Land of the Dead de George Romero (2005)
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Un film de vieux parce que je trouve ça mou, pas très mordant, que Romero a décidément perdu sa hargne, que le sous-texte politique (le perso de Dennis Hopper) est ridicule, que le film est plein d'effets qui feraient peut-être illusion il y a 15 ans, mais qu'il n'a pas la rage et le désespoir de DoTD pourtant plus ancien. Je passe le héros qui ressemble à un mérou et les ficelles de scénario...
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- Dragonball
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Bah, oui, il est méchant, mais il n'a pas tout a fait tord !
J'avoue qu'entendre des phrase du style "Il va l'avoir son putain de jihad" (je ne me souviens plus de la réplique en VO mais en gros, c'était ça !), ça fout un peu mal dans un film qui se veut tout de même un minimum ambitieux.
Quand aux héros, c'est sûr qu'il ne ressemble à rien, mais il me semble que c'était la volonté de Romero de mettre en scène un mec fade ! Ben oui, c'est un choix contestable, mais bon, c'est son choix !
Le choix d'Asia Argento, égirei des jeunes rebelles branchouille en quête d'icone rebelle me semble plus contestable que celui de l'autre asperge.
C'est sûr, Romero n'a plus la rage qu'il avait avant, et Land of the dead est le film d'un réalisateur qui en a souvent baver, d'un réalisateur qui a viellit, ok, mais d'un vieux, genre, il est bon pour l'hospice, là, non !
Romero ecrase encore tout les jeunes frimeurs qui prennent la pose dans le cinéma d'horreur comptemporain, style Eli Roth et cie, tout juste bon à piller l'héritage des ........ vieux !
De toute façon, Land of the Dead fait partie d'un tout, il est difficlement comparable aux autres films d'horreur des dernières années.
Comme ça c'est cool, impossible de comparer Romero à , au hasard .......... Marcus nipsel !
J'avoue qu'entendre des phrase du style "Il va l'avoir son putain de jihad" (je ne me souviens plus de la réplique en VO mais en gros, c'était ça !), ça fout un peu mal dans un film qui se veut tout de même un minimum ambitieux.
Quand aux héros, c'est sûr qu'il ne ressemble à rien, mais il me semble que c'était la volonté de Romero de mettre en scène un mec fade ! Ben oui, c'est un choix contestable, mais bon, c'est son choix !
Le choix d'Asia Argento, égirei des jeunes rebelles branchouille en quête d'icone rebelle me semble plus contestable que celui de l'autre asperge.
C'est sûr, Romero n'a plus la rage qu'il avait avant, et Land of the dead est le film d'un réalisateur qui en a souvent baver, d'un réalisateur qui a viellit, ok, mais d'un vieux, genre, il est bon pour l'hospice, là, non !
Romero ecrase encore tout les jeunes frimeurs qui prennent la pose dans le cinéma d'horreur comptemporain, style Eli Roth et cie, tout juste bon à piller l'héritage des ........ vieux !
De toute façon, Land of the Dead fait partie d'un tout, il est difficlement comparable aux autres films d'horreur des dernières années.
Comme ça c'est cool, impossible de comparer Romero à , au hasard .......... Marcus nipsel !
Dragonball a écrit :Romero ecrase encore tout les jeunes frimeurs qui prennent la pose dans le cinéma d'horreur comptemporain, style Eli Roth et cie, tout juste bon à piller l'héritage des ........ vieux !
Romero n'écrase plus personne, à part peut-être les mouches dans sa cuisine.
Je partage entièrement l'avis de Prodigy, le grand-père est aux fraises, la mollesse de sa mise en scène et de l'action n'est même plus compensée par le message politique.
Pas grave George, t'as eu ton heure de gloire !
- Dragonball
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Vous semblez porter au pinacle le Romero de Zombi sans être capable d'apprécier l'évolution nécessaire de son cycle zombiesque. Land of the dead ne pouvait être aussi sec et rageur que Zombi, bien au contraire. Il suit l'évolution que l'on pouvait déjà entrevoir dans Day of the dead, à savoir, des zombis gagner par une forme d'intelligence en devenir.Il est aberrant d'imaginer que le maître de Pittsburgh puisse ainsi régresser dans sa démarche.
