T'es sur que c'est pas toi, Dario, qui l'a écrite pour nous faire saliver un peu plus ?
Miami Vice : The Movie - Michael Mann (2006)
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dario carpenter
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tiens,cadeau!!kill bill a écrit :Comment elle calme cette critique !
http://www.hollywood-elsewhere.com/arch ... e_vice.php
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dario carpenter
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Découvert pour ma part hier soir en avant première et vous pouvez déjà vous préparer au choc ... Après les demis déceptions que furent pour moi Ali et dans une moindre mesure Collateral, Mann revient en force et livre un polar royal, digne héritier de son magnifique Heat. Je pensais incongru l'idée que Mann veuille se replonger dans l'univers de la série mais son film au final s'en démarque complètement. Acteurs impeccables, galerie de trognes sublimes et réalisation complètement épurée IM-PRE-SSIO-NANTE !!! Deux regrets toutefois que le film ne dure pas 2 heures de plus et qu'il me faille attendre 15 jours pour pouvoir me précipiter à nouveau au cinoche ... Le film sort ici (USA) le 28 je crois ...
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dario carpenter
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Jérôme a écrit :visiblement le choc de cet été, ce Mann
http://emanuellevy.com/article.php?articleID=2892
http://www.slate.com/id/2145622/?nav=tap3
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dario carpenter
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MIAMI VICE
Je précise que c'est le film que j'attendais le plus de l'année.
En fait je n'ai jamais autant attendu un film...
Pour mieux l'apprécier, je vous conseille de lire ce qui suit
(désolé c'est à chaud et déstructuré
)
Pas de générique ni de titre ; hop on est dans le bain, scène de boîte avec Linkin Park/Jay-Z en fond (qui rend très bien !). En plein coeur d'une mission...
Le film fait penser à "French Connection" avec son approche ultra-réaliste, quasi documentaire. Bref on assiste à un blockbuster (pour l'argent quoi) qui n'en est pas un... Mais il fallait clairement s'y attendre de la part de ce grand homme (d'ailleurs ça risque d'être very hot pour lui au box-office).
Michael Mann se permet d'expérimenter, le montage est vraiment audacieux. Quelle classe dans sa façon de filmer.
Le rythme n'est pas assez soutenu mais on ne s'ennuie pas pour autant.
J'ai toutefois quelques réserves à propos du scénario (un peu bateau et prévisible), de l'interprétation de Colin Farrell (entre autre des fois on dirait qu'il sourit et cache ça avec sa moustache) qui est plus présent à l'écran que son compère et des musiques qui ne sont malheureusement pas enivrantes (on entend plusieurs fois celle du site officiel, celle-ci ça va). Léger manque de profondeur psychologique aussi (peu de dialogues entre les 2 playboys, à croire qu'ils se comprennent juste avec le regard).
Très peu de scènes d'action, peut-être 20 minutes au total.
Une fusillade finale intense mais on est loin de la mythique scène de "Heat".
Sinon y a peu de frime (on ne voit quasiment pas la belle caisse de Sonny) et les bande-annonces ne sont pas représentatives du bébé (plein de plans absents, normal à la vue des déboires).
Les golios qui pensaient voir "Bad Boys" vont être déconcertés et c'est peu dire...
Concernant la reprise de "In the air tonight", elle n'apparait qu'au générique de fin.
Les 2 bad guys sont très convaincants. Gong Li s'en tire bien, Jamie Foxx plutôt bon (idem quelques scènes clochant à mes yeux). Le reste de l'équipe du duo faisant office de figuration (j'exagère à peine).
Bref, une oeuvre qui prendra beaucoup plus de force à la seconde vision (pour moi tout du moins). D'ailleurs j'y retourne d'ici 3 semaines
Il faut donc le voir comme une tranche de vie de Crockett & Tubbs (job, nana). Sans vrai début ni réelle fin.
8,5/10 est la note qui lui ira la prochaine fois.
En tout cas un très bon (grand ?) film à voir sans hésitation.
Je précise que c'est le film que j'attendais le plus de l'année.
En fait je n'ai jamais autant attendu un film...
Pour mieux l'apprécier, je vous conseille de lire ce qui suit
Pas de générique ni de titre ; hop on est dans le bain, scène de boîte avec Linkin Park/Jay-Z en fond (qui rend très bien !). En plein coeur d'une mission...
Le film fait penser à "French Connection" avec son approche ultra-réaliste, quasi documentaire. Bref on assiste à un blockbuster (pour l'argent quoi) qui n'en est pas un... Mais il fallait clairement s'y attendre de la part de ce grand homme (d'ailleurs ça risque d'être very hot pour lui au box-office).
