Exterminator / Le droit de tuer - James Glickenhaus (1980)
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??? Le DVD integral pirate serait-il plus long que le DVD officiel ? Ou bien y'a t'il aussi une erreur sur ce DVD officiel (qui affiche fierement un logo Cannon alors que Manolito fait très justement remarquer que ce n'est pas une prod Cannon contrairement à sa suite) ?
Faut prendre quoi au film !!!???
Faut prendre quoi au film !!!???
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"Il est plus fort que les flics, en plus il fait leur boulot"
Vu dans la semaine. Le film vaut surtout pour ses scènes immorales et ses décors glauques des bas quartiers de NY. L'agression du pote black du héros est la scène que je trouve la plus réussie.
Sinon, c'est quand même très mal joué et assez mou du genou. On s'emmerde pas mal à certains moments et le final m'a pas vraiment convaincu.
Ce dernier est peut-être moins violent dans le fond mais le traitement de cette violence la rend beaucoup plus percutante et crédible.
Par exemple à aucun moment dans le film de Glickenhaus on ne retrouve l'intensité que peut avoir la scène de meurtre du gamin dans "Vigilante".
Et puis niveau rythme, c'est quand même autre chose : aucune baisse de régime, on s'emmerde pas une seconde; dans "Le Droit De Tuer" on peut pas dire que ça soit le cas...
Vu dans la semaine. Le film vaut surtout pour ses scènes immorales et ses décors glauques des bas quartiers de NY. L'agression du pote black du héros est la scène que je trouve la plus réussie.
Sinon, c'est quand même très mal joué et assez mou du genou. On s'emmerde pas mal à certains moments et le final m'a pas vraiment convaincu.
Ben justement, dans la foulée je me suis rematé "Vigilante" et je pense exactement le contraire. A mon sens "Exterminator" ne supporte pas une seconde la comparaison avec le film de Lustig.MadXav a écrit :mais plus violent et moins mou que "Vigilante".
Ce dernier est peut-être moins violent dans le fond mais le traitement de cette violence la rend beaucoup plus percutante et crédible.
Par exemple à aucun moment dans le film de Glickenhaus on ne retrouve l'intensité que peut avoir la scène de meurtre du gamin dans "Vigilante".
Et puis niveau rythme, c'est quand même autre chose : aucune baisse de régime, on s'emmerde pas une seconde; dans "Le Droit De Tuer" on peut pas dire que ça soit le cas...
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Re: Exterminator - James Glickenhaus (1980)
Un veteran du Vietnam dont l’ami (qui lui avait sauve la vie) se fait agresser par une bande de loubards venge ce dernier. De fil-en-aigulle il se retrouve opposee a la mafia de la viande new-yorkaise pour ensuite decider de d’”exterminer” tous les malfrats que son chemin viendrait a croiser…
TE est un de ces films que tout-le-monde connait, soit de par l’affiche, soit de par la reputation de film ayant eu maille a partir avec la censure et surtout…a cause de l’aura qui l’entoure.
Tourne en 1980, a une epoque ou les films de “vigilantes” (justiciers) (Taxi Driver (1976), de flics expeditifs (Dirt Harry (1971), d’auto-defense (Defiance (1980), voire de vengeance (Rolling Thunder (1977) etaient a leur apogee, TE fait partie de ces titres de “legendes” a cote de (notamment) la serie des Death Wish (Death Wish (1974), Death Wish 2 (1982), Death Wish III (1983) ).
Face a ce qui etait considere a l’epoque comme une criminalite “endemique” un peu partout dans le monde (affrontements entre extremistes des deux poles en Europe--voire les annees de plombs en Italie, l’appartion de zones de “non-droit” dans des grandes villes americaines tels Central Park ou certains quartiers a forte pauvrete ou immigration), les citadins demanderent des mesures d’exception, mesures d’exception que Hollywood s’empressa donc de leur fournir. Et pas seulement Hollywood, car le phenomene fut partage a l’etranger ou les films americains connurent un success equivalent et dans certains cas genererent des productions locales.
