The Perfect Weapon (L'Arme parfaite) - Mark Disalle (1991)
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The Perfect Weapon (L'Arme parfaite) - Mark Disalle (1991)
Petite série B revue aujourd'hui qui m'a agréablement surprise. Honnêtement réalisé, ce film devait faire de JEFF SPEAKMAN le nouveau SEAGAL. sauf que, le pauvre n'a jamais été capable de décoller en tombant dans le Z ou le téléfilm à 2 balles. Il faut dire qu'il n'a pas pu garder sa ligne.....
Sinon, le film reste un bon divertissement de facture classique produit par la paramount.
Quelqu'un l'a vu ou est-il définitivement tombé aux oubliettes ?
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Bon, faudrait que je revois, mais plus jeune j'avais bien aimé... C'est très loin dans mes souvenirs, mais bon, je me rappelle avoir été marqué par la scène ou le colosse se fait brûler sur le bâteau (je parle de bon film?). Bref, ça m'as fait passé du beau temps, mais si je réécouterais je trouverais sa assez moche merci, enfin @+
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C'est clair, il faut cependant avouer que malgré son embonpoint (orthographe? bref...) Speakman a effectué sa démo avec une rapidité fulgurante, c'était assez impressionant. Quand à L'arme parfaite, louée à l'époque de sa sortie, j'ai le vague souvenir d'un petit B sympa ; je me souviens aussi d'un autre film avec lui, dont j'ai oublié le nom ; ça se passait dans une base scientifique, et il y avait une prise d'otage et il les marravait tous bien sûr, c'était assez fun ça, j'en ai même plus de souvenir que L'arme parfaite.Ukobach a écrit :A l'epoque le Kempo au ciné c'etait pas mal.
JEFF etait au festival des arts martiaux il y a deux ans avec son regime a la SEAGAL.
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Re: The Pefect Weapon (L'Arme parfaite) - Mark Disalle (1991)
récupérant la partie du catalogue Paramount que la major ne souhiate pas sortir, Olive Films exhume cette série B (qui aurait eu droit aujourd'hui aux honneurs du DTV!) en blu ray, pour le 14/02/2012.
Oh really? Well then I'm sure you wouldn't mind giving us a detailed account of exactly how you concocted this miracle glue, would you ?
Re: The Pefect Weapon (L'Arme parfaite) - Mark Disalle (1991)
Le seul Jeff Speakman jamais sorti au ciné en France, non ?
Autrement, j'en garde un bon souvenir ... au point même que si l'occasion se représente un jour, je crois bien que j'y rejetterais un œil.
Autrement, j'en garde un bon souvenir ... au point même que si l'occasion se représente un jour, je crois bien que j'y rejetterais un œil.
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Re: The Pefect Weapon (L'Arme parfaite) - Mark Disalle (1991)
Ça me rappelle mes premiers numéros d'Impact !
Jamais vu le film par contre....
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"J'ai essayé de me suicider en sautant du haut de mon égo. J'ai pas encore atteri... "
Re: The Pefect Weapon (L'Arme parfaite) - Mark Disalle (1991)
Ayé, revu à l'occasion d'une diffusion sur la chaine Action.
C'est clair qu’aujourd’hui, avec son scénario bêta mille fois vu et son casting de seconds couteaux familiers (Ha, les trombines des perfides James Hong et Cary-Hiroyuki Tagawa, toute une époque !) entourant un castagneur s’improvisant acteur, le film se verrait de go expédié dans la fosse aux sorties DTV.
Pourtant, l’œuvre en question se tient bien mieux que la majorité des productions actuelles à priori du même acabit. The Perfect weapon propose une assez grande variété de décors qui ne crient jamais misère, ainsi qu’un quota de figuration tout à fait crédible. Certes on n’a pas affaire à un gros budget, mais celui-ci est utilisé de façon très intelligente. Pour faire riche, DiSalle se paie un bon gros tube musical à la mode en ouverture et clôture du film ("The Power"). Puis il recrute les meilleurs cascadeurs du moment sur ses nombreuses séquences d’action et de baston. Jeff Speakman lui-même en impose pas mal dans ses démonstrations de kenpo (le bougre est presque trop bon, trop rapide pour la mise en scène sans grand génie de DiSalle et le gus responsable du montage.
Bref, c’est du travail sérieux et soigné dont on pardonne sans difficulté l’extrême naïveté, pour ne parler de ringardise, côté écriture. A cet égard, le final est assez cocasse, voyant Speakman explicitement salué par son père et son instructeur pour avoir conservé son sang-froid et épargné le méchant Yung… alors même qu’il vient d’envoyer plutôt violemment dans un monde meilleur la moitié de ses sbires !
Un fort sympathique p’tit film de baston, comme on en fait plus, en résumé.
C'est clair qu’aujourd’hui, avec son scénario bêta mille fois vu et son casting de seconds couteaux familiers (Ha, les trombines des perfides James Hong et Cary-Hiroyuki Tagawa, toute une époque !) entourant un castagneur s’improvisant acteur, le film se verrait de go expédié dans la fosse aux sorties DTV.
