
Le Cercle - The Ring 2 - 2005 - Hideo Nakata
Modérateurs : Karen, savoy1, DeVilDead Team
-
- Messages : 4287
- Enregistré le : ven. avr. 30, 2004 10:10 am
- Localisation : Laboratory Of The Utility Muffin Research Kitchen
Eh bien, ca c'est interessant a savoir. On aura donc droit a un script original, realise par Nakata. Interessant moi je dis !!Fox Mulder a écrit :Ring 2 version US est la suite du premier Ring version US.
Mais ce n'est pas un remake du Ring 2 asiatique.
Naomie Watts sera de la partie ainsi que Sissy Spacek.
-
- Messages : 385
- Enregistré le : sam. mai 01, 2004 6:33 pm
- Contact :
-
- DeVilDead Team
- Messages : 21463
- Enregistré le : ven. avr. 30, 2004 9:09 am
- Localisation : Pyun City
Ayé, vu la semaine dernière.
******ATTENTION QQ SPOILERS MINEURS***************
Curieusement, j'ai plutot apprécie mais je suis à peu près sûr d'une chose. ceux qui ont apprécié le premier vont détester le deuxième
. En tous cas, c'est ce que les spectateurs de la salle où j'étais en ont dit à la fin du film.
Bref, visuellement parlant, c'est moins soigné que le premier. Mais bon, comme The Ring reposait surtout sur la photo de Bojan Bazelli qu'autre chose, ceci explique cela.
On sent la présence d'un cinéaste qui essaie de construire une logique à sa mise en scène. Tout est basé ici sur l'étroit lien entre une mère et son fils. Ceci a l'air d'etre un nouveau dada US après, par exemple, The Forgotten dont c'était le sujet principal. Nakata suit ainsi l'exploration de ce lien en prolongeant la réflexion de, par exemple, Dark Water.
Le film s'éloigne assez du modèle initial, la video maudite ne servant que de lien entre le 1 et le 2. Ici, le film se centre pratiqument sur deux maisons (ou presque), le véritable sujet étant la possession du fils de Naomi watts par Samara.
Le sujet étant ce lien, la mise en scène s'articule autour de paraboles sur ce line. D'où la multitude de ponts, voies, routes empruntées par les protagonistes et dont la caméra se fait le porte-parole et focalise son attention. Tout ce qui mène Naomi Watts à la recherche de la vérité et pour sauver son fils se voit magnifié par l'image. Une réflexion sur le pouvoir des images, la notion de réalité... le tout radicalisé par une caméra privilégiant les gros plasn, les plans fixes. Tout concourt à créér une atmopshère à privilégier le bizarre qui fait irruption dans une réalité donnée.
L'image du cercle (le puits à moitié fermé) devient en fait un croissant de lumière qui se retrouve comme leitmotiv au long du film (la lune dans le ciel, etc.). une certaine logique visuelle prend sa place au fur et à mesure. Ce lien privilégié devient également le piédestal de l'idée centrale d film : qu'une mère doive tuer son propre enfant afin de le sauver. Pas neuf (le vieux testament y avait pensé), l'idée s'éloigne cependant de l'image chrétienne du sacrifice pour se diriger ailleurs. c'est d'ailleurs une scène délicate et néanmoins osée.
A noter une scène bizarre d'attaque de naomi watts par des cerfs
un chouia dérangeant.
Côté négatif, le scénario possède quelques trous et les scènes prégénériques et finales semblent raccrochées au wagon de manière maladroite. Meme si le final, avec des SFX discrets mais spectaculaires, joue la carte de l'épouvante et attent son but, il reste plaqué sur un film qui se refusait à l'effet facile.
Impeccables, Naomi Watts et son gamin.
pas un grand film, mais une rigueur de mise en scène dont beaucoup devraient apprendre. il souffre d'un scénario reposant sur quelques idées ingénieuses mais manquant du liant nécéssaire aux chefs d'oeuvres d'effroi. Bancal par instants et un final incongru.