LOTD échange les rôles. Il n'est plus question de métaphoriser les zombis pour revendiquer les tares sociales des hommes, mais bel et bien de stigmatiser ces déviances chez les hommes eux-mêmes, et d'offrir une nouvelle direction en la personne des zombis. Romero fustige l'être humain dans son film, et glorifie les morts vivants. Cette évolution perceptible dans le précédent métrage offre alors une nouvelle direction qui débouche, forcément, sur un film à mi chemin entre la fable humaniste et le film où l'action ne possède aucune profondeur puisque ce sont deux camps sans "conscience" qui s'affrontent (l'un en devenir, l'autre en perdition.)
Si Romero utilise sciemment un personnage principal aussi fade, c'est uniquement dans le but d'annihiler toute prétention héroïque qui aurait permit de revaloriser l'être humain. Ici, bien que ce personnage accomplit des actes somme toute salvateur pour ses condisciples, on ne peut pas dire qu'un farouche sentiment d'héroïsme l'accompagne dans sa démarche. Il possède simplement assez d'empathie pour vouloir sauver son espèce, mais pas suffisamment pour pouvoir vivre avec eux. Le personnage est alors fade, parce que désabusé.
S'il est un reproche à faire à LOTD, c'est effectivement dans le traitement trop caricatural du personnage de Dennis Hopper. Il manque de subtilité pour réellement convaincre sans que l'on sente une exagération du trait qui amoindrit considérablement sa portée symbolique. On reconnait évidemment les figures que dénonce Romero, mais le rendu clownesque nuit au message.
En revanche, le cinéaste est bien plus convaincant quand il illustre l'organisation de la société humaine. Bien qu'elle manque de développement, on peut reconnaitre certains stigmates qui caractérisent parfaitement la nouvelle orientation prise par le réalisateur, et cette notion de vouloir inverser les rôles entre zombis et humains. Romero semble vouloir dénoncer plus symboliquement la nouvelle condition humaine en prenant pour exemple la société de la rome antique. Ainsi, pour calmer la foule, le peuple de sa misérable condition, on offre des jeux sanglants, barbares, comme un retour aux jeux de gladiator censés apaiser la populace. Ces débordement sanglants jouent ainsi le rôle de catharsis et annihile toute volonté (ou presque) de rebellion. On offre un exorcisme à la mutinerie en permettant aux humains de se défouler sur les zombis, on donne en pâture des prisonniers ou contestaires pour amuser la foule.
Ainsi, Romero, avec bbeaucoup de subtilité, parvient à porter le message le plus important du film, sans que cela nuise au déroulement de son histoire. Ce sont désormais les humains qui attaquent sans raison, avec la plus sauvage des gratuités les zombis, alors que jusqu'à présent, c'était l'inverse. En quelques images (voir également l'intro du film), Romero précise qu'il faut prendre l'histoire à revers pour en saisir toute la portée symbolique. Il présente beaucoup plus d'attention et de compassion à ses zombis à la conscience naissante. Les zombis redeviennent les premiers hommes, une nouvelle évolution. Comme si la vie avait décidé qu'après tant de dérive, il fallait recommencer un nouveau cycle.
Romero ne dénonce plus les même travers de la société, il tient un autre discours qui mérite une nouvelle approche dans sa démarche. C'est pour cela qu'il ne pouvait refaire un film comme zombi, peut-être plus réussi sur le mariage du fond et de la forme (LOTD souffre de certaines carences), mais au symbolisme plus évident et primaire, ce qui en fait un film plus "parfait" mais moins puissant.
Et puis, Romero a toujours montré au sein de cette tetralogie qu'il cherchait à se démarquer des précédents métrages, tout en réussissant son parie à chaque fois. Il le renouvelle une fois encore avec ce LOTD, qui manque peut-être d'ambition formelle, un peu trop sage visuellement, pour totalement convaincre. Mais les idées sont belles et bien présentes.