Ainsi, en Italie, les maisons de productions locales livrerent leur copies de flics peu rodes a la routine et donnant ainsi naissance a un genre local: le polizioteschi. En France, Legitime Violence (1982), Tir Groupe (1982), ou encore Une Robe noire pour un Tueur (1981) propose leur reponse a la criminalite, tandis que la Turquie, avec Cellat (The Executioner) (1975) propose son “remake” local de Death Wish (1974).
Si beaucoup de titres ont disparus de la circulation, voire des memoires, certains titres restent a juste ou mauvais titres dans les souvenirs.
Qu’en est-il donc de TE apres trente annees?
Le resultat est a vrai dire, un peu mi-figue, mi-raisin…
Apres une superbe ouverture situee en plein conflit du Vietnam (scenes qui d’apres certaines sources aurait déjà englobe 15% du budget a elles toutes seules; source: imdb.com), le reste du metrage oscille entre le plutot bon et le plutot plan-plan.
La facilite (deconcertante) avec laquelle Eastland retrouve les voyous qui ont massacre son ami n’a d’egale que les elipses de montages (peut-etre de la censure, certes) lors de son (tres bref) combat avec eux et la facon dont il se debarasse d’eux parait incomprehensible, car eminement "flous"…Idem pour la partie consacree a la mafia de la viande, qui a un moment parait devenir le centre du film avant de disparaitre tout aussi subitement, pour ensuite re-mettre la bande de voyous (mais avec d’autres membres cette fois) en vedette, le tout entre-coupe de maniaques sexuels tendance “tortionnaires” (en plus d’etre senateurs(!) ) et autres agresseurs de petites vieilles…
Bref, a force de vouloir satisfaire “son” public, Glickenhaus ratisse large, tres large, et laisse son recit partir dans toutes les directions. Notons neanmoins, que le realisateur sait se montrer a son aise dans la representation de la violence, et ce, sans aller au-dela de ce qui est necessaire. L’on pourrait donc dire, que s’il en fait des tonnes dans le recit, dans la mise en images, il en fait “beaucoup”, mais pas “trop”.
Cote interpretation, Robert Ginty, impassible a souhait a d’emblee ses meilleures scenes en debut de metrage, meme si son aire “decroche de la realite” sert neanmoins le personnage.
En effet, l’Exterminator est avant tout un personnage brise, concasse, qui ne s’est que mal re-faconne a son retour du Vietnam, car ne s’etant que constitue une carapace de circonstance, carapace qui volera facilement en eclats aux premiers vrais ennuis qu’il rencontrera dans la vie civile.
John Eastland est ainsi un mélange de plusieurs personnages ou prototypes de ce genre de films, veteran d’un conflit comme la plupart d’entre eux (Kersey de la guerre de Coree (Death Wish) ), il est par contre brise par son experience comme un John Rambo (First Blood (1982) ) et ere paume parmi les paumes comme Travis Bickle (Taxi Driver) pour finir par “craquer” et de devenir un ange exterminateur comme tous les autres, mais paradoxalement sans reellement generer ni la comprehension (Kersey), ni une certaine sympathie (Rambo) ou ni encore une fascination (Bickle).
Entre la performance de Ginty ou le recit sans reel “but” de Glickenhaus, la responsabilite est dure a determiner. Le fait que les autres acteurs aient du mal a faire exister leurs personnages peu ou mal defines n’aide pas vraiment non plus.
TE fait en fait partie de ces “time-capsules”, nous ramenant a un autre epoque, a un autre cinema, a d’autres tenants et aboutissants. A ce titre, TE est sans doute tres representatif d’un cinema extreme nee de sentiments / d’une demande extreme, voire d’une societe extreme.