SWS dit : XX
******ATTENTION QQ SPOILERS MINEURS***************
Curieusement, j'ai plutot apprécie mais je suis à peu près sûr d'une chose. ceux qui ont apprécié le premier vont détester le deuxième

Bref, visuellement parlant, c'est moins soigné que le premier. Mais bon, comme The Ring reposait surtout sur la photo de Bojan Bazelli qu'autre chose, ceci explique cela.
On sent la présence d'un cinéaste qui essaie de construire une logique à sa mise en scène. Tout est basé ici sur l'étroit lien entre une mère et son fils. Ceci a l'air d'etre un nouveau dada US après, par exemple, The Forgotten dont c'était le sujet principal. Nakata suit ainsi l'exploration de ce lien en prolongeant la réflexion de, par exemple, Dark Water.
Le film s'éloigne assez du modèle initial, la video maudite ne servant que de lien entre le 1 et le 2. Ici, le film se centre pratiqument sur deux maisons (ou presque), le véritable sujet étant la possession du fils de Naomi watts par Samara.
Le sujet étant ce lien, la mise en scène s'articule autour de paraboles sur ce line. D'où la multitude de ponts, voies, routes empruntées par les protagonistes et dont la caméra se fait le porte-parole et focalise son attention. Tout ce qui mène Naomi Watts à la recherche de la vérité et pour sauver son fils se voit magnifié par l'image. Une réflexion sur le pouvoir des images, la notion de réalité... le tout radicalisé par une caméra privilégiant les gros plasn, les plans fixes. Tout concourt à créér une atmopshère à privilégier le bizarre qui fait irruption dans une réalité donnée.
L'image du cercle (le puits à moitié fermé) devient en fait un croissant de lumière qui se retrouve comme leitmotiv au long du film (la lune dans le ciel, etc.). une certaine logique visuelle prend sa place au fur et à mesure. Ce lien privilégié devient également le piédestal de l'idée centrale d film : qu'une mère doive tuer son propre enfant afin de le sauver. Pas neuf (le vieux testament y avait pensé), l'idée s'éloigne cependant de l'image chrétienne du sacrifice pour se diriger ailleurs. c'est d'ailleurs une scène délicate et néanmoins osée.
A noter une scène bizarre d'attaque de naomi watts par des cerfs

Côté négatif, le scénario possède quelques trous et les scènes prégénériques et finales semblent raccrochées au wagon de manière maladroite. Meme si le final, avec des SFX discrets mais spectaculaires, joue la carte de l'épouvante et attent son but, il reste plaqué sur un film qui se refusait à l'effet facile.
Impeccables, Naomi Watts et son gamin.
pas un grand film, mais une rigueur de mise en scène dont beaucoup devraient apprendre. il souffre d'un scénario reposant sur quelques idées ingénieuses mais manquant du liant nécéssaire aux chefs d'oeuvres d'effroi. Bancal par instants et un final incongru.
SWS dit : XX
Oh really? Well then I'm sure you wouldn't mind giving us a detailed account of exactly how you concocted this miracle glue, would you ?
-
- Messages : 125
- Enregistré le : dim. nov. 14, 2004 9:25 pm
- Contact :
La mise en scène d'une beauté et d'une fluidité remarquable se boit comme du petit lait. Hideo nakata signe avecce film un mélo intimiste et épuré dans une lignée fantastique douce et organique: tout tourne autour du rapport ambigu mêre enfant, avec humidité,chutes d'eau, verticalité... mais sans que les symbôliques ne soient jamais lourdes ni appuyées, elles surgissent avec discretions d'images délicates et très travaillées (le réalisateur, tout en s'en détachant, paye quand même respectueusement son tribut à l'identité visuelle reconçue avec brio par ses remakeurs américains). Du point de vue formelle cette rencontre entre Hollywood et la sensisbilité nippone aboutit à quelque chose devraiment intéressant qui n'est pas sans rappeler le cinéma de Jonathan Demme.