Michael Mann se permet d'expérimenter, le montage est vraiment audacieux. Quelle classe dans sa façon de filmer.
Le rythme n'est pas assez soutenu mais on ne s'ennuie pas pour autant.
J'ai toutefois quelques réserves à propos du scénario (un peu bateau et prévisible), de l'interprétation de Colin Farrell (entre autre des fois on dirait qu'il sourit et cache ça avec sa moustache) qui est plus présent à l'écran que son compère et des musiques qui ne sont malheureusement pas enivrantes (on entend plusieurs fois celle du site officiel, celle-ci ça va). Léger manque de profondeur psychologique aussi (peu de dialogues entre les 2 playboys, à croire qu'ils se comprennent juste avec le regard).
Très peu de scènes d'action, peut-être 20 minutes au total.
Une fusillade finale intense mais on est loin de la mythique scène de "Heat".
Sinon y a peu de frime (on ne voit quasiment pas la belle caisse de Sonny) et les bande-annonces ne sont pas représentatives du bébé (plein de plans absents, normal à la vue des déboires).
Les golios qui pensaient voir "Bad Boys" vont être déconcertés et c'est peu dire...
Concernant la reprise de "In the air tonight", elle n'apparait qu'au générique de fin.
Les 2 bad guys sont très convaincants. Gong Li s'en tire bien, Jamie Foxx plutôt bon (idem quelques scènes clochant à mes yeux). Le reste de l'équipe du duo faisant office de figuration (j'exagère à peine).
Bref, une oeuvre qui prendra beaucoup plus de force à la seconde vision (pour moi tout du moins). D'ailleurs j'y retourne d'ici 3 semaines
Il faut donc le voir comme une tranche de vie de Crockett & Tubbs (job, nana). Sans vrai début ni réelle fin.
8,5/10 est la note qui lui ira la prochaine fois.
En tout cas un très bon (grand ?) film à voir sans hésitation.
Modifié en dernier par Riddick le mar. juil. 25, 2006 2:01 pm, modifié 2 fois.
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Prétentieux, laid, immonde, chiant.. J'ai détesté ce truc. Rarement vu des images aussi moches, une photo terne caractérisée par une absence intolérable de couleurs. Et cette caméra à l'épaule, purement vomitive. Cela se prend trop au sérieux et la bande son enchaîne les hits de manière intolérable. Les gens ont adoré autour de moi. Tant mieux, le public lui va fuir! Quant à moi, j'ai quitté la projo de presse furieux au bout d'1 heure de calvaire digne de la la Passion... Ouf, je n'ai pas à écrire sur ce rebut estival.
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dario carpenter
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Zecreep a écrit :Prétentieux, laid, immonde, chiant.. J'ai détesté ce truc. Rarement vu des images aussi moches, une photo terne caractérisée par une absence intolérable de couleurs. Et cette caméra à l'épaule, purement vomitive. Cela se prend trop au sérieux et la bande son enchaîne les hits de manière intolérable. Les gens ont adoré autour de moi. Tant mieux, le public lui va fuir! Quant à moi, j'ai quitté la projo de presse furieux au bout d'1 heure de calvaire digne de la la Passion... Ouf, je n'ai pas à écrire sur ce rebut estival.
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c'était encore plus douloureux que "Manhunter"?
bon,effectivement,les dvdramistes ont apprécié...:
http://www.excessif.com/news.php?16143
- kill bill
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Bon, commençons tout d'abord par préciser que mon avis est plus proche de celui de Riddick que de celui de Zecreep.
Tout comme Riddick, j'attendais bien évidemment énormément ce Mann en espérant qu'il renvoie Collateral à l'état de brouillon mais en redoutant en même temps que non... La réponse est entre les deux.
L'histoire tout d'abord, garantie spoiler free :
Sonny Crocket (Colin Farrell), Riccardo Tubbs (Jamie Foxx) et leur équipe sont dans une boite de nuit pour une opération de surveillance... Mais la mission est avortée et Sonny reçoit un appel d'un indic qui ne les avait pas contactés depuis six mois et qui semble tout à fait paniqué. Pendant ce temps, sur les quais, un échange a lieu entre un trafiquant de drogue nazi et son client. L'échange effectué, le trafiquant ouvre le feu (et quel feu !) sur le client sous prétexte qu'il est de la police. Ce qui est vrai, c'était un agent du FBI. Les affaires de l'indic et le mec du FBI coïncidant, Castillo (que c'est bon de retrouver ces noms !) charge ses deux meilleurs agents (devinez c'est qui ?
