scènes où le couteau transperce à plusieurs reprises le ventre de (honnêtement, je pense n'avoir jamais vu cette scène aussi longue!).
Pour le film, ça reste aussi pour moi un plaisir coupable d'un film malade. Réécrit en cours de route, re-filmé , avec 5 fins différentes écrites et un sabordage complet du bouquin d'origine. il ne reste au final pas grand chose de l'intrigue concoctée par Ira Levin (et le final, totalement annihilé). A noter que la fin présente n'a pas été approuvée par Joe Esztheras, puisque pas écrite par ses soins. Nombre de plans ont été abandonnés
Que rest-t-il? une photographie ultra-classe, un sens du cadre évident tout comme de la composition des plans. Une réflexion intéressante sur le voyeurisme et la présence envahissante de caméras qui scrutent l'intimité. Et évidemment, Sharon Stone, en lumière pendant tout le film. Ses scènes érotiques sont hyperconvaincantes, malgré le fait qu'elle ne s'entendit pas du tout avec William Baldwin et que Noyce dut les séparer le plus possible. Ca ne se remarque pas du tout l'écran tant leurs scènes chaudes sont (il faut bien le dire) excitantes et complices.
Le thriller erotico-psychologique tire évidemment sur Basic Instinct mais, du fait de réécritures, se révèle maladroit et disjoint. Un manque de logique, aussi malgré plusieurs visions, les motivations du tueur me paraissent toujours aussi peu crédibles).
Le personnage de Baldwin s'avère le plus intéressant, un mélange de prédateur rampant et de fils de riche couvé et malade, mais of course très séduisant dans son approche verbale et corporelle. Berenger semble hélas peu développé. Il y a bien quelques seconds rôles qui tentent d'exister (Collen Camp, Martin Landau), mais c'est hélas peu intéressant.
Maiiiis j'y prend toujours un petit plaisir à le revoir régulièrement. #plaisircoupable
le film avait été évidemment massacré par la critique de l'époque , et reste comme un marqueur post-Basic Instinct et de la ribambelle d'imitations qui suivirent.
Il avait toutefois joliment marché avec ses 1 288 599 entrées françaises 20e plus gros succès de 1993.
Il est au format 2.1:1, ce qui lui confère dès le début un aspect très curieux, comme si le visage de Naomi Singer était allongé. Très bizarre. Il semble également Uncut, puisqu'on y retrouve toutes les scènes chaudes, les scènes où le couteau transperce à plusieurs reprises le ventre de
Spoiler : :
Pour le film, ça reste aussi pour moi un plaisir coupable d'un film malade. Réécrit en cours de route, re-filmé , avec 5 fins différentes écrites et un sabordage complet du bouquin d'origine. il ne reste au final pas grand chose de l'intrigue concoctée par Ira Levin (et le final, totalement annihilé). A noter que la fin présente n'a pas été approuvée par Joe Esztheras, puisque pas écrite par ses soins. Nombre de plans ont été abandonnés
Que rest-t-il? une photographie ultra-classe, un sens du cadre évident tout comme de la composition des plans. Une réflexion intéressante sur le voyeurisme et la présence envahissante de caméras qui scrutent l'intimité. Et évidemment, Sharon Stone, en lumière pendant tout le film. Ses scènes érotiques sont hyperconvaincantes, malgré le fait qu'elle ne s'entendit pas du tout avec William Baldwin et que Noyce dut les séparer le plus possible. Ca ne se remarque pas du tout l'écran tant leurs scènes chaudes sont (il faut bien le dire) excitantes et complices.
Le thriller erotico-psychologique tire évidemment sur Basic Instinct mais, du fait de réécritures, se révèle maladroit et disjoint. Un manque de logique, aussi malgré plusieurs visions, les motivations du tueur me paraissent toujours aussi peu crédibles).
Le personnage de Baldwin s'avère le plus intéressant, un mélange de prédateur rampant et de fils de riche couvé et malade, mais of course très séduisant dans son approche verbale et corporelle. Berenger semble hélas peu développé. Il y a bien quelques seconds rôles qui tentent d'exister (Collen Camp, Martin Landau), mais c'est hélas peu intéressant.
Maiiiis j'y prend toujours un petit plaisir à le revoir régulièrement. #plaisircoupable
le film avait été évidemment massacré par la critique de l'époque , et reste comme un marqueur post-Basic Instinct et de la ribambelle d'imitations qui suivirent.
Il avait toutefois joliment marché avec ses 1 288 599 entrées françaises 20e plus gros succès de 1993.
Oh really? Well then I'm sure you wouldn't mind giving us a detailed account of exactly how you concocted this miracle glue, would you ?
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Re: Sliver de Phillip Noyce (1993)
Jamais vu le film mais je me souviens encore de la vidéo/chanson qui tournait en boucle à l'époque..:Superwonderscope a écrit : ↑dim. janv. 07, 2024 12:26 pmIl avait toutefois joliment marché avec ses 1 288 599 entrées françaises 20e plus gros succès de 1993.
https://www.youtube.com/watch?v=vUdloUq ... l=UB40VEVO