-
- Messages : 13091
- Enregistré le : ven. déc. 17, 2004 8:43 pm
- Localisation : Dans un Bunker avec Playboy, une Dreamcast et un M16
Tout à fait d'accord, inutile d'aller voir cette future daube ou Sadako (pardon, Samara !), dont on montre le visage (ben c'est intélligent ça !) est encore plus ridicule que sa caricature dans "Scary movie 3".-GUITOU- a écrit :Pour ma part, il n'y a que les japonais de Nakata qui m'ont mis une bonne giffle! Le cercle m'a plutôt fait rire et je pense qu'il en sera de meme pour ce 2eme opus
-
- DeVilDead Team
- Messages : 21463
- Enregistré le : ven. avr. 30, 2004 9:09 am
- Localisation : Pyun City
Et sur le meme mode, inutile de discuter de cinéma, ça me fait rire maintenant et il en sera de même pour la suite!Dragonball a écrit :Tout à fait d'accord, inutile d'aller voir cette future daube ou Sadako (pardon, Samara !), dont on montre le visage (ben c'est intélligent ça !) est encore plus ridicule que sa caricature dans "Scary movie 3".-GUITOU- a écrit :Pour ma part, il n'y a que les japonais de Nakata qui m'ont mis une bonne giffle! Le cercle m'a plutôt fait rire et je pense qu'il en sera de meme pour ce 2eme opus
Oh really? Well then I'm sure you wouldn't mind giving us a detailed account of exactly how you concocted this miracle glue, would you ?
-
- Messages : 13091
- Enregistré le : ven. déc. 17, 2004 8:43 pm
- Localisation : Dans un Bunker avec Playboy, une Dreamcast et un M16
Ah, mais on a bien le droit de s'enerver de temps en temps !Superwonderscope a écrit :Et sur le meme mode, inutile de discuter de cinéma, ça me fait rire maintenant et il en sera de même pour la suite!Dragonball a écrit :Tout à fait d'accord, inutile d'aller voir cette future daube ou Sadako (pardon, Samara !), dont on montre le visage (ben c'est intélligent ça !) est encore plus ridicule que sa caricature dans "Scary movie 3".-GUITOU- a écrit :Pour ma part, il n'y a que les japonais de Nakata qui m'ont mis une bonne giffle! Le cercle m'a plutôt fait rire et je pense qu'il en sera de meme pour ce 2eme opus
Surtout que des membres du forum, comme tu viens de le faire, sont toujours la pour relativiser les délcarations un peu trop partiale.
Bref, je revendique le droits de dire parfois des conneries et d'être parfois de mauvaise foi !

-
- Messages : 403
- Enregistré le : mar. mai 11, 2004 1:33 pm
- Localisation : Dans la maison aux fenêtres qui rient, tout à côté de chez la Mère des Ténèbres
Honnêtement je suis étonné par vos réactions positives car pour ma part, j'ai trouvé Ring 2 particulièrement faible ...
J'aurais tendance à dire : si vous n'aimez ni Ring ni Dark Water de Nakata n'y allez pas et si vous adorez Ring et Dark Water de Nakata n'y allez pas.
