The Washing Machine (1993) Ruggero Deodato
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The Washing Machine (1993) Ruggero Deodato
Intéressons nous aujourd’hui au cas « The washing machine », réalisé par l’homme qui nous a quand même donné le tip top « Cannibal Holocaust » et le convivial « The Barbarians » que j’attends toujours en DVD…
Le DVD est trouvable pour 1,99euros dans les GigaStore, magasins de la loose qui sentent le rotin mais qui me permettent de temps en temps de dégotter quelques bonnes daubes… Edition 16/9eme 1.77 (quand même !) avec VF only (ben oui faut pas pousser).
L’histoire angoissante et trippante
Vida (demoiselle censée être érectile dans le film mais, vu avec mes yeux, elle est vilaine et c’est tout) n’a pas de chance car Nikolai, son mâle, est un goujat de première et je le prouve sur l’instant : Rentrant de soirée, celui-ci lui offre en effet un bijou gravé au doux nom de Sissy. La boulette. Nikolai essaye bien de retrousser habillement la robe de Vida (comme on enlève un film plastique sur un steak de supermarché: la classe) pour lui faire oublier son erreur mais rien n’y fait, la vilaine est intraitable (comme Pierre Martinet) et refuse de changer de nom pour s’adapter au bijou. L’heureux couple arrive donc chez Vida en se frittant mais là, Nikolai se fait mettre à la porte rapidement par les 2 sœurs moins vilaines de la malheureuse cocu. Une soirée de merde. Mais cela tourne encore plus au drame lorsque l’une des 3 sœurs, la nuit venue, découvre le cadavre finement émincé de Nikolai dans la machine à laver familiale !!! Une machine à laver qu’il avait lui-même financé ! S’il avait su !!!
Les frangines appellent la police mais lorsque l’inspecteur Alexander Stacev arrive sur les lieux, le corps a disparu (saloperie de magie, elle a encore fait des siennes) et seuls subsistent les témoignages contradictoires et farfelus des 3 témouines (féminin de « témoin » inventé pour l’occasion)… Sans corps, pas d’enquête mais le brave inspecteur qui n’a rien demandé à personne va bientôt se faire harceler par les demoiselles à grands coups d’indices (réels ou factices), de sensualité à base de culotte rouge et de déclarations s’accusant les unes les autres…
La critique qui calme un ours
Je suis un grand naïf. Je vois « Ruggero Deodato » sur une jaquette, des filles à poil en photo, un titre étrange et je me dis connement « tiens, voilà un film pas prise de tête avec des filles à poil qui tuent des mecs et les lavent ensuite, c’est tout à fait pour moi »… Grand fan de lessive, j’achète bien entendu la chose et m’empresse de la matter. Et là, c’est le drame…
Nous sommes donc en présence d’un film qui n’a rien à voir avec l’idée stupide mais rigolote que je m’étais faite. Non. Deodato (je te retiens mon chacal) nous inflige là un pseudo thriller érotique d’un goût plus que douteux. D’abord, les filles. Dans un thriller érotique, il me semble assez jus d’essieu de prendre des actrices qui sont soit excitantes, soit charmantes (« qui possède du charme » : qualité rare et respectable). Là, pas de bol, on oscille gentiment entre la vilaine et la juste mignonne. Mais plus grave, le grand Deodato filme ses actrices comme s’il s’agissait d’un sandwich « le gaulois » à la rosette (ceux avec un stickers « star wars » dedans). Terrifiant. N’est pas Tinto Brass qui veut…
Outre le visuel et l’érotisme totalement raté de ce film, le scénario me semble des plus obscurs. En effet, le film nous dresse donc le portrait de 3 sœurs qui s’accusent entre elles et tentent de séduire le gentil flic benêt. On comprend bien qu’on nous prépare un twist final qui va nous calmer net mais franchement, on voit pas lequel. Alors on attend, on matte des fesses molles qui se frottent et on attend encore pour un final… audacieux ! Oui, c’est le mot. Il est en effet très audacieux de préparer un twist pendant 90 minutes et d’oser le foirer à ce point ! C’est limite respectable. Deadato a inventé le concept du dénouement à l’intérêt nul. Que dis-je ! L’intérêt négatif !
