Rocky - John G. Avildsen - 1976
Modérateurs : Karen, savoy1, DeVilDead Team
L'image n'a jamais été aussi propre.
Je connaissais deja la plupart des bonus pour avoir l'édition précédente. Ceux-ci étaient excellents. Là, je viens d'entamer le commentaire de Stallone. Il s'appuie sur les personnages, les thèmes abordés, le travail mise en scène, les anecdotes liés à une production fauchée. Bref, passionnant. Stallone sera demain soir à Paris pour présenter Rocky Balboa. Encore quelques jours de patience... Emotion !
Je connaissais deja la plupart des bonus pour avoir l'édition précédente. Ceux-ci étaient excellents. Là, je viens d'entamer le commentaire de Stallone. Il s'appuie sur les personnages, les thèmes abordés, le travail mise en scène, les anecdotes liés à une production fauchée. Bref, passionnant. Stallone sera demain soir à Paris pour présenter Rocky Balboa. Encore quelques jours de patience... Emotion !
Il y a un p'tit détail qui me chiffonne
- rusty james
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Ca donne quoi?
meilleure image mais leger recadrage apparement...
http://www.dvdrama.com/rw_fiche-7362-.php
Je pensais naivement qu'ils allaient ressortir l'ensemble du coffret en version remasterisé... j'ai attendu pour rien je crois...
- Cyber Jason
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Après avoir vu le magnifique ROCKY BALBOA, je file ni une ni deux chez mon marchand de journaux pour m'acheter ce fameux coffret 5 dvd!
Et là HORREUR ET ARNAQUE
Le dvd de ROCKY 1 qui est censé correspondre à celui du 25 ème anniversaire ne comporte aucun bonus! Ils ont mis la première édition dvd, avec une image pas terrible!
Je l'ai rendu et j'ai constaté avec mon buraliste que c'est tout le stock qui est contaminé!
Que puis-je faire et à qui dois-je m'adresser?
Et là HORREUR ET ARNAQUE
Le dvd de ROCKY 1 qui est censé correspondre à celui du 25 ème anniversaire ne comporte aucun bonus! Ils ont mis la première édition dvd, avec une image pas terrible!
Je l'ai rendu et j'ai constaté avec mon buraliste que c'est tout le stock qui est contaminé!
Que puis-je faire et à qui dois-je m'adresser?
Derriere chaque E.T se cache un PREDATOR!
http://scary-movies.forumactif.com/
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- Cyber Jason
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Le problème c'est que quand on a pas la chance d'habiter une grande ville on a pas forcément une FNAC!
Donc j'ai toujours le coffret, on a pas pu me l'échanger, mais bon je crois que l'éditeur du dvd c'est MGM c'est ça?
Donc j'ai toujours le coffret, on a pas pu me l'échanger, mais bon je crois que l'éditeur du dvd c'est MGM c'est ça?
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-
- Messages : 235
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Je ressort ce vieux thread parce que je viens d'acheter non pas le coffret mais le film "Rocky" à l'unité qui vient de sortir, en édition collector...
Et j'ai l'impression qu'il y a un gros problème sur la piste en VO, on entend vachement les dialogues et quasiment pas la musique, c'est flagrant lors du combat final, ce qui est évidemment....un peu contrariant !
Est-ce que d'autres on eu ce problème ?
Et j'ai l'impression qu'il y a un gros problème sur la piste en VO, on entend vachement les dialogues et quasiment pas la musique, c'est flagrant lors du combat final, ce qui est évidemment....un peu contrariant !
Est-ce que d'autres on eu ce problème ?
- Mercador
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- Inscription : ven. avr. 30, 2004 8:31 am
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Re: Rocky - John G. Avildsen - 1976
Rocky en version musicale bientôt à Broadway !!!
Si ça cartonne, je suis sûr qu'ils nous feront Rambo ensuite !!!
Si ça cartonne, je suis sûr qu'ils nous feront Rambo ensuite !!!
- Romain
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- Inscription : mar. juin 08, 2004 11:29 pm
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Re: Rocky - John G. Avildsen - 1976
Tiens, je viens de lire le post de la grenouille... Pareil pour le DVD (musique trop absente) et c'est pire pour le blu-ray! J'entends pas les bruitages des coups de poing!
Visitez le site www.jaws-3d.com !
- Lord Taki
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Re: Rocky - John G. Avildsen - 1976
Toujours un plaisir de replonger dans la saga Rocky.
Plus subtil qu'on ne le croit le film offre en conclusion un très beau je t'aime porté par la musique fanfare de Bill Conti. C'est simple je chiale.
J'adore.