Paradoxalement, le fait qu’il ait perdu de nos jours son aura de film “choc” merite de peut-etre nous interroger sur…notre propre epoque…
Loin d’etre donc parfait, egalement loin d’etre a la hauteur de sa reputation, mais tout aussi loin d’etre un film rate pour autant. Plus une sorte de diamant brut qui crystalise toute une epoque, et qui aurait merite une meilleure taille (i.e. un meilleur scenario) grace a laquelle, il aurait pu etre d’un bout a l’autre aussi bon et impressionnant que son ouverture.
A voir donc avec quelques "bemols", mais a voir quand meme.
The Exterminator: 3.5. / 5
TE est un de ces films que tout-le-monde connait, soit de par l’affiche, soit de par la reputation de film ayant eu maille a partir avec la censure et surtout…a cause de l’aura qui l’entoure.
Tourne en 1980, a une epoque ou les films de “vigilantes” (justiciers) (Taxi Driver (1976), de flics expeditifs (Dirt Harry (1971), d’auto-defense (Defiance (1980), voire de vengeance (Rolling Thunder (1977) etaient a leur apogee, TE fait partie de ces titres de “legendes” a cote de (notamment) la serie des Death Wish (Death Wish (1974), Death Wish 2 (1982), Death Wish III (1983) ).
Face a ce qui etait considere a l’epoque comme une criminalite “endemique” un peu partout dans le monde (affrontements entre extremistes des deux poles en Europe--voire les annees de plombs en Italie, l’appartion de zones de “non-droit” dans des grandes villes americaines tels Central Park ou certains quartiers a forte pauvrete ou immigration), les citadins demanderent des mesures d’exception, mesures d’exception que Hollywood s’empressa donc de leur fournir. Et pas seulement Hollywood, car le phenomene fut partage a l’etranger ou les films americains connurent un success equivalent et dans certains cas genererent des productions locales.
Ainsi, en Italie, les maisons de productions locales livrerent leur copies de flics peu rodes a la routine et donnant ainsi naissance a un genre local: le polizioteschi. En France, Legitime Violence (1982), Tir Groupe (1982), ou encore Une Robe noire pour un Tueur (1981) propose leur reponse a la criminalite, tandis que la Turquie, avec Cellat (The Executioner) (1975) propose son “remake” local de Death Wish (1974).
Si beaucoup de titres ont disparus de la circulation, voire des memoires, certains titres restent a juste ou mauvais titres dans les souvenirs.
Qu’en est-il donc de TE apres trente annees?
Le resultat est a vrai dire, un peu mi-figue, mi-raisin…
Apres une superbe ouverture situee en plein conflit du Vietnam (scenes qui d’apres certaines sources aurait déjà englobe 15% du budget a elles toutes seules; source: imdb.com), le reste du metrage oscille entre le plutot bon et le plutot plan-plan.
La facilite (deconcertante) avec laquelle Eastland retrouve les voyous qui ont massacre son ami n’a d’egale que les elipses de montages (peut-etre de la censure, certes) lors de son (tres bref) combat avec eux et la facon dont il se debarasse d’eux parait incomprehensible, car eminement "flous"…Idem pour la partie consacree a la mafia de la viande, qui a un moment parait devenir le centre du film avant de disparaitre tout aussi subitement, pour ensuite re-mettre la bande de voyous (mais avec d’autres membres cette fois) en vedette, le tout entre-coupe de maniaques sexuels tendance “tortionnaires” (en plus d’etre senateurs(!) ) et autres agresseurs de petites vieilles…
Bref, a force de vouloir satisfaire “son” public, Glickenhaus ratisse large, tres large, et laisse son recit partir dans toutes les directions. Notons neanmoins, que le realisateur sait se montrer a son aise dans la representation de la violence, et ce, sans aller au-dela de ce qui est necessaire. L’on pourrait donc dire, que s’il en fait des tonnes dans le recit, dans la mise en images, il en fait “beaucoup”, mais pas “trop”.
Cote interpretation, Robert Ginty, impassible a souhait a d’emblee ses meilleures scenes en debut de metrage, meme si son aire “decroche de la realite” sert neanmoins le personnage.