Vous l’avez donc compris, il est bon de ne pas voir ce film qui pèchent sur tous les plans (d’ailleurs en parlant de plans, c’est cadré par un nain qu’a la caméra greffé sur le bide, c’est n’importe quoi…) et ne parvient à nous contenter ni su le plan de l’érotisme (ultra-soft et supra-laid), ni sur le plan du thriller… Pour un thriller érotique, ça me semble difficilement pardonnable. On zappe.
Le DVD est trouvable pour 1,99euros dans les GigaStore, magasins de la loose qui sentent le rotin mais qui me permettent de temps en temps de dégotter quelques bonnes daubes… Edition 16/9eme 1.77 (quand même !) avec VF only (ben oui faut pas pousser).
L’histoire angoissante et trippante
Vida (demoiselle censée être érectile dans le film mais, vu avec mes yeux, elle est vilaine et c’est tout) n’a pas de chance car Nikolai, son mâle, est un goujat de première et je le prouve sur l’instant : Rentrant de soirée, celui-ci lui offre en effet un bijou gravé au doux nom de Sissy. La boulette. Nikolai essaye bien de retrousser habillement la robe de Vida (comme on enlève un film plastique sur un steak de supermarché: la classe) pour lui faire oublier son erreur mais rien n’y fait, la vilaine est intraitable (comme Pierre Martinet) et refuse de changer de nom pour s’adapter au bijou. L’heureux couple arrive donc chez Vida en se frittant mais là, Nikolai se fait mettre à la porte rapidement par les 2 sœurs moins vilaines de la malheureuse cocu. Une soirée de merde. Mais cela tourne encore plus au drame lorsque l’une des 3 sœurs, la nuit venue, découvre le cadavre finement émincé de Nikolai dans la machine à laver familiale !!! Une machine à laver qu’il avait lui-même financé ! S’il avait su !!!
Les frangines appellent la police mais lorsque l’inspecteur Alexander Stacev arrive sur les lieux, le corps a disparu (saloperie de magie, elle a encore fait des siennes) et seuls subsistent les témoignages contradictoires et farfelus des 3 témouines (féminin de « témoin » inventé pour l’occasion)… Sans corps, pas d’enquête mais le brave inspecteur qui n’a rien demandé à personne va bientôt se faire harceler par les demoiselles à grands coups d’indices (réels ou factices), de sensualité à base de culotte rouge et de déclarations s’accusant les unes les autres…
La critique qui calme un ours
Je suis un grand naïf. Je vois « Ruggero Deodato » sur une jaquette, des filles à poil en photo, un titre étrange et je me dis connement « tiens, voilà un film pas prise de tête avec des filles à poil qui tuent des mecs et les lavent ensuite, c’est tout à fait pour moi »… Grand fan de lessive, j’achète bien entendu la chose et m’empresse de la matter. Et là, c’est le drame…
Nous sommes donc en présence d’un film qui n’a rien à voir avec l’idée stupide mais rigolote que je m’étais faite. Non. Deodato (je te retiens mon chacal) nous inflige là un pseudo thriller érotique d’un goût plus que douteux. D’abord, les filles. Dans un thriller érotique, il me semble assez jus d’essieu de prendre des actrices qui sont soit excitantes, soit charmantes (« qui possède du charme » : qualité rare et respectable). Là, pas de bol, on oscille gentiment entre la vilaine et la juste mignonne. Mais plus grave, le grand Deodato filme ses actrices comme s’il s’agissait d’un sandwich « le gaulois » à la rosette (ceux avec un stickers « star wars » dedans). Terrifiant. N’est pas Tinto Brass qui veut…
Outre le visuel et l’érotisme totalement raté de ce film, le scénario me semble des plus obscurs. En effet, le film nous dresse donc le portrait de 3 sœurs qui s’accusent entre elles et tentent de séduire le gentil flic benêt. On comprend bien qu’on nous prépare un twist final qui va nous calmer net mais franchement, on voit pas lequel. Alors on attend, on matte des fesses molles qui se frottent et on attend encore pour un final… audacieux ! Oui, c’est le mot. Il est en effet très audacieux de préparer un twist pendant 90 minutes et d’oser le foirer à ce point ! C’est limite respectable. Deadato a inventé le concept du dénouement à l’intérêt nul. Que dis-je ! L’intérêt négatif !