Plus subtil qu'on ne le croit le film offre en conclusion un très beau je t'aime porté par la musique fanfare de Bill Conti. C'est simple je chiale.
J'adore.
- Romain
- Messages : 4227
- Inscription : mar. juin 08, 2004 11:29 pm
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Re: Rocky - John G. Avildsen - 1976
Je chiale pendant tous les ROCKY!!! Dieu que cette saga est belle!!!C'est simple je chiale
Visitez le site www.jaws-3d.com !
Re: Rocky - John G. Avildsen - 1976
Je l'ai revu il y a deux jours, j'ai encore pleuré comme un bébé. C'est parti pour les suites, c'est pas possible autrement. Quelle merveille!
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- Teurk le Sicaire
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- Inscription : dim. mars 20, 2005 2:54 pm
Re: Rocky - John G. Avildsen - 1976
Découvrir de nos jours le tout premier Rocky en ayant en tête ses 3ème et 4ème opus est assez semblable à un visionnage de Rambo First Blood quand on ne connait que ses suites. Ou comment la cristallisation d'un personnage mythique dans la culture populaire se fait au détriment de son récit originel. Loin d'être un simple film de sport, Rocky s'avère plus proche du drame, avec son personnage hanté par les perspectives d'une vie de raté au milieu des masses populaires et des faubourgs en ruine de Philadelphie. Boxeur qui a loupé le coche, désavoué par l'entraineur de son club miteux, réduit à être la petite frappe d'un mafieux de bas étage, en galère pour tenter d'accrocher le regard d'une vendeuse quasi-autiste, on est à mille lieux des fastes et du clinquant des opus à venir : la misère est partout, sociale, intellectuelle, affective, matérielle et urbaine. Faut voir la gueule de l'appartement de Rocky pour mesurer le niveau de détresse !
La seule porte de sortie n'est finalement pas le sport, l'opportunité d'affronter le champion n'étant dû qu'à un pur hasard, mais l'amour, seul élan suffisamment authentique pour donner un sens à la vie de ces deux amants qui se reconnaissent l'un à l'autre leur valeur d'être humain dans un univers déclassant. Et si l'entrainement est véritablement porteur d'une dynamique visible à l'écran, symbole de la remobilisation narcissique du personnage qui ne verse pas pour autant dans le triomphalisme (l'objectif n'est même pas de gagner), la survenue du match tant attendu s'avérerait presque décevante. On sent le manque de budget et les limites de compétence du réalisateur pour parvenir à mettre en scène de manière punchy cette confrontation (ce que les suites corrigeront) ; le défilé par ellipse des rounds fait ainsi l'impasse sur l'évolution psychologique d'Apollo Creed qui se cantonne à être un faire-valoir de l'histoire, savourant d'ailleurs sa victoire à l'arraché dans un coin de l'image tandis que Rocky hurlant le nom d'Adrian, cri du cœur malheureusement ringardisé par ses répétitions ultérieures, confirme bien l'enjeu exclusivement affectif de ce dépassement de soi qu'il a réalisé pour eux deux. Un exploit qu'il est donc intéressant de redécouvrir pour ce qu'il est réellement et non pour ce qu'il en reste aujourd'hui dans l'inconscience collectif.
La seule porte de sortie n'est finalement pas le sport, l'opportunité d'affronter le champion n'étant dû qu'à un pur hasard, mais l'amour, seul élan suffisamment authentique pour donner un sens à la vie de ces deux amants qui se reconnaissent l'un à l'autre leur valeur d'être humain dans un univers déclassant. Et si l'entrainement est véritablement porteur d'une dynamique visible à l'écran, symbole de la remobilisation narcissique du personnage qui ne verse pas pour autant dans le triomphalisme (l'objectif n'est même pas de gagner), la survenue du match tant attendu s'avérerait presque décevante. On sent le manque de budget et les limites de compétence du réalisateur pour parvenir à mettre en scène de manière punchy cette confrontation (ce que les suites corrigeront) ; le défilé par ellipse des rounds fait ainsi l'impasse sur l'évolution psychologique d'Apollo Creed qui se cantonne à être un faire-valoir de l'histoire, savourant d'ailleurs sa victoire à l'arraché dans un coin de l'image tandis que Rocky hurlant le nom d'Adrian, cri du cœur malheureusement ringardisé par ses répétitions ultérieures, confirme bien l'enjeu exclusivement affectif de ce dépassement de soi qu'il a réalisé pour eux deux. Un exploit qu'il est donc intéressant de redécouvrir pour ce qu'il est réellement et non pour ce qu'il en reste aujourd'hui dans l'inconscience collectif.