The Square (2017) de Ruben Östlund

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comte vonkrolock
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The Square (2017) de Ruben Östlund

Message par comte vonkrolock » dim. nov. 04, 2018 11:16 am

Voilà bien pourquoi j'ai souvent trouvé que Cannes n'était qu'une vitrine du cinéma ou bien que le cinéma devenais une simple vitrine reflétant les déboires d'une société qui a bien peut à raconté.

Alors non pas que j'ai détesté le film de Ruben Östlund, bien au contraire il m'a même fait rire parfois, s'était un peut le but en même temps. Je veux bien qu'ont s'attaque à des phénomènes de société, à des comportements humains, au fait que le système dans lequel ont vit ne nous permet pas vraiment de nous épanouir pleinement :mrgreen: Et s'est bien là ou le bas blesse, car ce The Square se conclut par des banalités, cités comme des évidences.

Un peut comme j'avais pu en faire le débat il y a quelques temps sur le film qui avait permis à Vincent Lindon de briller sur cette même croisette. Des évidences qui font que si s'est à destination d'un nombre limité de personne, et qu'ils semble s'attaquer à l'apologie des Bobos, sans toutefois prendre clairement partie ni pour l'un, ni pour l'autre :roll: une neutralité qui alimente tellement le débat d'un coté comme de l'autre, qu'aucun risque n'est pris, se contente juste comme un vulgaire spectateur d'alimenter des clichés de la rue. Peut-être veut il faire prendre conscience à ceux qui aurait oublier leurs cerveaux à l'entrer de la salle que les beaufs du haut sont aussi à la masse que ceux du bas, chapeau :lol: :mrgreen:
Montrer physiquement cette frontière qui sépare ce monde des artistes incompris avec leurs public trop naïf, a aucun moment dans ce métrage on a la maitrise de se qu'est un bon cinéma qui se laisse découvrir avec la fluidité et le talent auquel nous a habiter par exemple le cinéma d'un Jacques Audiard, qui lui s'est si bien varier les thèmes et les genres. Là ont a clairement un film relativement long et qui reste quand même bien pénible. Et puis a l'arrivé pour ce conclure pratiquement là ou il avait commencé.

En gros les Palmes se distribue et semble se ressembler film après film, pas étonnant que dernièrement justement Audiard lui même dans un grand festival a appeler à la fin de se règne sans fin qui voit un peut toujours les mêmes aux commandes de ces institutions du cinéma... :D
Toi t'est un flic..? Non j'uis un con. :D
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