Vous l’avez donc compris, il est bon de ne pas voir ce film qui pèchent sur tous les plans (d’ailleurs en parlant de plans, c’est cadré par un nain qu’a la caméra greffé sur le bide, c’est n’importe quoi…) et ne parvient à nous contenter ni su le plan de l’érotisme (ultra-soft et supra-laid), ni sur le plan du thriller… Pour un thriller érotique, ça me semble difficilement pardonnable. On zappe.
- eric draven
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- Inscription : ven. avr. 30, 2004 1:23 pm
- Localisation : Dans la beauté du sale, la beauté du mal, sous les croix en feu, violant, déféquant...
Excuse moi de te contredire mais Eric a toujours été un défenseur de cette machine à laver...
Certes, wahing machine est loin d'etre un chef d'oeuvre et l'histoire quelque peu foireuse n'est pas toujours trés claire. Certes l'interprétation est molle mais il y a ds ce film un je-ne-sais-quoi qui le rend à mes yeux presque fascinant car les reproches que tu lui fais en font son interet pour moi.
L'érotisme est laid mais justement cela le rend sale, glauque.. et la laideur de la photographie ajoute un coté malsain à l'atmosphère pervers ds lequel vivent ses trois soeurs nymphos et folles.
Au même titre que l'ingratitude physique des actrices ( qui moi m'attirent assez notamment la plantureuse Kashia Figura, sa tete de vieille et sale catin doublée d'une garce de première- Kashia qui a souvent joué des roles de putes y compris dans Navarro -) joue aussi sur ce coté glauque.
Le problème avec le film c'est que Deodato à force d'avoir voulu faire compliqué semble s'etre perdu lui même dans son film et le spectateur est qt a lui souvent largué entre ce qui est reve, fantasme et réalité.. La confusion regne et donc alourdit le film desagréablement. Mais le final est clair et donne le explications voulues.
Washing machine a aussi souffert d'un tournage et d'une production baclée dû a des imperatifs de temps, Deodato n'ayant pas pu faire ce qu'il voulait exactement, ce qu'il regrette aujourd'hui.
Mais au dela de ses défauts, ca reste un film honorable et si on se laisse aller un tant soit peu a penetrer cet univers pervers de fantasmes et de folie.. on peut apprecier ne serait ce qu'un peu.. Loin d'etre le ratage ou l'etron que certains y voient.
et il y a les yeux bleus de Philippe caroit... a defaut de se perdre dans la folie des soeurs on peut se perdre ds le bleu de ses yeux!
Par contre, le seul Deodato que je met à la poubelle ou enterre au plus profond des entrailles de la Terre.. c'est l'imbuvable Barbarians avec les grotesques freres Paul.. J'en prend un pour exploser l'autre.. a coté de ca, Thor est un chef d'oeuvre marrant LUI!!
Certes, wahing machine est loin d'etre un chef d'oeuvre et l'histoire quelque peu foireuse n'est pas toujours trés claire. Certes l'interprétation est molle mais il y a ds ce film un je-ne-sais-quoi qui le rend à mes yeux presque fascinant car les reproches que tu lui fais en font son interet pour moi.
L'érotisme est laid mais justement cela le rend sale, glauque.. et la laideur de la photographie ajoute un coté malsain à l'atmosphère pervers ds lequel vivent ses trois soeurs nymphos et folles.
Au même titre que l'ingratitude physique des actrices ( qui moi m'attirent assez notamment la plantureuse Kashia Figura, sa tete de vieille et sale catin doublée d'une garce de première- Kashia qui a souvent joué des roles de putes y compris dans Navarro -) joue aussi sur ce coté glauque.
Le problème avec le film c'est que Deodato à force d'avoir voulu faire compliqué semble s'etre perdu lui même dans son film et le spectateur est qt a lui souvent largué entre ce qui est reve, fantasme et réalité.. La confusion regne et donc alourdit le film desagréablement. Mais le final est clair et donne le explications voulues.
Washing machine a aussi souffert d'un tournage et d'une production baclée dû a des imperatifs de temps, Deodato n'ayant pas pu faire ce qu'il voulait exactement, ce qu'il regrette aujourd'hui.
