AHHHHH donc c'est Sandler le nom de famille d'Adamo !!!!!! (humour niveau AD)
Heureusement que la mouche est là pour nous culturer...
Mais nom d'un Topaloff en jupette, ADAM SANDLER est pire que tous les comiques Canal + réunis dans le crane de Paris Hilton... Il arrive à être moins drôle que la préquelle de l'Exorciste, il pue des genoux, mais cependant il a au moins le mérite d'avoir fait le film qui peut vous faire perdre vos amis encombrants, fuir vos créancier et faire que votre femme vous trouve beau et incroyablement cultivationné :
Bouse ultime, fiente messianique euh....
Not only does God play dice, but... he sometimes throws them where they cannot be seen - Stephen Hawking
Encore un chef d'oeuvre à mettre au compte d'Adam Sandler. Imaginez un mix entre l'humour d'Adam Sandler et une mise en scène qui frole le talent de Michael Bay. Humour gras avec parfois d'excellents gags (ou comment éliminer un arbitre en 2 coups) et matchs bien violents. Y'a même un moment dramatique assez triste. Sandler avec l'aide de Reynolds et Rock recrute donc une équipe dans une prison tenue par des gros fachos de gardiens. Et il va réunir un putain d'équipe composée des plus gros débiles mentaux de la prison avec des carures impossible à cadrer en 2.35. Ca rentre dans le lard, ca explose les cranes, ca ratisse sec.
Belle mise en scène qui défrisserait les poils de cul d'Allan Théo.
Un bon film pour les hommes bien burnés qui aiment voir de grosses masses qui défoncent tout sur leur pasage et une bonne comédie pour les fans d'Adam Sandler, mais attention c'est d'abord une film d'action.
Modifié en dernier par Superfly le lun. sept. 05, 2005 2:35 pm, modifié 1 fois.
Les mystères de la distributions : Gaumont-Columbia-Tristar se paie d'énormes affiches de 4 mètres sur 3 dans le métro... et sortent le film dans une seule salle sur Paris (carrément aux Montparnos !) et deux autres cinéma en banlieue. 4 copies pour toute la France !
Je crois que les français ne vuelent pas voir de films avec Adam Sandler...
je crois surtout que les budgets étant déterminés à l'avance, le distributeur a fait les frais d'un plan média préparé en amont et qui n'a pas tenu compte du fait de la petitesse de la sortie technique prévue. le nb de copies s'est rétrécie comme une peau de chagrin au fur et à mesure du previsionnel mais l'opé de communication déjà vendue.
Qui plus est, il y a fort à parier que ce sont les sponsors qui ont payé les 4 par 3 !
Oh really? Well then I'm sure you wouldn't mind giving us a detailed account of exactly how you concocted this miracle glue, would you ?
Et ben, 3 pages de blagues pour 1 seul avis sur ce remake du classique d’Aldrich … bravo les gars, c’est sérieux tout ça …
Appréciant beaucoup l’original, j’avoue que je n’étais guère pressé de découvrir cette nouvelle mouture. Et après découverte du résultat, je me dis que ça aurait pu attendre encore un peu car c’est clairement pas un film indispensable.
Déjà, remplacer un costaud comme Burt Reynolds par un petit rigolo comme Adam Sandler sans rien retoucher à son personnage, ça ne peut que difficilement fonctionner correctement. Ensuite, l’humour maousse déconneur à la Sandler, très éloigné de celui d’Aldrich, pourtant lui aussi bulldozer à sa façon, s’intègre mal à ce sujet assez noir dans le fond. Un décalage que l’on ressent particulièrement au moment de la disparition du personnage de Chris Rock, épisode dépourvu de toute intensité, traité de façon quasi anecdotique. Enfin, exit les allusions politiques de l’original – alors qu’il y avait sûrement matière à faire quelque chose à ce niveau – la version 2005 zappe ici ce qui faisait le sel de son modèle.
L’Aldrich avait quelque chose de jubilatoire. Là, tout est plat, passé à la lessiveuse, limite barbant.