The Hearse - George Bowers (1980)

[Superwonderscope]

L'inoubliable réalisateur de "L'été du bac" a aussi donné dans le fantastique. Témoin ce "the hearse" (le corbillard).

Trish van devere y jour le role d'e Jane, se relevant d'une dépression. Après son divorce et la mort de sa mère, elle hérite de la maison de sa tante Rebecca, en pleine campagne californienne. Après avoir signé les papiers chez le notaire du coin (Joseph Cotten) elle eménage. Au grand dam des villageois qui ne lui repondent que par le mépris. La maison est réputée hantée et Rebacca considéré comme adoratrice de Satan.
Jane est alors victime d'una ccident provoqué par un corbillard et d'un inquiétant conducteur bizarrement vétu. Elle se fait harceler par ce corbillard et est victime d'hallucinations.


Classique histoire de maison hantée, de messe noire et de village reculé méprisant le jeune femme libérée venant de la ville, The Hearse ressemble quelque peu à Trauma de Dan Curtis pour l'ambiance de folie qui s'empare de chacun. Malheureusmeent, le rythme est assez lent et la tension pratiquement inexistante. trish Van devere est largement crédible, portant le film sur ses épaules, mais c'est hélas bien tout. Le film se laisse suivre assez bien, toutefois, le scénario ménageanrt quelque suspense pas désabréagble. Et le film de générer quelques frissons & sursauts bienvenus, quoiqu'assez classiques dans la forme.

des effets de steadycam subjective - qui ne servent à rien / et qui durent de manière interminable. Un exemple :partant de l'extérieur d el maison, la caméra remonte leeeeeentement les escaliers pour terminer dans la salle de bain ou Jane prend une douche...pour finalement se retirer. Pourqui? Pour rien. si. le film dure alors 3 mn de plus. Aucune tension, malgré les effets stridents sonores et la musique macabre.

le film tombe alors dans un schéma là aussi assez classique de l'heroine en train de virer folle, de vivre un cauchemar, ou d'etre victime du diable lui-même, à la Rosemary's baby. ce qu donne une scène de pseudo exorcismer avec un pretre echevelé à la limite du ridicule.

Pourtant, il y a quelques belles scènes joliment photographiées. hélas perdues dans les 95 mn du métrage un peu hasardeux, tentant de maintenir une atmosphère étrange, entre fantastique et folie, sans jamais céder ni à l'un ni à l'autre et restant sur une conclusion insatisfaisante, laissant des trous dans un scénario déjà bien bancal.

[Superwonderscope]

Le film arrive en DVD/Blu Ray US chez Vinegar Syndrome Le 30/05/2017