Jeremie a écrit :Et le duo avec Brian Molko est géant je trouve (même si Molko se fait discret), de toutes cette rencontre devait être faite un jour ou l'autre
get me out of this place
get me out of this town
before i drown in your dreep
pink water
i won't remember rour face
i can't remember rou frown
because i'll drown in your deep
pink water
Il s'étaient déjà rencontré lors d'un blind-test organisé par Rocksound à l'époque de Black Market Music et de Paradize. Ils s'étaient trouvé pleins de points communs et avaient sympathisé.
Pour Indochine, non désolé j'accroche pas du tout , Nicolas Sirkis a l'une des pires voix qu'il m'ait été donné d'entendre.
Perso, j'ai toujours adoré "l'aventurier" que j'ai découvert très jeune, puis, j'ai beaucoup moins aimé la suite. Dans les années 90, je dois avouer que j'ai fait partie de la masse des gens qui pensaient que c'était juste un groupe de has been ringard.
Et puis, au moment de la sortie de "dancetaria", un pote m'a fait écouter le premier morceau de l'album et je lui ai demandé quel groupe il écoutait : j'avais carrément pas reconnu Indochine et cela a été pour moi la révélation. Même si la musique est assez simple, je trouve les arrangements d'une rare puissance. J'ai été surpris, mais heureux, de voir le triomphe de "Paradize", tout à fait mérité. Depuis, je suis allé les voir en concert deux fois - formidable - et je fais redécouvrir le groupe à tout mon entourage qui me snobe en disant : pouah tu aimes vraiment Indochine ? Ils écoutent et après, ils sont bien obligés d'admettre que c'est pas mal du tout.
Bon mais soyons sérieux... Indochine.. les enfants... même tourné dans tous les sens possibles... MAIS C'EST DE LA MERDEUUUU... EN BATON-EUUUUUUUUU et qui colle au doigts !!!!
Y-a rien à sauver dans ce groupe. C'est musicalement honteux, Sirkis chante aussi bien que la serpillière de ma concierge les jours de grande polution... C'est pathétique, c'est niaiseux, c'est lyposucé, c'est indécent de feulerie porcine, c'est une insulte à la musique !!!!!
A part Indochine je ne vois que Partenaire Particulier qui rivalise à ce niveau dans la négation de l'artistique...
Not only does God play dice, but... he sometimes throws them where they cannot be seen - Stephen Hawking
Il EST arrivé, le nouvel album d'Indochine, dans tous les bacs depuis quelques jours: LA REPUBLIQUE DES METEORES.
Depuis leur grand retour en 2003 avec la perfection même, l'album PARADIZE, Indochine a retrouvé son public et surtout le triomphe après quelques années de vache maigre.
Acclamé par la critique et triomphe commercial, Paradize avait été suivi de ALICE ET JUNE qui s'inscrivait dans la même voie mais en tentant de diversifier ses sons.
La republique des meteores quant à lui sonne comme du.. Indochine. 16 titres qui se suivent et s'enchainent, tous ecrits sur le même modèle, entre "Rock-indo" et ballades. Les detracteurs pourront reprocher cette linéarité, les chansons se ressemblant toutes, les fans acclameront ce "pur" son Indo.
Plutot tres bien accueilli par la critique, on y retrouve tout l'univers de Nicola qui a 49 ans arbore toujours le même look d'ado, quasiment denué de toutes rides, égal à lui même..
On y retrouve toutes ses obsessions à travers ces textes simples voire simplistes et trés lycéens: l'adolescence, le refus de grandir, le sexe et ses ambiguités, les peurs liées a la vie et l'amour comme on les vit a 16 ans.. Nicola tentant cette fois d'y adjoindre un discours politique assez minimaliste.
16 titres que j'adore dont de memoire Little dolls, Le grand soir, Fleur de metal, Le dernier jour, Bye bye Valentine, Play boy, Un ange a ma table.... un album que j'aime dejà beaucoup, Indochine ne m'a jamais décu.. Achat obligatoire.
Le single LITTLE DOLLS.. qui reflete l'album:
Je pourrais vous tuer mille fois jusqu'aux limites de l'éternité si l'éternité possédait des limites.
Je n'ai jamais été un grand amateur en premier car dans les années 80 c'était surtout un groupe pour les très jeunes qui n'avaient pas encore découvert Cure, Joy, etc. et qu'ils étaient un peu caricaturaux dans la manière d'envisager la musique en voulant trop singer la niou-wave anglo-saxonne... néanmoins je reconnais un très grand talent à Guillaume Nicolas dans la manière de recycler les ambiances et les sons de morceaux de new-wave comme par exemple sur 3ème sexe, avec à un moment des basses à la Trisomie 21 !
Mais on ne peut qu'applaudir aux Inconnus pour avoir si bien sentis le côté un peu trop sérieux qu'ils se sont donnés à un moment...
Le groupe reste pour moi surtout celui qui sortit L'aventurier, un des morceaux fondateurs du son français des années 80 avec Chercher le garçon de Taxi girl... et aussi Tes yeux noirs qui est une jolie balade électronique avec pour une fois un Nicolas Sirkis qui ne pousse pas trop sa voix...