La BA est dingue !
https://www.youtube.com/watch?v=nJFgR6PLE30
mais seulement 5/10 sur IMDB...
https://www.imdb.com/title/tt21237030/? ... _sr_srsg_0
Carter - Byung-gil Jung (2022)
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Carter - Byung-gil Jung (2022)
Il y a un p'tit détail qui me chiffonne
- tomfincher
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Re: Carter - Byung-gil Jung (2022)
Résumé :
Un homme se réveille amnésique. Guidé par une mystérieuse voix provenant d'un dispositif placé dans son oreille, il entreprend une mission risquée de sauvetage d'otage.
Sinon, y'a d'autres trucs dans le script, avec des histoires de Corée du Nord et du Sud, de trahison, etc, et puis des infectés comme des zombies. J'ai pas tout compris. J'avais surement trop mal au crane devant cette bouillie numérique.
Le film est vendu comme un film en plan séquence incroyable... Alors je veux bien que de nos jours, ce soit moins la peine de se prendre la tête à préparer un plan de 2h, grâce aux raccords numériques. Mais en fait, Carter n'est qu'un film normal, en réalité blindé de coupes et de raccords numériques dégueulasses dans tous les sens qui tuent tout l'intérêt du plan séquence. Ce n'est finalement qu'un sous Michael Bay, épileptique, mais sans la réflexion d'un mec derrière (Michael Bay donc) qui va penser le placement de la caméra, etc. Aucune grammaire du cinéma. Non, là, c'est du pilotage automatique. Les raccords se font au choix sur un blouson noir, le flash d'un éclair, une explosion, j'en passe...
Quelques plans impressionnants noyés au milieu d'une masse immonde numérique, avec les plus laides courses poursuites (tout y passe, voiture, moto, train et même hélico) au cinéma depuis celle de Lock Out (le plagiat de New York 1997 produit par Luc Besson). C'est peu dire !
A la poubelle !
Edit : ça peut aller dans la section fantastique.
Un homme se réveille amnésique. Guidé par une mystérieuse voix provenant d'un dispositif placé dans son oreille, il entreprend une mission risquée de sauvetage d'otage.
Sinon, y'a d'autres trucs dans le script, avec des histoires de Corée du Nord et du Sud, de trahison, etc, et puis des infectés comme des zombies. J'ai pas tout compris. J'avais surement trop mal au crane devant cette bouillie numérique.
Le film est vendu comme un film en plan séquence incroyable... Alors je veux bien que de nos jours, ce soit moins la peine de se prendre la tête à préparer un plan de 2h, grâce aux raccords numériques. Mais en fait, Carter n'est qu'un film normal, en réalité blindé de coupes et de raccords numériques dégueulasses dans tous les sens qui tuent tout l'intérêt du plan séquence. Ce n'est finalement qu'un sous Michael Bay, épileptique, mais sans la réflexion d'un mec derrière (Michael Bay donc) qui va penser le placement de la caméra, etc. Aucune grammaire du cinéma. Non, là, c'est du pilotage automatique. Les raccords se font au choix sur un blouson noir, le flash d'un éclair, une explosion, j'en passe...
Quelques plans impressionnants noyés au milieu d'une masse immonde numérique, avec les plus laides courses poursuites (tout y passe, voiture, moto, train et même hélico) au cinéma depuis celle de Lock Out (le plagiat de New York 1997 produit par Luc Besson). C'est peu dire !
A la poubelle !
Edit : ça peut aller dans la section fantastique.
- MadXav
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Re: Carter - Byung-gil Jung (2022)
5/10 de moyenne, c'est déjà énorme pour un film auquel je mettrai un petit 3.
Incompréhensible, long, chiant, truffé de nanas qui sont en fait des traitres (on nous fait 3 fois le coup quand même !), CARTER ne repose que sur sa prouesse technique qui est en réalité un échec total ! Le fameux plan séquence de 2 heures est en réalité infoutu d'aligner une séquence de 30 secondes sans un raccord dégueulasse, visible comme le nez au milieu de la figure ! Certains sont même tellement ratés (avec des effets de flou) qu'ils sont à hurler de rire ! On vous filme des poursuite de moto à l'arrêt, et on fait défiler une route numérique pour faire croire que ça va vite Sur certains plans, les roues des véhicules tournent moins vite que celles d'un caddie de supermarché !
La plupart des décors sont en réalité des fonds verts, des décors de jeux vidéos mal incrustés, avec lesquels les acteurs n'ont pas d'interaction.
Le film pousse même le je-m'en-foutisme tellement loin qu'on voit clairement une queue d'hélicoptère en CGI passer à travers un train en CGI comme si de rien n'était. C'est dingue.
Bref, Carter serait presque un gros navet à regarder entre potes de picole s'il n'était pas aussi long, répétitif et chiant. Mais bon, ponctuellement j'ai quand même bien ri. Le futur des Mannequins en mousse et des poupées gonflables explosives est là, il s'appelle CARTER.
Incompréhensible, long, chiant, truffé de nanas qui sont en fait des traitres (on nous fait 3 fois le coup quand même !), CARTER ne repose que sur sa prouesse technique qui est en réalité un échec total ! Le fameux plan séquence de 2 heures est en réalité infoutu d'aligner une séquence de 30 secondes sans un raccord dégueulasse, visible comme le nez au milieu de la figure ! Certains sont même tellement ratés (avec des effets de flou) qu'ils sont à hurler de rire ! On vous filme des poursuite de moto à l'arrêt, et on fait défiler une route numérique pour faire croire que ça va vite Sur certains plans, les roues des véhicules tournent moins vite que celles d'un caddie de supermarché !
La plupart des décors sont en réalité des fonds verts, des décors de jeux vidéos mal incrustés, avec lesquels les acteurs n'ont pas d'interaction.
Le film pousse même le je-m'en-foutisme tellement loin qu'on voit clairement une queue d'hélicoptère en CGI passer à travers un train en CGI comme si de rien n'était. C'est dingue.
Bref, Carter serait presque un gros navet à regarder entre potes de picole s'il n'était pas aussi long, répétitif et chiant. Mais bon, ponctuellement j'ai quand même bien ri. Le futur des Mannequins en mousse et des poupées gonflables explosives est là, il s'appelle CARTER.