City on Fire (VF : Cité en feu) - Alvin Rakoff (1979)

[Superwonderscope]

A la toute fin du cycle des films catastrophe des années 70 se trouve cette Cité en feu d'origine canadienne avec un casting, comme pour ce type de productions, assez généreux.

La poignée de has been en cours de recyclage : Henry Fonda, Ava Gardner, Shelley Winters (Shelley je t'aime), Leslie Nielsen.

Les tetes de pont en tentative de reconnaissance : James Franciscus, Barry Newman, Susan Clark.

Un nouvel hopital va s'ouvrir et des enfants mettent acidentellement le feu. Tout s'emballe et tout s'embrase. Voilà, en gros, l'argument du film.
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Il faut avouer que cela ressembnle furieusement à un téléfilm de série pendant les deux tiers du film. Palabres sentimentaux, problemes de couple, une femme enceinte (évidemment!), les journalistes qui profitent de la situation. C'est en fait dans le dernier tiers du filmque l'action devient intéressante avec l'évacuation de l'hopital sous les flammes. Beaucoup de camera à l'épaule, du ^ris sur le vif et de très belles cascades enflammées, des explosions à tout va.. Quelques Sfx de ciel embrasé un peu approximatifs, quelques stocks shots d'interventions de pompier. Ce qu iest bizarre, c'est que par moments, on dirait que Rakoff ne sait pas trop quoi faire des moyens mis à sa disposition. Curieux.

Ca ne joue pas très bien, c'est purement fonctionnel, c'est joué d'avance mais bon, ça se laisse gentilment voir. Et Shelley en nurse, (même si elle ne se noie pas mais se prend des parpaings enflammés dans la tete) ça ne se refuse pas!


Distribué par... UGC en 1980 en France. la VHS LUMIERES offre une VF avec un 1.66:1 tiout petit et surtout le générique UGC d'ioigine de l'époque.

Durée : 1h32. (NB certains sites indiquent 1h44 comme durée, je ne sais si nous avons eu en France une version cut?)

[Zecreep]

J'ai eu l'affiche de Landi pendant de longs mois sur l'un de mes murs. Il est vrai que c'est purement fonctionnel, mais les scènes d'incendie sont plutôt pas mal.
Vite vu vite oublié cependant.

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[milton arbogast]

malgré sont casting de luxe (même s'ils sont un peu faisandés, ça fait toujours bien sur une affiche Ava gardner, Henri Fonda et notre merveilleuse Shelley Winters) ça ressemble incroyablement à un téléfilms.
On sent le genre à bout de souffle et la parodie n'est pas loin, tant les situations sont usées jusqu'à la corde.
Ca reste néemoins amusant a regarder et est agrementé de quelques petits maquillages particulierement saignant beaucoup plus "gore" que les fleurons du genre.

[manuma]

Un petit film catastrophe qui se défend bien dans sa catégorie. Certes ça manque de pognon, les effets spéciaux craignent un peu par moment et le climax manque de spectaculaire. Ca ne sent pas non plus trop l’opulence du côté des décors, avec cette seule ruelle de studio qui mène à l’hôpital et dans laquelle se concentre l’essentiel de l’action durant la seconde moitié du métrage.

Mais du côté de la distribution et du scénario (co-écrit par Jack Hill !!), City in fire n’a pas à rougir face à ses plus illustres modèles. Il y a le même quota de stars vieillissantes, de personnages ultra caricaturaux et de péripéties frisant constamment le ridicule que dans les cadors cinématographiques du genre, avec toutefois, au bénéfice du film d’Alvin Rakoff, un rythme un peu plus soutenu que dans les dernières productions d’Irwin Allen. Le grand tort du film, à mon sens, est juste d’arriver un peu après la bataille sans chercher à renouveler le concept.

City in fire est proposé en lecture sur You Tube dans sa version complète de 106 minutes. Bon, faut en vouloir un peu pour le regarder – film découpé en 11 parties, son décalé la moitié du temps – mais le film est suffisamment rare pour m’avoir poussé à tenter l’expérience.

[milton arbogast]

...pour le remettre dans le contexte hitorico-cinematographique, il faut dire que c'est quand même vachement mieux que les beaucoup plus friqué "dernier secret du Poseidon", "jour de la fin du monde" ou le legendaire "l'invevitable catastrophe"

[Jérôme]

dvd et peut-être Blu-Ray chez Scorpion releasing, d'après leur page FB