) d'infiltrer le réseau de trafiquant et d'essayer de débusquer la taupe au FBI...
Alors ça commence sur les chapeaux de roues, sans présentation de personnages, on est plongé immédiatement dans l'histoire digne des meilleurs épisodes de la série. Sauf que, dans la série, l'intrigue s'étalait sur la moitié d'une saison, alors que là c'est torché en 2H30.
D'ailleurs, blockbuster oblige (?), Michael Mann se permet beaucoup moins de digressions que précédemment, ces plans d'ambiance qui sont sa signature et qui contribuaient à donner une âme à ses films. Là, on ne lâche pas d'une semelle Crocket et Tubbs (enfin surtout Crockett en fait...) et les plans d'ambiance sont en fait à chercher directement dans les images de l'intrigue principale. Je m'explique : grâce à l'image numérique, Mann délivre des plans hallucinants d'information, le travail sur les arrières plans est en tout point remarquable, et le numérique est employé encore un cran plus haut que dans Collateral (certaines scènes sont travaillées pour avoir du grain tandis que d'autre sont d'une luminosité et d'un piqué parfaits !). Pour moi, la meilleure utilisation du numérique dans une mise en scène à ce jour !
Voila, ça c'est pour la mise en scène, qui n'est pas dénuée non plus de ces quelques éclairs de génie qui viennent de ci de là agrémenter le métrage. Mais ce ne sont que de très courtes fulgurances, n'attendez pas à voir LA scène qui déchire, tout simplement parce qu'il n'y en a pas.
Et c'est là que pointe la déception : le meilleur de Mann semble être déja derrière lui. Le spectacle est de qualité, mais Mann nous a tellement habitué à franchir un nouveau cran à chaque film qu'un gout de déception se fait sentir à la fin.
Et puis le film, là aussi blockbuster oblige, ne bénéficie que d'une lecture unique, totalement premier degré contrairement à, au hasard, Heat. Le film n'est donc en aucun point comparable à Heat, car Miami Vice ne peut souffrir la comparaison de la richesse thématique, de la densité des personnages et des séquences never seen before vues dans Heat.
Pour vous dire la banalité, lors de la séquence finale (qui déchire quand même, mais bon... enfin vous verrez...), je me suis pris à penser à 36, Quai des Orfèvres... Un comble, non ?
Voilà, maintenant je préfère Miami Vice à Collateral, car le film est plus complet, plus abouti et le scénar, même basique, n'est pas un scénar de série B.
Enfin, les quelques images qui me restent :
-Colin Farell et Jamie Foxx : j'avais peur que ça tourne au concours de plus grosses bites (le début fait assez peur en cela...) mais en fait non, ils sont presque parfaits.
-Gong Li
On est loin de L'Oréal. Une révélation pour ma part...
-quelques plans ou séquences très inspirés (très Mann...) où les regards (ou même un dos !) sont plus éloquents que de longs dialogues.
-les deux scènes de cul assez novatrices sans chercher la surenchère, ça fait du bien.
-Enfin, j'avais pas entendu de tels sons de flingues (et de sulfateuses) depuis... bah Heat en fait !
Voila, j'espère que j'ai pas été trop long, mais bon j'avais le temps ce soir...
Tout comme Riddick, j'attendais bien évidemment énormément ce Mann en espérant qu'il renvoie Collateral à l'état de brouillon mais en redoutant en même temps que non... La réponse est entre les deux.
L'histoire tout d'abord, garantie spoiler free :
Sonny Crocket (Colin Farrell), Riccardo Tubbs (Jamie Foxx) et leur équipe sont dans une boite de nuit pour une opération de surveillance... Mais la mission est avortée et Sonny reçoit un appel d'un indic qui ne les avait pas contactés depuis six mois et qui semble tout à fait paniqué. Pendant ce temps, sur les quais, un échange a lieu entre un trafiquant de drogue nazi et son client. L'échange effectué, le trafiquant ouvre le feu (et quel feu !) sur le client sous prétexte qu'il est de la police. Ce qui est vrai, c'était un agent du FBI. Les affaires de l'indic et le mec du FBI coïncidant, Castillo (que c'est bon de retrouver ces noms !) charge ses deux meilleurs agents (devinez c'est qui ?
Alors ça commence sur les chapeaux de roues, sans présentation de personnages, on est plongé immédiatement dans l'histoire digne des meilleurs épisodes de la série. Sauf que, dans la série, l'intrigue s'étalait sur la moitié d'une saison, alors que là c'est torché en 2H30.