Que voulez-vous, je comprends bien qu'il s'agit d'un mélodrame fantastique sur le rapport mère-fils, mais d'une telle lourdeur !!! Tout y est terriblement appuyé, des jeux de regard de l'enfant jusqu'aux dialogues démonstratifs ( "ma maman m'aime parce qu'elle voulait me trouver"...). Le rapport mère/enfant était tellement plus émouvante, plus subtile dans Dark Water !! Nakata se contente de faire une sorte de remake de son sublime Dark Water, rajoute un peu plus d'eau à son Ring (ça pourrait s'appeler Ring Water) mais il ressuce sa propre inspiration en un curieux recyclage énervant tant il sape son propre univers. On dirait un film fait de chutes de scènes non gardées de Ring et Dark Water, à la manière des sections "scènes coupées des dvd" . Le scénario est mal écrit (on dirait quelqu'un qui raconte en disant "et puis..et puis...et puis..") et part dans tous les sens. C'est un film construit en bribes d'illustrations du mythe Ring étiré jusqu'à plus soif (Bouches ouvertes, puits, image télé) mêlées à des variations mère/fils, mais qui n'aboutissent à rien. Les tenants et les aboutissants, les révélations qui n'en sont pas, les solutions, une Cissy Spacek sententieuse qui semble connaître une vérité.... ça patine, ça patine...Enfin je trouve vraiment que dans ce film, on se moque vraiment des fantômes parce que franchement SPOILER
Tu pousses un fantôme du pied. Il dégringole dans un puits avec une facilité désarmante. Et la solution : fermer le couvercle ! Pour qui nous prend t'on ? FIN SPOILER
Par contre curieusement la scène des cerfs m'a impressionné. Je l'ai trouvé proprement absurde et surréaliste...
J'aurais tendance à dire : si vous n'aimez ni Ring ni Dark Water de Nakata n'y allez pas et si vous adorez Ring et Dark Water de Nakata n'y allez pas.
Que voulez-vous, je comprends bien qu'il s'agit d'un mélodrame fantastique sur le rapport mère-fils, mais d'une telle lourdeur !!! Tout y est terriblement appuyé, des jeux de regard de l'enfant jusqu'aux dialogues démonstratifs ( "ma maman m'aime parce qu'elle voulait me trouver"...). Le rapport mère/enfant était tellement plus émouvante, plus subtile dans Dark Water !! Nakata se contente de faire une sorte de remake de son sublime Dark Water, rajoute un peu plus d'eau à son Ring (ça pourrait s'appeler Ring Water) mais il ressuce sa propre inspiration en un curieux recyclage énervant tant il sape son propre univers. On dirait un film fait de chutes de scènes non gardées de Ring et Dark Water, à la manière des sections "scènes coupées des dvd" . Le scénario est mal écrit (on dirait quelqu'un qui raconte en disant "et puis..et puis...et puis..") et part dans tous les sens. C'est un film construit en bribes d'illustrations du mythe Ring étiré jusqu'à plus soif (Bouches ouvertes, puits, image télé) mêlées à des variations mère/fils, mais qui n'aboutissent à rien. Les tenants et les aboutissants, les révélations qui n'en sont pas, les solutions, une Cissy Spacek sententieuse qui semble connaître une vérité.... ça patine, ça patine...Enfin je trouve vraiment que dans ce film, on se moque vraiment des fantômes parce que franchement SPOILER
Tu pousses un fantôme du pied. Il dégringole dans un puits avec une facilité désarmante. Et la solution : fermer le couvercle ! Pour qui nous prend t'on ? FIN SPOILER
Par contre curieusement la scène des cerfs m'a impressionné. Je l'ai trouvé proprement absurde et surréaliste...
Nakata n'aurait pas du mettre son talent dans la soute du vol Tokyo-Los Angeles, manifestement on lui a paumé ses bagages.
Ca commence plutôt mal avec une première partie lourdement démonstrative (attentiooooon, vous allez voir un truc horrible ! Bientôt .... bientôt ... maintenant !!!), une symbolique appuyée, notamment sur l'eau. Ca on aura compris que l'eau c'est la mort ...
Heureusement la suite est mieux. Comme elle est soporifique on pique tranquillement du nez dans son fauteuil. Le déroulement de l'histoire n'est pas très clair, mais on s'en fout un peu.
Ouf, on est content quand ça se termine !
1/6
Une scène mémorable quand même : une attaque de cerfs qui ravira les fans d'images de synthèse du début des années 90.
Ca commence plutôt mal avec une première partie lourdement démonstrative (attentiooooon, vous allez voir un truc horrible ! Bientôt .... bientôt ... maintenant !!!), une symbolique appuyée, notamment sur l'eau. Ca on aura compris que l'eau c'est la mort ...
