Source : Filmdeculte.Neo-Tokyo 2019. Un gang de jeunes motards tombe par hasard sur un enfant au regard triste poursuivi par l'armée. Entré en contact avec celui-ci, Tetsuo est fait prisonnier par les militaires qui se lancent dans diverses expérimentations.
Il serait difficile de résumer les sensations que procure un film comme Akira lorsqu'on le découvre, la claque qu'on se prend en pleine face alors qu'on n'a encore presque uniquement comme principale référence les dessins animés japonais du Club Dorothée. Evidement la première fois ça fait un choque !
Paradoxalement, c'est peut être un peu de la faute d'Akira si je ne me suis jamais réelement intéréssé de faisant continue aux animées japonais.
En effet, dans un style simialire à Akira, un mélange donc, de S.F, d'ambiance cyber punk, d'émotion et de violence, je n'ai jamais trouvé mieux. Pire, j'ai n'ai souvent trouvé que largement moins bien. Evidement, il s'agissait le plus souvent de séries ou d'O.A.V (Gumn, Patlabor, Wonderful Days, etc, etc ...), ne pouvant pas absolument pas rivaliser, en terme de budget de moyens et tout simplement d'ambition, avec le film de Katsuhiro Otomo. Cependant, même après avoir vu des productions aussi ambitieuses qu'excellente comme Steamboy, du papa d'Akira, ou Métroplis, de Rintaro, Akira me semble encore loin devant.
Mais bon, comme je l'ai dis, je ne connais pas encore énormément de mangas, cependant, Akira, qu'ayant quelques petits défauts (Dont une petite baisse de rythme dans sa seconde partie) me semble insurpassable !
Et c'est quand un peu frustrant quand on a commencé par celui ci !