D'ailleurs, blockbuster oblige (?), Michael Mann se permet beaucoup moins de digressions que précédemment, ces plans d'ambiance qui sont sa signature et qui contribuaient à donner une âme à ses films. Là, on ne lâche pas d'une semelle Crocket et Tubbs (enfin surtout Crockett en fait...) et les plans d'ambiance sont en fait à chercher directement dans les images de l'intrigue principale. Je m'explique : grâce à l'image numérique, Mann délivre des plans hallucinants d'information, le travail sur les arrières plans est en tout point remarquable, et le numérique est employé encore un cran plus haut que dans Collateral (certaines scènes sont travaillées pour avoir du grain tandis que d'autre sont d'une luminosité et d'un piqué parfaits !). Pour moi, la meilleure utilisation du numérique dans une mise en scène à ce jour !
Voila, ça c'est pour la mise en scène, qui n'est pas dénuée non plus de ces quelques éclairs de génie qui viennent de ci de là agrémenter le métrage. Mais ce ne sont que de très courtes fulgurances, n'attendez pas à voir LA scène qui déchire, tout simplement parce qu'il n'y en a pas.
Et c'est là que pointe la déception : le meilleur de Mann semble être déja derrière lui. Le spectacle est de qualité, mais Mann nous a tellement habitué à franchir un nouveau cran à chaque film qu'un gout de déception se fait sentir à la fin.
Et puis le film, là aussi blockbuster oblige, ne bénéficie que d'une lecture unique, totalement premier degré contrairement à, au hasard, Heat. Le film n'est donc en aucun point comparable à Heat, car Miami Vice ne peut souffrir la comparaison de la richesse thématique, de la densité des personnages et des séquences never seen before vues dans Heat.
Pour vous dire la banalité, lors de la séquence finale (qui déchire quand même, mais bon... enfin vous verrez...), je me suis pris à penser à 36, Quai des Orfèvres... Un comble, non ?
Voilà, maintenant je préfère Miami Vice à Collateral, car le film est plus complet, plus abouti et le scénar, même basique, n'est pas un scénar de série B.
Enfin, les quelques images qui me restent :
-Colin Farell et Jamie Foxx : j'avais peur que ça tourne au concours de plus grosses bites (le début fait assez peur en cela...) mais en fait non, ils sont presque parfaits.
-Gong Li
-quelques plans ou séquences très inspirés (très Mann...) où les regards (ou même un dos !) sont plus éloquents que de longs dialogues.
-les deux scènes de cul assez novatrices sans chercher la surenchère, ça fait du bien.
-Enfin, j'avais pas entendu de tels sons de flingues (et de sulfateuses) depuis... bah Heat en fait !
Voila, j'espère que j'ai pas été trop long, mais bon j'avais le temps ce soir...
"Hey terrorist ! Terrorize this !"
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dario carpenter
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c'est peut être aussi parce qu'avec 5 films au compteur,il a déjà tout donné dans sa veine polar...kill bill a écrit :Et c'est là que pointe la déception : le meilleur de Mann semble être déja derrière lui. Le spectacle est de qualité, mais Mann nous a tellement habitué à franchir un nouveau cran à chaque film qu'un gout de déception se fait sentir à la fin.
- kill bill
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Bah oui, mais un film-somme, ce serait tellement bien aussi...dario carpenter a écrit :c'est peut être aussi parce qu'avec 5 films au compteur,il a déjà tout donné dans sa veine polar...kill bill a écrit :Et c'est là que pointe la déception : le meilleur de Mann semble être déja derrière lui. Le spectacle est de qualité, mais Mann nous a tellement habitué à franchir un nouveau cran à chaque film qu'un gout de déception se fait sentir à la fin.
"Hey terrorist ! Terrorize this !"
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dario carpenter
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burialoftherats
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vu aussi hier matin
Perso je trouve le film excellent (a part quelques musiques trop rock fm pour mes oreilles (pourtant jsuis fan de la bo de manhunter
)).
Ceci dit, on sent vraiment les coupes de la prod pour ramener le film a 2h15.
Du coup, au revoir a beaucoup de digressions atmospheriques (essentielles d'habitude).
et vivement le director's cut.
en tout cas, bravo supermann.
une fois de plus
Perso je trouve le film excellent (a part quelques musiques trop rock fm pour mes oreilles (pourtant jsuis fan de la bo de manhunter
Ceci dit, on sent vraiment les coupes de la prod pour ramener le film a 2h15.
Du coup, au revoir a beaucoup de digressions atmospheriques (essentielles d'habitude).
et vivement le director's cut.
en tout cas, bravo supermann.
une fois de plus