Mais au dela de ses défauts, ca reste un film honorable et si on se laisse aller un tant soit peu a penetrer cet univers pervers de fantasmes et de folie.. on peut apprecier ne serait ce qu'un peu.. Loin d'etre le ratage ou l'etron que certains y voient.
et il y a les yeux bleus de Philippe caroit... a defaut de se perdre dans la folie des soeurs on peut se perdre ds le bleu de ses yeux!
Par contre, le seul Deodato que je met à la poubelle ou enterre au plus profond des entrailles de la Terre.. c'est l'imbuvable Barbarians avec les grotesques freres Paul.. J'en prend un pour exploser l'autre.. a coté de ca, Thor est un chef d'oeuvre marrant LUI!!
Je pourrais vous tuer mille fois jusqu'aux limites de l'éternité si l'éternité possédait des limites.
MES FILMS: http://sd-1.archive-host.com/membres/up ... lms_56.rtf
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- MadXav
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- Localisation : Sur la plage à latter des Ninjas rouges
Heureux que tu me contredises ! Je ne vois pas qui d'autre que toi pouvait défendre avec élégance ce film pour transformer ses défauts en forces et sa laideur en atouts !
Nous n'avons de toute évidence pas zyeuté la chose avec le même état d'esprit mais honnêtement, je suis pas sûr que Deodato ait eu dans l'idée de faire un film volontairement laid.
D'abord, ce film a été tourné 1 an après un certain Basic Instinct qui a quand même sérieusement lancé la vague de thriller érotiques sur le schéma "femmes ambigues / Corruption du flic par le sexe / dénouement inattendu". Ensuite on a l'impression que Deodato racole ferme en montrant pas moins de 3 soeurs + une aveugle, toutes à poil et frétillantes tour à tour. 4 physiques bien différents comme si le monsieurs voulait ratisser au plus large et faire plaisir aux spectateurs de tous poils... Je dirai que vu la maladroitesse des scènes, ça ne fonctionne pas du tout. Bref, ça c'est pour l'aspect visuel et ludique de la bête...
Maintenant sur le plan du scénar (attention, spoiler). C'est confut mais ca ne me gène pas plus que ça. Ce type de thriller est souvent bordélique, volontairement ou pas. Non, ce qui me gène plus, c'est son dénouement. Celui-ci est logique et compréhensible mais amène la question "Pourquoi ?" ou "Tout ça pour ça ?". En effet, le dénouement est bien présent mais ne justifie en aucun cas le reste du film. Cette histoire de malette semble avoir été ajouté au dernier moment pour donner une raison d'exister à cette entreprise bancale... Je pense qu'il y avait bien d'autres moyens de récupérer cette valoche qu'en inventant une histoire totalement exhubérante !! Pourquoi avoir en plus ajouté cette fausse touche de fantastique avec la fille qui "a des vision prémonitoires" ?
Non , pour moi (je respecte bien sûr ton opinion), on est vraiment en face d'une entreprise racoleuse sur tous les plans (scénario volontairement mais artificiellement complexifié, femmes de tous profils exhibées sans but réel, pseudo allusion fantastique, deux doigts de gore etc...) et extrement mal menée par un Deodato qui ne maitrise rien et passe à côté du sujet...
Reste quelques idées interessantes (la scène de carresses au milieu des aveugles...) mais bon...
Sinon, parenthèse : The Barbarians, c'est vraiment pourris et impardonnable mais ça l'est tellement que s'en devient fun et assez naivement touchant je trouve. Et puis l'affiche est top.
Bon kawa à toi.
Nous n'avons de toute évidence pas zyeuté la chose avec le même état d'esprit mais honnêtement, je suis pas sûr que Deodato ait eu dans l'idée de faire un film volontairement laid.
D'abord, ce film a été tourné 1 an après un certain Basic Instinct qui a quand même sérieusement lancé la vague de thriller érotiques sur le schéma "femmes ambigues / Corruption du flic par le sexe / dénouement inattendu". Ensuite on a l'impression que Deodato racole ferme en montrant pas moins de 3 soeurs + une aveugle, toutes à poil et frétillantes tour à tour. 4 physiques bien différents comme si le monsieurs voulait ratisser au plus large et faire plaisir aux spectateurs de tous poils... Je dirai que vu la maladroitesse des scènes, ça ne fonctionne pas du tout. Bref, ça c'est pour l'aspect visuel et ludique de la bête...