Heureusement la suite est mieux. Comme elle est soporifique on pique tranquillement du nez dans son fauteuil. Le déroulement de l'histoire n'est pas très clair, mais on s'en fout un peu.
Ouf, on est content quand ça se termine !
1/6
Une scène mémorable quand même : une attaque de cerfs qui ravira les fans d'images de synthèse du début des années 90.
-
- Messages : 6279
- Enregistré le : ven. avr. 30, 2004 9:10 pm
- Localisation : Haute Normandie et parfois Ile de France!
- Contact :
tout pareil!Que voulez-vous, je comprends bien qu'il s'agit d'un mélodrame fantastique sur le rapport mère-fils, mais d'une telle lourdeur !!! Tout y est terriblement appuyé, des jeux de regard de l'enfant jusqu'aux dialogues démonstratifs ( "ma maman m'aime parce qu'elle voulait me trouver"...).Le rapport mère/enfant était tellement plus émouvante, plus subtile dans Dark Water !! Nakata se contente de faire une sorte de remake de son sublime Dark Water, rajoute un peu plus d'eau à son Ring (ça pourrait s'appeler Ring Water) mais il ressuce sa propre inspiration en un curieux recyclage énervant tant il sape son propre univers. On dirait un film fait de chutes de scènes non gardées de Ring et Dark Water, à la manière des sections "scènes coupées des dvd" . Le scénario est mal écrit (on dirait quelqu'un qui raconte en disant "et puis..et puis...et puis..") et part dans tous les sens. C'est un film construit en bribes d'illustrations du mythe Ring étiré jusqu'à plus soif (Bouches ouvertes, puits, image télé) mêlées à des variations mère/fils, mais qui n'aboutissent à rien. Les tenants et les aboutissants, les révélations qui n'en sont pas, les solutions, une Cissy Spacek sententieuse qui semble connaître une vérité.... ça patine, ça patine...
scène effectivement ridicule,plombée en outre par cette punchline finale de Naomi "qui en a": "je ne suis pas ta putain de mère!"Enfin je trouve vraiment que dans ce film, on se moque vraiment des fantômes parce que franchement SPOILER
Tu pousses un fantôme du pied. Il dégringole dans un puits avec une facilité désarmante. Et la solution : fermer le couvercle ! Pour qui nous prend t'on ? FIN SPOILER

Le film délaisse l'imagerie fantastique japonaise pour revenir dans un premier temps au film de croquemitaine à l'américaine, façon 70s (Phantasm) et 80s( Freddy). Puis il se la joue drame intimiste, avec Sissy Spacek en prime. Pas de quoi frissonner, le film a de nombreuses faiblesses, notamment narratives. Mais il a au moins le mérite de s'écarter du deuxième volet de la trilogie japonaise qui était assez médiocre. Sinon Samara est assez fade comparée à Sadako, surtout en image de synthèses. Pauvre fille!
X
X
Côté défauts, il y a beaucoup à dire : scénario maladroit (la plus grosse faiblesse, de loin) et scènes d'horreur inégales (les cerfs virtuels, très mauvais effectivement) sont ceux qui viennent immédiatement à l'esprit. mais il a aussi des qualités : il parvient à éviter la redite (c'était sans doute une des grosses difficultés du titre) ; la direction d'acteurs est plus soignée et les personnages deviennent plus attachants, plus vivants ; et Nakata reste un metteur en scène rigoureux, souvent efficace.
Un bilan partagé donc, pour ce "Cercle 2" néanmoins intéressant.
Un bilan partagé donc, pour ce "Cercle 2" néanmoins intéressant.
-
- Messages : 760
- Enregistré le : lun. nov. 15, 2004 5:41 pm
Dans l'ensemble, c'est formellement élégant, avec un caractère hybride assez décalé. Même si le résultat reste finalement vain et n'évite pas toujours le ridicule, Nakata parvient plus ou moins bien à faire passer ses obsessions thématiques pour son incursion hollywoodienne. Mais sans jamais être aussi convaincant que dans son sublime "Dark Water".