Vous semblez porter au pinacle le Romero de Zombi sans être capable d'apprécier l'évolution nécessaire de son cycle zombiesque. Land of the dead ne pouvait être aussi sec et rageur que Zombi, bien au contraire. Il suit l'évolution que l'on pouvait déjà entrevoir dans Day of the dead, à savoir, des zombis gagner par une forme d'intelligence en devenir.Il est aberrant d'imaginer que le maître de Pittsburgh puisse ainsi régresser dans sa démarche.
LOTD échange les rôles. Il n'est plus question de métaphoriser les zombis pour revendiquer les tares sociales des hommes, mais bel et bien de stigmatiser ces déviances chez les hommes eux-mêmes, et d'offrir une nouvelle direction en la personne des zombis. Romero fustige l'être humain dans son film, et glorifie les morts vivants. Cette évolution perceptible dans le précédent métrage offre alors une nouvelle direction qui débouche, forcément, sur un film à mi chemin entre la fable humaniste et le film où l'action ne possède aucune profondeur puisque ce sont deux camps sans "conscience" qui s'affrontent (l'un en devenir, l'autre en perdition.)
Si Romero utilise sciemment un personnage principal aussi fade, c'est uniquement dans le but d'annihiler toute prétention héroïque qui aurait permit de revaloriser l'être humain. Ici, bien que ce personnage accomplit des actes somme toute salvateur pour ses condisciples, on ne peut pas dire qu'un farouche sentiment d'héroïsme l'accompagne dans sa démarche. Il possède simplement assez d'empathie pour vouloir sauver son espèce, mais pas suffisamment pour pouvoir vivre avec eux. Le personnage est alors fade, parce que désabusé.
S'il est un reproche à faire à LOTD, c'est effectivement dans le traitement trop caricatural du personnage de Dennis Hopper. Il manque de subtilité pour réellement convaincre sans que l'on sente une exagération du trait qui amoindrit considérablement sa portée symbolique. On reconnait évidemment les figures que dénonce Romero, mais le rendu clownesque nuit au message.
En revanche, le cinéaste est bien plus convaincant quand il illustre l'organisation de la société humaine. Bien qu'elle manque de développement, on peut reconnaitre certains stigmates qui caractérisent parfaitement la nouvelle orientation prise par le réalisateur, et cette notion de vouloir inverser les rôles entre zombis et humains. Romero semble vouloir dénoncer plus symboliquement la nouvelle condition humaine en prenant pour exemple la société de la rome antique. Ainsi, pour calmer la foule, le peuple de sa misérable condition, on offre des jeux sanglants, barbares, comme un retour aux jeux de gladiator censés apaiser la populace. Ces débordement sanglants jouent ainsi le rôle de catharsis et annihile toute volonté (ou presque) de rebellion. On offre un exorcisme à la mutinerie en permettant aux humains de se défouler sur les zombis, on donne en pâture des prisonniers ou contestaires pour amuser la foule.
Ainsi, Romero, avec bbeaucoup de subtilité, parvient à porter le message le plus important du film, sans que cela nuise au déroulement de son histoire. Ce sont désormais les humains qui attaquent sans raison, avec la plus sauvage des gratuités les zombis, alors que jusqu'à présent, c'était l'inverse. En quelques images (voir également l'intro du film), Romero précise qu'il faut prendre l'histoire à revers pour en saisir toute la portée symbolique. Il présente beaucoup plus d'attention et de compassion à ses zombis à la conscience naissante. Les zombis redeviennent les premiers hommes, une nouvelle évolution. Comme si la vie avait décidé qu'après tant de dérive, il fallait recommencer un nouveau cycle.
Romero ne dénonce plus les même travers de la société, il tient un autre discours qui mérite une nouvelle approche dans sa démarche. C'est pour cela qu'il ne pouvait refaire un film comme zombi, peut-être plus réussi sur le mariage du fond et de la forme (LOTD souffre de certaines carences), mais au symbolisme plus évident et primaire, ce qui en fait un film plus "parfait" mais moins puissant.
Et puis, Romero a toujours montré au sein de cette tetralogie qu'il cherchait à se démarquer des précédents métrages, tout en réussissant son parie à chaque fois. Il le renouvelle une fois encore avec ce LOTD, qui manque peut-être d'ambition formelle, un peu trop sage visuellement, pour totalement convaincre. Mais les idées sont belles et bien présentes.