En effet, l’Exterminator est avant tout un personnage brise, concasse, qui ne s’est que mal re-faconne a son retour du Vietnam, car ne s’etant que constitue une carapace de circonstance, carapace qui volera facilement en eclats aux premiers vrais ennuis qu’il rencontrera dans la vie civile.
John Eastland est ainsi un mélange de plusieurs personnages ou prototypes de ce genre de films, veteran d’un conflit comme la plupart d’entre eux (Kersey de la guerre de Coree (Death Wish) ), il est par contre brise par son experience comme un John Rambo (First Blood (1982) ) et ere paume parmi les paumes comme Travis Bickle (Taxi Driver) pour finir par “craquer” et de devenir un ange exterminateur comme tous les autres, mais paradoxalement sans reellement generer ni la comprehension (Kersey), ni une certaine sympathie (Rambo) ou ni encore une fascination (Bickle).
Entre la performance de Ginty ou le recit sans reel “but” de Glickenhaus, la responsabilite est dure a determiner. Le fait que les autres acteurs aient du mal a faire exister leurs personnages peu ou mal defines n’aide pas vraiment non plus.
TE fait en fait partie de ces “time-capsules”, nous ramenant a un autre epoque, a un autre cinema, a d’autres tenants et aboutissants. A ce titre, TE est sans doute tres representatif d’un cinema extreme nee de sentiments / d’une demande extreme, voire d’une societe extreme.
Paradoxalement, le fait qu’il ait perdu de nos jours son aura de film “choc” merite de peut-etre nous interroger sur…notre propre epoque…
Loin d’etre donc parfait, egalement loin d’etre a la hauteur de sa reputation, mais tout aussi loin d’etre un film rate pour autant. Plus une sorte de diamant brut qui crystalise toute une epoque, et qui aurait merite une meilleure taille (i.e. un meilleur scenario) grace a laquelle, il aurait pu etre d’un bout a l’autre aussi bon et impressionnant que son ouverture.
A voir donc avec quelques "bemols", mais a voir quand meme.
The Exterminator: 3.5. / 5
En direct du Japon. Bonsoir. A vous, Cognac-Jay.
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Re: Exterminator - James Glickenhaus (1980)
Je viens de le (re re re re) voir en "HD" dans une version repack, faut dire que je n'ai aucune idée d'où ma VHS peut bien se planquer.
Une chose m'a intrigué, voire surpris. Non pas la qualité du film qui est bien en-deçà du souvenir que je traînais depuis presque 20 ans. Si l'introduction dépote bien, le scénario est quand même plutôt ridicule. Par exemple, l'exterminateur fait une communication à la presse mais ne prend jamais la peine de cacher son visage. Si on veut avoir une action sur la cité en toute illégalité, un minimum de précaution s'imposerait... mais bon...
Ce qui me chiffonne est dans les détails. Quand Ginty "s'occupe" du rabatteur qui a piégé la prostituée, vers 1h04, il y a un plan avec une photo à droite de l'acteur... photo floutée forcément volontairement. Pourtant dans d'autres scènes on voit des photos coquines.
Bref ce détail m'a intrigué, je voulais juste partager avec vous cette petite censure bizarre.
Une chose m'a intrigué, voire surpris. Non pas la qualité du film qui est bien en-deçà du souvenir que je traînais depuis presque 20 ans. Si l'introduction dépote bien, le scénario est quand même plutôt ridicule. Par exemple, l'exterminateur fait une communication à la presse mais ne prend jamais la peine de cacher son visage. Si on veut avoir une action sur la cité en toute illégalité, un minimum de précaution s'imposerait... mais bon...
Ce qui me chiffonne est dans les détails. Quand Ginty "s'occupe" du rabatteur qui a piégé la prostituée, vers 1h04, il y a un plan avec une photo à droite de l'acteur... photo floutée forcément volontairement. Pourtant dans d'autres scènes on voit des photos coquines.