Pourtant, l’œuvre en question se tient bien mieux que la majorité des productions actuelles à priori du même acabit. The Perfect weapon propose une assez grande variété de décors qui ne crient jamais misère, ainsi qu’un quota de figuration tout à fait crédible. Certes on n’a pas affaire à un gros budget, mais celui-ci est utilisé de façon très intelligente. Pour faire riche, DiSalle se paie un bon gros tube musical à la mode en ouverture et clôture du film ("The Power"). Puis il recrute les meilleurs cascadeurs du moment sur ses nombreuses séquences d’action et de baston. Jeff Speakman lui-même en impose pas mal dans ses démonstrations de kenpo (le bougre est presque trop bon, trop rapide pour la mise en scène sans grand génie de DiSalle et le gus responsable du montage.
Bref, c’est du travail sérieux et soigné dont on pardonne sans difficulté l’extrême naïveté, pour ne parler de ringardise, côté écriture. A cet égard, le final est assez cocasse, voyant Speakman explicitement salué par son père et son instructeur pour avoir conservé son sang-froid et épargné le méchant Yung… alors même qu’il vient d’envoyer plutôt violemment dans un monde meilleur la moitié de ses sbires !
Un fort sympathique p’tit film de baston, comme on en fait plus, en résumé.
- Teurk le Sicaire
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Re: The Perfect Weapon (L'Arme parfaite) - Mark Disalle (1991)
Attention à ne pas confondre avec The Perfect Weapon, le Steevie pas top. Le film de Mark DiSalle a l'antériorité pour lui car réalisé en 1991, avec ce trope bien de son époque : la mise en scène d'un art martial comme philosophie de vie... et méthode de destruction généralisée. Ici, c'est le kenpo qui est à l'honneur et qui va permettre à Jeff Speakman de rouler sur le casting. Il faut dire que le bonhomme a une vengeance à mener (la mafia coréenne a tué son mentor), un trauma familial à régler (son pater de flic l'a foutu à la porte par crainte qu'il finisse par tuer quelqu'un) et un achievement martial à accomplir (passer du statut de tigre à celui de dragon... Oui, le système de dan est bizarrement foutu).
Malgré son pitch très cliché, L'Arme Parfaite s'avère être une bonne surprise, tendance série B à petit budget mais généreuse à l'écran. Speakman a de véritable compétences martiales (il est actuellement 9ème degré de kenpo) et cela se sent, même si la caméra ne parvient pas toujours à bien le mettre en valeur. Le film propose donc plusieurs séquences de baston (dont un grand final assez mémorable), des courses-poursuite en voitures avec tôles froissées, et une ambiance américano-coréenne exotique (inoubliable nightclub du Croc Pit !). La galerie de seconds couteaux est également appréciable pour l'amateur : James Hong (449 films à son actif), Mako (grosse filmo aussi, dont Conan le Barbare), Dante Basco (le gamin de Hook), Professeur Tanaka (un ancien catcheur qui a ensuite fait du sous-Oddjob), Cary-Hiroyuki Tagawa (Shang-Tsung dans Mortal Kombat, entre autres), Branscombe Richmond (Bobby Six Killer) et un sosie inachevé de Mark Dacascos.
L'Arme Parfaite a pour lui d'être bien de son époque, avec un côté cheesy très appréciable. Au programme : entrainement de kenpo sur I've Got the Power de Snap, coupe de cheveux permanentée pour homme, montage de préparation à la bagarre en mode Commando, et surtout, héros con comme ses pieds qui agresse le 1er faux coupable que le méchant manipulateur lui désigne. La complète œuf/jambon/fromage qui permet de passer un très bon moment devant le film.
Malgré son pitch très cliché, L'Arme Parfaite s'avère être une bonne surprise, tendance série B à petit budget mais généreuse à l'écran. Speakman a de véritable compétences martiales (il est actuellement 9ème degré de kenpo) et cela se sent, même si la caméra ne parvient pas toujours à bien le mettre en valeur. Le film propose donc plusieurs séquences de baston (dont un grand final assez mémorable), des courses-poursuite en voitures avec tôles froissées, et une ambiance américano-coréenne exotique (inoubliable nightclub du Croc Pit !). La galerie de seconds couteaux est également appréciable pour l'amateur : James Hong (449 films à son actif), Mako (grosse filmo aussi, dont Conan le Barbare), Dante Basco (le gamin de Hook), Professeur Tanaka (un ancien catcheur qui a ensuite fait du sous-Oddjob), Cary-Hiroyuki Tagawa (Shang-Tsung dans Mortal Kombat, entre autres), Branscombe Richmond (Bobby Six Killer) et un sosie inachevé de Mark Dacascos.
L'Arme Parfaite a pour lui d'être bien de son époque, avec un côté cheesy très appréciable. Au programme : entrainement de kenpo sur I've Got the Power de Snap, coupe de cheveux permanentée pour homme, montage de préparation à la bagarre en mode Commando, et surtout, héros con comme ses pieds qui agresse le 1er faux coupable que le méchant manipulateur lui désigne. La complète œuf/jambon/fromage qui permet de passer un très bon moment devant le film.