Pinot, Simple Flic de Gérard Jugnot (1984)

[Superfly]

utilise du Pq comme moi si tu as plus de mouchoirs

[eric draven]

utilise du Pq comme moi si tu as plus de mouchoirs

c'est même conseillé!!

[Fatalis rex]

Voilà qu'on floode mes propres topics maintenant

[the masqué]

Bon bah vu hier sur w9 et franchement ça casse pas trois pattes à un canard....
C'est pas marrant , Fanny Bastien est mimi et triste parfaite dans le role , Jugnot n'est pas horrpilant il devient meme touchant au fil du film , on sent un peu l'influence de Chaplin (!!!) dans l'idée de faire un CHARLOT POLICEMAN des Temps Modernes (la baston avec l'antenne , quand il épie la junkie....).....
Après bon bah ça reste un film français donc quelques dialogues bien pourris , sous-texte trop appuyé , mise en scène fonctionnelle et bad guy à la flagrante mulette ....
Et puis le plan final est pourri et totalement hors sujet , pour le coup , j'ai pas compris
Vala

[Soundjata]

et franchement ça casse pas trois pattes à un canard...

Hotep, Soundjata

[Jerry Lewis]

Et puis le plan final est pourri et totalement hors sujet , pour le coup , j'ai pas compris
Vala

Ben... il est bien ce plan final ????

[the masqué]

SPOILER DU DEBUT A LA FIN
Alors non seulement je trouve toujours ça con de montrer de façon ostensible l'envers du décor à la fin du film (ça tue le mythe que se sont cassés les couilles à mettre en place els artisans du flm je trouve ), mais en plus , étant donné le contexte du film , j'ai trouvé ça en grave inadéquation : le film étant censé traiter de problèmes sociaux bien réels et se terminant sur la note "bon bah tout ça ça reste du bon petit cinoche franchouillard ave Jugnot réal qi fume sa clope".C'est pas très bienvenu , je trouve....

M'enfin c'est mon avis , il n'engage que moi

[Machet]

Revu grâce au bluray. J’en gardais un meilleur souvenir. Le résultat m’a semblé fragile, même si on sent bien les intentions (filmer un petit gars et une paumée, ce regard tendre que Jugnot a toujours eu sur les petites gens).

La seconde partie du film, dès lors que Pinot prend la junkie sous son aile, m’a semblé d’ailleurs plus intéressante, mais on perd l’aspect comédie au passage. L’équilibre à l’écriture n’a pas été trouvé on dirait. La sympathique musique de Louis Chedid devrait donner le ton mais la sauce ne prend jamais vraiment.

Reste d’excellents comédiens, dont Pierre Mondy, grandiose en toute simplicité dès qu’il apparaît à l’écran. C’est toujours un plaisir.

Jugnot n’oublie pas de filmer un Paris en décomposition (la France des années 80), ses immeubles et ses petits cafés entre deux époques, ses ruelles pavées pleines de poubelles, tout ça en hiver, et comprenant quelques beaux plans de métro (avec Patrice Leconte et Jean-Marie Poiré !).

C’est un premier film, avec ses faiblesses, touchant par bien des aspects, mais avare en gags et répliques percutantes… Gérard Jugnot saura viser juste dès son deuxième film avec l’excellent Scout Toujours, réussi sur tous les points.