Bref ce détail m'a intrigué, je voulais juste partager avec vous cette petite censure bizarre.
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Re: Exterminator - James Glickenhaus (1980)
le blu ray français qui sort le 6/07/16 testé sur le site:
http://devildead.com/indexnews.php3?NewsID=10146
http://devildead.com/indexnews.php3?NewsID=10146
Oh really? Well then I'm sure you wouldn't mind giving us a detailed account of exactly how you concocted this miracle glue, would you ?
Re: Exterminator - James Glickenhaus (1980)
Genial! Je l'ai vu hier en magasin. Dommage pour les bonus...
Re: Exterminator - James Glickenhaus (1980)
C'est à cause du MPAA. Quand le film est présenté, les membres de l'institution font remarquer qu'ils voient une photo avec un sexe en érection. Glickenhaus affirme que ce n'est pas le cas, que c'est un bras. Mais plutôt que s'emmerder à des tractations sans fin, Glickenhaus a fait le choix de flouté le pseudo zizi.haxandreyer a écrit : Ce qui me chiffonne est dans les détails. Quand Ginty "s'occupe" du rabatteur qui a piégé la prostituée, vers 1h04, il y a un plan avec une photo à droite de l'acteur... photo floutée forcément volontairement. Pourtant dans d'autres scènes on voit des photos coquines.
Par contre, je suis surpris parce que je n'ai pas vu ce floutage sur le Blu-ray français. Ou alors je l'ai loupé...
"Fuck The World", Rambo
Re: Exterminator / Le droit de tuer - James Glickenhaus (198
Vu cette semaine et je suis plutôt mitigé. Car, à part l'introduction guerrière bien sentie et sa fameuse décapitation, le reste se suit en baillant.
Pourtant, on sent que tout le monde se donne beaucoup de mal pour parvenir à choquer (les bas fonds de New York, certaines mises à mort) !
Mais la mise en scène et l'histoire balisée font qu'on s'ennuie. D'ailleurs, le film est parsemé de ralentis à chaque scène d'action. Je pense que le film aurait gagné en impact avec ces mêmes scènes en vitesse normale.
Même le destin du "héro" finit pas nous ennuyer (il va y rester ? se faire arrêter ? qui s'en soucie finalement).
Dommage, car le film dispose de beaucoup d'atouts ont des décors intéressants et une description affreuse d'un New York en perdition (le pote qui habite dans un quartier dévasté ).
Dommage qu'on s'ennuie autant !
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- Inscription : mer. févr. 28, 2007 6:32 pm
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Re: Exterminator / Le droit de tuer - James Glickenhaus (198
Film qui a certes pris un coup de vieux et qui fonctionne moins bien qu'un vigilante tel ceux du grand Charles je l'est découvert aussi dernièrement grâce à Carlotta. Mais j'ai réussi a y prendre du plaisir car il y a quand même le "T.J." Wiley des Têtes Brulées et Steve James des American Ninja, Samantha Eggar, Christopher Georges bref rien que pour ce casting il vaut le coup d’œil.
Après on y ajoute le coté rétro de la fin des années 70, un film très violent qui arrvie bien avant Scarface, s'est tous de même pas mal à l'arrivé, faut bien remettre se film dans son contexte.
Après on y ajoute le coté rétro de la fin des années 70, un film très violent qui arrvie bien avant Scarface, s'est tous de même pas mal à l'arrivé, faut bien remettre se film dans son contexte.
Toi t'est un flic..? Non j'uis un con.
Snake Plisken Escape from NY
Snake Plisken Escape from NY
Re: Exterminator / Le droit de tuer - James Glickenhaus (198
Du cinéma qui sent l'exploitation, le poujadisme droitier et l'absence de sincérité artistique à tous les étages, mais bon, pas un spectacle désagréable dans son genre. Glickenhaus n'est pas un as de la réalisation, mais le catalogue de scènes violentes en font un show rétro qui se regarde, sans plus...