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Oui, LOTD fourmille de très bonnes idées, le problème, c'est que ce film manque cruellement de souffle, les situations et les personnages sont à peine développés et les séquences purement horrifiques sont loin d'être aussi imprésionnantes que dans les précédents volets, y compri "Day of the dead" qui avait pourtant souffert de coupes budgétaires importantes.helel ben sahar a écrit : Et puis, Romero a toujours montré au sein de cette tetralogie qu'il cherchait à se démarquer des précédents métrages, tout en réussissant son parie à chaque fois. Il le renouvelle une fois encore avec ce LOTD, qui manque peut-être d'ambition formelle, un peu trop sage visuellement, pour totalement convaincre. Mais les idées sont belles et bien présentes.
Alors évidement, LOTD peut lui aussi donner à des analyses et à des discussions passionnantes, mais j'ai la désagréable impréssion que celles ci tentent ici à ratrapper les carences du scénario de Roméro et le manque de développement de ses idées, là ou les analyses des ses précédents films étaient, au contraire, rendue nécéssaire par la profusion d'idées et de thématiques longuement développées que ceux ci abordaient.
Pour être claire, les analyses de LOTD servent un peu de béquilles à un film boiteu alors que celles des 3 précédents films constituaient en quelque sorte seulement une plus value à des films déjà passionnants quelque soit l'angle sous lesquels on décidaient de les aborder (en tant que films d'horreur, en tant que métaphore social ou les 2 à la fois).
LOTD est un bon film, un très bon film même. Seulement, il est clair qu'il n'est pas aussi définitf que ses 3 glorieux prédécésseurs.
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POURQUOI s'acharner à comparer des films qui, selon leur auteur, ont été faits à des époques différentes pour justement, être parfaitement intégrés à ces mêmes époques ??
Et pour ceux qui défendent DAY et chient sur LAND, je vous renvoie à la lecture du scénario ORIGINEL de DAY qui risque de vous réserver bien des surprises.
Et pour ceux qui défendent DAY et chient sur LAND, je vous renvoie à la lecture du scénario ORIGINEL de DAY qui risque de vous réserver bien des surprises.
- helel ben sahar
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Les sous-textes et analyses ne servent pas à combler les écueils du films. Ils sont une réalité qui présentent finalement - et à mes yeux - plus d'intérêt que la technique du film.Dragonball a écrit :Oui, LOTD fourmille de très bonnes idées, le problème, c'est que ce film manque cruellement de souffle, les situations et les personnages sont à peine développés et les séquences purement horrifiques sont loin d'être aussi imprésionnantes que dans les précédents volets, y compri "Day of the dead" qui avait pourtant souffert de coupes budgétaires importantes.
Alors évidement, LOTD peut lui aussi donner à des analyses et à des discussions passionnantes, mais j'ai la désagréable impréssion que celles ci tentent ici à ratrapper les carences du scénario de Roméro et le manque de développement de ses idées, là ou les analyses des ses précédents films étaient, au contraire, rendue nécéssaire par la profusion d'idées et de thématiques longuement développées que ceux ci abordaient.
Pour être claire, les analyses de LOTD servent un peu de béquilles à un film boiteu alors que celles des 3 précédents films constituaient en quelque sorte seulement une plus value à des films déjà passionnants quelque soit l'angle sous lesquels on décidaient de les aborder (en tant que films d'horreur, en tant que métaphore social ou les 2 à la fois).
LOTD est un bon film, un très bon film même. Seulement, il est clair qu'il n'est pas aussi définitf que ses 3 glorieux prédécésseurs.
Si LOTD souffre de carence, elles sont formelles (je ne pourrais affirmer le contraire), mais elles se trouvent plus ou moins justifié (les messages n'excusent pas tout, non plus) quant à la démarche autrement plus risquée et aboutie que les précédents films. Romero a pris des risques avec ce nouveau métrage, il ne parvient pas à éviter tous les pièges, mais force est de constaté tout de même que le projet est finalement bien plus ambitieux que les précédents.
