J'y allais assez confiant. je suis ressorti perplexe.
La performance de Brendan Fraser, excellente. Les effets prosthétiques : spectaculaires. La tension: palpable. les choix esthétiques : logiques compte tenu de la fin. Le format 1.37:1, curieux mais logique avec l'enfermement vécu par le personnage principal.
Le spectre balayé est large : la religion comme méthode d'asservissement et de manipulation, l'amitié transcendante, c'est rempli de beaux moments. C'est au final Hong Chau qui en ressort grandie, elle y est admirable. La gamine possède un rôle tellement extrême que c'en est parfois insupportable.
Maintenant, je suis resté quelque peu en dehors. les origines théâtrales paralysent le récit. Ca vire au mélo pur jus à la fin (et pourtant, je peux etre client), mais cette caméra qui dit "mais je vais te faire pleurer, hein!" ne m'a pas parlé du tout. Au moment où il se lâche, ca donne le top départ à
Spoiler : :
Maintenant, je n'ai pas vu passer le temps, Fraser occupe l'écran au propre comme au figuré. Il fat avoir le coeur bien accroché à quelques moments.
Assez convenu, finalement, alors que les sujets hurlaient d'en faire autre chose.
Vu en salle 1 du cinéma Atlantida d'Arrecife. Unique séance VO de la semaine/ Projection absolument dégueulasse. Heureusement que je ne vais a cinéma qu'une fois de temps en temps, ça m'a tué les yeux.