Maintenant sur le plan du scénar (attention, spoiler). C'est confut mais ca ne me gène pas plus que ça. Ce type de thriller est souvent bordélique, volontairement ou pas. Non, ce qui me gène plus, c'est son dénouement. Celui-ci est logique et compréhensible mais amène la question "Pourquoi ?" ou "Tout ça pour ça ?". En effet, le dénouement est bien présent mais ne justifie en aucun cas le reste du film. Cette histoire de malette semble avoir été ajouté au dernier moment pour donner une raison d'exister à cette entreprise bancale... Je pense qu'il y avait bien d'autres moyens de récupérer cette valoche qu'en inventant une histoire totalement exhubérante !! Pourquoi avoir en plus ajouté cette fausse touche de fantastique avec la fille qui "a des vision prémonitoires" ?
Non , pour moi (je respecte bien sûr ton opinion), on est vraiment en face d'une entreprise racoleuse sur tous les plans (scénario volontairement mais artificiellement complexifié, femmes de tous profils exhibées sans but réel, pseudo allusion fantastique, deux doigts de gore etc...) et extrement mal menée par un Deodato qui ne maitrise rien et passe à côté du sujet...
Reste quelques idées interessantes (la scène de carresses au milieu des aveugles...) mais bon...
Sinon, parenthèse : The Barbarians, c'est vraiment pourris et impardonnable mais ça l'est tellement que s'en devient fun et assez naivement touchant je trouve. Et puis l'affiche est top.
Ca réchauffe le coeur d'avoir des lecteurs assidus !Phant0m a écrit :Encore une fois MadXav je te remercie de m'avoir fait sortir mon café par les narines tellement j'ai ri en lisant ta critique
Bon kawa à toi.
Dernière modification par MadXav le ven. mars 17, 2006 5:11 pm, modifié 1 fois.
- eric draven
- Messages : 6509
- Inscription : ven. avr. 30, 2004 1:23 pm
- Localisation : Dans la beauté du sale, la beauté du mal, sous les croix en feu, violant, déféquant...
Et c'est toute la difference dans l'interprétation de la vision d'une oeuvre qui donne tout l'interet au débat.
Je pourrais vous tuer mille fois jusqu'aux limites de l'éternité si l'éternité possédait des limites.
MES FILMS: http://sd-1.archive-host.com/membres/up ... lms_56.rtf
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deja chapeau à Mad Xav pour sa critique !
sinon je rejoins Mad Xav, je me suis retrouvé en face d'autre chose que ce que j'attendais. mais je ne serai pas aussi severe, perso j'ai apprecié les actrices . à noter: des scenes de nudité ultra gratuite (genre la soeur qui va à la piscine municipale ...en porte jartelle! )
c'est marrant de voir que le film est classé en horreur (et presenté comme tel par la jaquette à base de racoleurs "l' horreur absolue!") juste a cause (ou grace) à 2-3 sequences gentillement gores.
The washing machine est un film erotique deguisé en thriller/giallo.
les twist a rallonge n'est pas mauvais j'ai trouvé qu'il remontait le niveau du film (ca meriterai presqu'un 2eme visionnage d'ici 2050)
THE QUESTION: je suis quasiment sure d'avoir entendu la BO (la zic du generique et du menu) dans un Argento ou peut etre un autre film italien... qui peux m'eclairer ?
(eric?)
du grand artRentrant de soirée, celui-ci lui offre en effet un bijou gravé au doux nom de Sissy. La boulette. Nikolai essaye bien de retrousser habillement la robe de Vida (comme on enlève un film plastique sur un steak de supermarché: la classe) pour lui faire oublier son erreur mais rien n’y fait, la vilaine est intraitable (comme Pierre Martinet) et refuse de changer de nom pour s’adapter au bijou.
sinon je rejoins Mad Xav, je me suis retrouvé en face d'autre chose que ce que j'attendais. mais je ne serai pas aussi severe, perso j'ai apprecié les actrices . à noter: des scenes de nudité ultra gratuite (genre la soeur qui va à la piscine municipale ...en porte jartelle! )
c'est marrant de voir que le film est classé en horreur (et presenté comme tel par la jaquette à base de racoleurs "l' horreur absolue!") juste a cause (ou grace) à 2-3 sequences gentillement gores.
