Modérateurs : Karen, savoy1, DeVilDead Team
un peu trop "calme" (çà semblait un peu morne) j'avais trouvé 
C'est etonnant, je le trouve moins langoureux et un peu plus varie que le precedent justement.rusty james a écrit :Je l'ai écouté (sur deezer aussi faut dire, ce qui n'aide pas) qu'une fois mais il ne m'a pas fait la même impression que le précédent
) : 
(proposé pour à peine 20 livres) contenu dans un boitier à la couverture élégante et au livret des plus informatifs (avec intro de Marty Scorsese himself qui avait tenté sans succès une réédition de l'intégrale du score via une piste isolée sur une édition spéciale en laserdisc du film d'Antony Mann qui ne vit malheureusement jamais le jour)...
) mais cette version n'est pas aussi énêrvé que l'original, donc je vais me trouver l'album d'origine... J'ai en liste One Trip One Noise (Noir Désir) et Black is Black (ACDC) à cause de Hell's Bells. Et sitôt que j'en aurais fini avec les vieilleries... bin je sais pas encore. - les reprises de Leonard Cohen ou Manset c'est sympa mais un peu convenu par exemple), super bien produit (il dégage une patate, alors que c'est style acoustique cool pour la plupart pourtant) :
) ...
Verhoeven a écrit :The Nightwatchman
Plus connu sous le nom de Tom Morello, guitariste de Rage Against The Machine et Audioslave, qui s'est créé un alter-ego folk, digne héritier de Bob Dylan, Johnny Cash ou Bruce Springsteen. Une voix grave, des compositions simples et engagées, même privé des effets inventifs auxquels il nous a habitué le désormais chanteur traverse l'histoire et aborde les sujets les plus sensibles comme la guerre en Irak, la pauvreté, l'esclavage ou le combat pour les droits civiques.
Après une première apparition durant le concert de soutient à son association créée avec Serj Tankian: Axis of Justice qui veut rassembler musiciens, amateurs de musique et politiciens afin de lutter pour la justice sociale.
Ces quelques morceaux feront également partie de son premier album: One Man Revolution ou ses paroles pleines de coeur et ses sons d'une autre époque font mouche. C'est parfois désespéré mais c'est direct, sans fioritures et bougrement efficace.
Sortie cette semaine de son second opus: The Fabled City, plus rythmé, plus enjoué mais toujours plus engagé, l'album est une nouvelle réussite.
Quelques morceaux:
Un extrait de One Man Revolution: Until the end
Second extrait du premier album également sur la BO du film de son pote Michael Moore Fahrenheit 9/11: No one left
Un inédit extrait de la BO de Sicko du même Michael Moore: Alone without you
Enfin extrait du nouvel album The fabled city: Whatever it takes
Ce bonhomme transforme en or tout ce qu'il touche. Bravo...