La réalisation manquant d'ampleur devient pour moi un moindre mal, lorsque je vois un film à la portée symbolique aussi puissante puisqu'elle rebrousse le chemin parcourru dans les précédents films, sans toutefois les renier ou prendre les spectateurs pour des idiots.
Parce que Day devait à l'origine se passer dans une grande ville ? Je ne vois pas ce que ça change au débat actuel... Le personnage de Bub était intriguant, attachant, mystérieux, plein de possibilité, les zombies faisaient peur. Dans LoTD Big Daddy est risible, pathétique, un simple gimmick de scénario qui tue les méchants du film, les morts-vivants sont des commodités. Les idées sont là mais elles ne sont pas exploitées, elle ne sont pas mise en valeur, à cause d'un scénario que j'ai trouvé mou et caricatural. C'est là que je dis que le film a 15 ans de retard, même Day me paraît plus moderne. J'appelle pas ça de la puissance symbolique ou que sais-je.ZombiGirl a écrit :POURQUOI s'acharner à comparer des films qui, selon leur auteur, ont été faits à des époques différentes pour justement, être parfaitement intégrés à ces mêmes époques ??
Et pour ceux qui défendent DAY et chient sur LAND, je vous renvoie à la lecture du scénario ORIGINEL de DAY qui risque de vous réserver bien des surprises.
- Dragonball
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La grande force des précédents films de romero étaient de pouvoir contenter divers types de cinéphiles. Ceux ci réussissaient à méler dans un savant dosage horreur et reflexion sociale et l'on pouvait ainsi apprécier ces films pour leur reflexions sociologiques, les questions qu'ils souleviaent ou simplement, pour leurs scènes gores anthologiques.
Dans LOTD, se dosage ne marche plus, les reflexions socilogiques sont traité de façon grossière et particulièrement manichéenne et les scènes horrifiques sont très chiche en effets choques.
Bref, beaucoups moins d'individus qu'avant y trouvent leur compte.
Abordé comme un film sociologique, LOTD s'avère comme je l'ai dit très décevant par rapport à ces prédécésseurs, et comme film d'horreur celui s'avère bien décevant aussi par rapports des films nerveux et éfficaces comme le remake burné de Marcus Nipsel (ça y est, je l'ai dit ! ).
Comme je l'ai dit, perso, j'aime bien ce film, et je l'ai déjà revu plusieurs fois. J'essaye jute d'expliquer pourquoi, de mon point de vue, celui a rencontré, lors de sa sortie, pas mal d'hostilité et en a déçu beaucoups, comme Prodigy qui a relancé le débat !
Dans LOTD, se dosage ne marche plus, les reflexions socilogiques sont traité de façon grossière et particulièrement manichéenne et les scènes horrifiques sont très chiche en effets choques.
Bref, beaucoups moins d'individus qu'avant y trouvent leur compte.
Abordé comme un film sociologique, LOTD s'avère comme je l'ai dit très décevant par rapport à ces prédécésseurs, et comme film d'horreur celui s'avère bien décevant aussi par rapports des films nerveux et éfficaces comme le remake burné de Marcus Nipsel (ça y est, je l'ai dit ! ).
Comme je l'ai dit, perso, j'aime bien ce film, et je l'ai déjà revu plusieurs fois. J'essaye jute d'expliquer pourquoi, de mon point de vue, celui a rencontré, lors de sa sortie, pas mal d'hostilité et en a déçu beaucoups, comme Prodigy qui a relancé le débat !
D'accord avec ça, sauf pour Nispel !Dragonball a écrit :Abordé comme un film sociologique, LOTD s'avère comme je l'ai dit très décevant par rapport à ces prédécésseurs, et comme film d'horreur celui s'avère bien décevant aussi par rapports des films nerveux et éfficaces comme le remake burné de Marcus Nipsel (ça y est, je l'ai dit ! ).
A partir du moment ou la charge politique présente dans les précédents films de la série n'est plus là, ou du moins est ratée, on ne peut que juger le film de Romero comme un film de zombies basique.
Et là force est de reconnaitre qu'en tant que tel il se fait juste pulvériser par le Day of The Dead de Zack Snyder.
- tomfincher
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