The washing machine est un film erotique deguisé en thriller/giallo.
les twist a rallonge n'est pas mauvais j'ai trouvé qu'il remontait le niveau du film (ca meriterai presqu'un 2eme visionnage d'ici 2050)
THE QUESTION: je suis quasiment sure d'avoir entendu la BO (la zic du generique et du menu) dans un Argento ou peut etre un autre film italien... qui peux m'eclairer ?
(eric?)
- Superwonderscope
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- Inscription : ven. avr. 30, 2004 9:09 am
- Localisation : Pyun City
tournage baclé, production baclée, film baclé. C'est laid, c'est triste, c'est mou, c'est anti-érotique.
Pour une machine à laver, il n'arrive même pas à 150 tours minutes pour le séchage du spectateur, tout mouillé de ses larmes de tristesse de voir un homme sans style perdu dans une histoire sans ame. Le passé reste le passé et Deodato ne lave plus blanc.
Nul.
Pour une machine à laver, il n'arrive même pas à 150 tours minutes pour le séchage du spectateur, tout mouillé de ses larmes de tristesse de voir un homme sans style perdu dans une histoire sans ame. Le passé reste le passé et Deodato ne lave plus blanc.
Nul.
Oh really? Well then I'm sure you wouldn't mind giving us a detailed account of exactly how you concocted this miracle glue, would you ?
- ZombiGirl
- DeVilDead Team
- Messages : 1921
- Inscription : jeu. juin 24, 2004 5:34 pm
- Localisation : Last House on Dead End Street.
Superwonderscope a écrit :tournage baclé, production baclée, film baclé. C'est laid, c'est triste, c'est mou, c'est anti-érotique.
Pour une machine à laver, il n'arrive même pas à 150 tours minutes pour le séchage du spectateur, tout mouillé de ses larmes de tristesse de voir un homme sans style perdu dans une histoire sans ame. Le passé reste le passé et Deodato ne lave plus blanc.
Nul.
J'ai vu le DVD à Cora à 1€. Voilà ce qui me permet de m'acheter du pain avec mon euro, à la place (en fait, le commentaire de SWS est un peu ce que les photos et la jaquette m'ont inspirée...).
J'ai vu trois fois le debut. Je me suis donc quand meme pas mal acharné, çà m'a peté à chaque fois à trois quatres mois d'ecart ce qui fait que je me rappelais plus de grand chose, donc j'etais obligé de reprendre à zero, et de me persuader que la fois d'avant, j'avais appuyé sur STOP pour sauver la veuve et l'orphelin mais c'etait pas credible, je sais bien au fond de moi que je suis un connard.
Bah comme çà a été dit plus haut, c'est hyper baclé, les filles sont franchement pas top et tout le monde surjoue des scenes debiles dans la joie et la bonne humeur. Je maitrise super bien le debut, du coup, mais j'ai toujours pas vu la fin.
Maintenant je vais essayer de me persuader que le film peut etre DROLE. Comme çà autant j'aurais le courage de le ressortir. Deodato aurait du continuer à tourner des pubs.
Bah comme çà a été dit plus haut, c'est hyper baclé, les filles sont franchement pas top et tout le monde surjoue des scenes debiles dans la joie et la bonne humeur. Je maitrise super bien le debut, du coup, mais j'ai toujours pas vu la fin.
Maintenant je vais essayer de me persuader que le film peut etre DROLE. Comme çà autant j'aurais le courage de le ressortir. Deodato aurait du continuer à tourner des pubs.
Nouveau numéro de Torso, revue de cinéma: JOE DANTE !!!
Pour nous contacter: torsofanzine@hotmail.com
Notre site web : http://torsorevuedecinema.fr/
Pour nous contacter: torsofanzine@hotmail.com
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La fin m'a fait l'effet d'un épisode des contes de la crypte. Je m'attendais quand même a un film d'horreur. Je ne suis pas trop déçu quand même il vaut bien ses 2 euro ce film. Surtout pour les scènes de culs gratos. La musique est pas mal non plus, elle colle bien au film. J'aime bien comment le flic se fait manipuler. Et c'est vrai qu'il a des yeux superbes. D'ailleur la qualité d'image du dvd est tres correct.
Il est à voir quand même
Il est à voir quand même