avec Uranus quand même ... mais dans le registre Drame je suis d'accord.Haribo a écrit :décors de Trauner au passage...le meilleur film de Claude Berri pour moi !
Pierre Richard dehors !Lourd, pathos, cliché
Tchao pantin - Claude Berri (1983)
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Ouais mais je préfère l'autre parce qu'il sort vraiment de son personnage classique du râleur à l'accent parigot et puis ce personnage est extraordinaire. Qui s'enduit de miel pour être caressé par les mouchesJérôme a écrit :déjà très bien dans La Femme de mon pote au niveau émotion le Coluche.diablo a écrit :arf regarder le Fou de Guerre et remarquez à quel point Coluche avait un sacré panel de jeu à son actif.
A mon avios le Velu lui doit tout VIENDEZ Y'A 8 FILLES !!!
Un très beau film qui commence comme un drame pour aller progressivement vers le Film Noir et le Polar. Un réalisme âpre et surtout une peinture du Paris du Paris popu des 80s magnifique (bon, les punks sont un peu too much quand même), entre Bastille et Barbès. Coluche, Léotard et Anconina sont tous formidables. Très, très bon... Je n'en attendais pas autant...
Dernière modification par Anonymous le lun. juin 05, 2006 10:50 am, modifié 1 fois.
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Jerry Lewis
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the masqué
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Très bonne occasion de revoir cet excellent polar bien carré et allant droit au but ; comme trop de films français n'ont pas su le faire 
"Si on devait tirer sur tout ce qui bouge,on vieillirait bien seuls"
"En France je suis considéré comme un gros nul, En Allemagne comme un raté, En Angleterre aussi et aux Etats-Unis pareil"
Michael Bay
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Revu hier. A chaque fois, son ambiance me happe, l'histoire se révélant peu à peu et s'ouvrant doucement sur les blessures de Lambert, un homme qui n'attend qu'un déclic pour se faire tuer.
spoilers
C'est aussi intéressant de voir comment le personnage change quand il commence sa vengeance. Il retrouve ses habits de flics, son flingue, ses réflexes mais n'étant plus dans la police, il peut se permettre d'aller plus loin, de faire ce qu'il n'a jamais pu faire pour son fils. C'est d'ailleurs un peu lui qu'il venge à travers le personnage d'Anconina.
D'ailleurs, il me semble que le flic interprété par Léotard sait que c'est Lambert qui a assassiné Mammoud et il le tuyaute pour qu'il fasse de même avec d'autres, ce que Léotard en tant que flic ne peut pas se permettre de faire.
Fin spoilers
Sinon, les punks, c'est vrai qu'ils font un peu too much.
Quand on les voit au concert, est ce bien Gogol 1er qui chante? Du moins, pour la chanson, je crois que c'est lui.
spoilers
C'est aussi intéressant de voir comment le personnage change quand il commence sa vengeance. Il retrouve ses habits de flics, son flingue, ses réflexes mais n'étant plus dans la police, il peut se permettre d'aller plus loin, de faire ce qu'il n'a jamais pu faire pour son fils. C'est d'ailleurs un peu lui qu'il venge à travers le personnage d'Anconina.
D'ailleurs, il me semble que le flic interprété par Léotard sait que c'est Lambert qui a assassiné Mammoud et il le tuyaute pour qu'il fasse de même avec d'autres, ce que Léotard en tant que flic ne peut pas se permettre de faire.
Fin spoilers
Sinon, les punks, c'est vrai qu'ils font un peu too much.
Quand on les voit au concert, est ce bien Gogol 1er qui chante? Du moins, pour la chanson, je crois que c'est lui.
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DPG
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On a beau l'avoir vu et revu, rien n'y fait, rien ne change de mon côté, revoir "Tchao Pantin", c'est toujours la même claque ! 
Je trouve que Claude Berri a vraiment réussi à saisir comme personne une certaine réalité des années 80, ce Paris nocturne, grisatre, maussade, sans horizon, ces gens à la dérive, ce désespoir ambiant omniprésent.
On pourrait revenir une enième fois sur Coluche, traumatisant comme jamais dans son bonhomme de pompiste mort en sursis. Sur Anconina qui se révèlait au monde en petite frappe attachante qui se brulera les ailes, Agnes Soral qui trouve là LE rôle de sa vie, ou Leotard qui traverse le film en sueur, mort en sursis lui aussi d'une certaine façon, comme il semble l'avoit été un peu toute sa vie. Tout le monde avait pt etre qques grammes ds le sang, le nez ou les poumons mais l'osmose est saisissante !
Berri disait à propos de la direction d'acteurs qu'il n'en faisait quasiment pas, car sinon, c'etait qu'il s'etait trompé d'acteurs ds le casting ! Mais tout cela ne se résume pas QUE à une affaire de comédiens. La lumière façonnée par Bruno Nuytten y est pour beaucoup ds l'ambiance formidable dans laquelle baigne le film, ce coté poisseux, glauque, autre face d'une même pièce qd on imagine les années 80 frime, flambe et fric à la Miami Vice. Et puis cette histoire, qui mélange un peu la chronique sociale, l'histoire d'amitié, d'amour, d'hommes. D'un paumé qui en croise un autre, puis une autre, puis... Le tout baignant ds les compos de Charlelie Couture inspiré comme jamais et qui donne à ce film un coté hors du temps qui ne fait que se bonifier avec les annéess qui passent.
Peut-être le plus gd film français des années 80. Chef d'oeuvre ultime !
Je trouve que Claude Berri a vraiment réussi à saisir comme personne une certaine réalité des années 80, ce Paris nocturne, grisatre, maussade, sans horizon, ces gens à la dérive, ce désespoir ambiant omniprésent.
On pourrait revenir une enième fois sur Coluche, traumatisant comme jamais dans son bonhomme de pompiste mort en sursis. Sur Anconina qui se révèlait au monde en petite frappe attachante qui se brulera les ailes, Agnes Soral qui trouve là LE rôle de sa vie, ou Leotard qui traverse le film en sueur, mort en sursis lui aussi d'une certaine façon, comme il semble l'avoit été un peu toute sa vie. Tout le monde avait pt etre qques grammes ds le sang, le nez ou les poumons mais l'osmose est saisissante !
Berri disait à propos de la direction d'acteurs qu'il n'en faisait quasiment pas, car sinon, c'etait qu'il s'etait trompé d'acteurs ds le casting ! Mais tout cela ne se résume pas QUE à une affaire de comédiens. La lumière façonnée par Bruno Nuytten y est pour beaucoup ds l'ambiance formidable dans laquelle baigne le film, ce coté poisseux, glauque, autre face d'une même pièce qd on imagine les années 80 frime, flambe et fric à la Miami Vice. Et puis cette histoire, qui mélange un peu la chronique sociale, l'histoire d'amitié, d'amour, d'hommes. D'un paumé qui en croise un autre, puis une autre, puis... Le tout baignant ds les compos de Charlelie Couture inspiré comme jamais et qui donne à ce film un coté hors du temps qui ne fait que se bonifier avec les annéess qui passent.
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"J'ai essayé de me suicider en sautant du haut de mon égo. J'ai pas encore atteri... "
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rusty james
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Heavy Mental
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Re: Tchao pantin (1983)
Nouvelle vision à l'occasion de l'achat du DVD, avec la crainte que les souvenirs l'aient sur-évalué. A l'arrivée, encore une fois, la claque, la noyade dans tant de noirceur, les tripes nouées... Putain de film...
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dario carpenter
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