AKA Plaisirs pervers
Un an après Murderock, Lucio Fulci reprend du poil de la bête (dans tout les sens du terme) avec se thriller erotique qui tranche singulièrement dans sa filmographie.Une jeune fille séquestre le chrirurgien qu'elle tient pour responsable de la mort de son amant, et lui fait subir divers humiliations.
Après un début que perso, je trouve assez catastrophique (on dirait un porno soft made in Joe D'Amato !
), "Le miel du diable" prend sa vitesse de crosière et deviens, a partir de l'enlèvement du chirurgien, nettement plus intéréssant, tant sur le plan de la réalisation, beaucoup plus léchée, qu'au niveau du scénario, la relation ambigue se nouant entre la jeune fille et son otage (rappellant par ailleurs celle d'emmanuelle e françoise, en nettement moins trash cepenant) étant nettement plus intéréssant que les touches pipi crétins auxquels celle ci se livrait jadis avec son amant.En résumé, un film assez spéciale, qui ne manquera pas de surprendre les fans de Fulci version horreur pur et dure, mais au final assez chouette;
),ce "Miel du diable" surprend par son ambiance malsaine et désespérée,son utilisation habile du flash back et les excellentes prestations de Blanca Marsillach et Brett Halsey...un Fulci tout à fait méconnu,peut être son dernier bon film,et qui mérite amplement d'être (re)découvert (à quand une belle édition dvd??)
-, elle en tient pour responsable le chirurgien qui l'a opéré, le kidnappe et va lui faire subir les pires humiliations, le traitant en animal, nu et tenu en laisse. 
