Je n'ai vu aucun thread au sujet de ce film et il me fait de l'oeil. C'est son sujet qui me fait de l'oeil...
C'est donc l'histoire d'un afro américain qui décide de devenir plongeur pour l'armée américaine dans les années 30. Le jeune plongeur (Cuba Gooding Jr.) sera mis en opposition avec son instructeur, un vieux de la vieille joué par Robert De Niro.
Ce qui m'attires, ce sont les séquences sous-marines, je suppose que le reste doit etre très convenu type téléfilm de M6 (à force de courage, on arrive a atteindre ses buts que je sois une militaire lesbienne, une mere au foyer atteinte de leucémie ou je ne sais quoi !).
Je n'ai pas vu le film, ça vaut quoi ?
Les Chemins de la Dignité (2000) George Tillman Jr.
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Les Chemins de la Dignité (2000) George Tillman Jr.
"Fuck The World", Rambo
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rusty james
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- Enregistré le : ven. avr. 30, 2004 7:41 am
C'est surtout du M6 style à la sauce mélo. Me souviens pas qu'il y est 50 scènes de plongé 
et c'est plus le "suspense" qui prime que de magnifique traveling à travers les flots (l'eau est toute vaseuse si je me souviens bien de toute façon 
)
C'était pas une purge non plus, loin de là mais faut être dans le trippe, le trait est quand même évidemment bien forcé
Sinon il parait que c'est un des plus beau blu ray sorti pour le moment...
et c'est plus le "suspense" qui prime que de magnifique traveling à travers les flots (l'eau est toute vaseuse si je me souviens bien de toute façon )C'était pas une purge non plus, loin de là mais faut être dans le trippe, le trait est quand même évidemment bien forcé
Sinon il parait que c'est un des plus beau blu ray sorti pour le moment...
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rusty james
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Bein nan mais je me souviens qu'ici même il y a quelques temps quand les DVD était plus rare on signalait les disques qui valaient vraiment le coup question qualité vidéo et son... même si c'est pas le genre qui nous interesse le plus particulièrement 
Cà aurait été un HD DVD je l'aurais signalé aussi mais il se trouve que je ne suis pas l'actualité HD DVD voilà tout.
Et j'espère pouvoir lire des contrandus d'autres personnes concernant la qualité des nouveaux supports d'ici (bein oui c'est à toi que je pense MadXav
entre autre...), çà peut aider ^^ et encore mieux ! Sur le site - même si hd dvd seraient chroniqués aussi encore une fois - (comme tu l'avais fait avec le laser disque à ses débuts avec ton site dédié) !
Fin de la paranthèse.
Cà aurait été un HD DVD je l'aurais signalé aussi mais il se trouve que je ne suis pas l'actualité HD DVD voilà tout.
Et j'espère pouvoir lire des contrandus d'autres personnes concernant la qualité des nouveaux supports d'ici (bein oui c'est à toi que je pense MadXav
entre autre...), çà peut aider ^^ et encore mieux ! Sur le site - même si hd dvd seraient chroniqués aussi encore une fois - (comme tu l'avais fait avec le laser disque à ses débuts avec ton site dédié) ! Fin de la paranthèse.
Mouaif, j'avais trouvé ça pas terrible du tout. Cuba en fait des caisses comme d'habitude, De Niro cachetonne en instructeur vachard, il n'y pas d'idées, pas de style dans la mise en scène, on voit venir la plupart des péripéties et même Mark Isham - un compositeur que j'aime beaucoup - aurait mieux fait de rester coucher ce jour là. Son score est carrèment pénible, c'est pour moi le pire qu'il ait écrit. Quant aux séquences sous-marines, je ne m'en rappelle plus du tout, et je serais donc tenté de dire qu'elles étaient relativement quelconques.
Bon, ben, ça y est, je l'ai vu, cela faisait trop longtemps qu'il me faisait de l'oeil, lui et je l'ai donc acheté hier.
C'est donc l'histoire d'un fils de fermier noir qui s'engage dans la Marine sous les promesses d'un recruteur qui lui promet la gloire et l'aventure. Il n'obtient pas du tout cela mais a force de volonté, il réussi a se faire "accepter" à l'ecole d'instruction des plongeurs. L'histoire ne se déroule pas de nos jours et on plonge donc avec les scaphandres de 100 kg reliés avec un tuyau d'air au navire d'où vous êtes partis.
Cuba Gooding Jr. incarne donc le héros noir qui va faire face au racisme ambiant de l'Amérique de cette époque. Vachard, mais finalement avec un bon fond, son instructeur est incarné par Robert De Niro. En soit, les deux acteurs assurent plutôt leur salaire. A choisir, je prefere Cuba Gooding Jr. si on doit comparer les deux prestations. On pourra aussi voir au détour de certains passages du film Powers Boothe en capitaine de navire dur mais sympa ou encore Hal Holbrook en commandant parait il cintré mais en tout cas bien degueulasse.
La chose est produite par Bill Cosby et mise en scène par George Tillman Jr. Autant dire que nous sommes donc en plein dans une production afro americaine militante. Mais le tout a de petits pieds et on nous parle du passé de façon à faire ressortir à gros traits le racisme ainsi que les gros obstacles auquel les noirs devaient faire face auparavant (mais aussi, dans une moindre mesure, de nos jours). Mais le métrage n'a pas la force d'un coup dans la machoire type Spike Lee et trace sans grande saveur le parcours atypique de son personnage principal.
L'histoire du film retrace donc celle tout a fait réelle d'un plongeur américain. Premier problème, sur les deux heures de métrage, le film a du mal à condenser son histoire et certains passages ressemblent plus à des vignettes qu'à une véritable narration. Le résultat donne l'impression de découvrir une version morcelée d'une mini série de 6 heures. Le passage du temps est ainsi toujours laissé dans un flou assez étrange. Les relations des personnages n'ont ainsi pas le temps d'évoluer et on n'a quand meme l'impression que pour former un scaphandrier à l'époque, il fallait 72 heures. Le film peche par un scénario assez mal foutu ou alors il était écrit pour un spectacle d'une durée largement plus imposante.
Quelques scènes sous-marines viennent émailler le drame humain. Cela n'a rien à voir avec INTO THE BLUE (les belles formes de Jessica lechée par l'onde marine et...
), la plongée en scaphandre se fait dans des environnements moins paradisiaque. Ce n'etait de toutes façons pas le propos du film de faire du tourisme sous-marin. On retiendra deux séquences impressionnantes (ou en tout cas tendues), celle d'un navire échoué au fond de l'eau qui glisse sur le sol pendant que des plongeurs sont à l'intérieur. Et, dans une moindre mesure, l'affrontement entre un plongeur et un submersible soviètique. Affrontement qui n'a rien d'un combat, cela ressemble plus à de la corrida !
Pour le reste, si la narration est assez mal foutue, le film est cousu de fil blanc. Notre héros va donc arriver jusqu'au bout de ses rêves ou de ses ambitions à force de volonté et ce contre tous les obstacles qui se dressent sur son chemin. Malgré tous ses défauts, LES CHEMINS DE LA DIGNITE reste un film regardable mais franchement oubliable. Pas désagreable, donc, mais loin d'être une oeuvre à retenir !
Est-ce qu'il s'agit de l'un des meilleurs Blu Ray sortis à ce jour ? J'en doute fortement mais je n'en sais rien, de ma petite vie, je n'ai vu qu'un seul Blu Ray. Impossible de comparer ! Ca, c'est pour ennuyer Mr Rusty. De ce que j'ai vu du film, sur mon écran, l'image etait tres propre, tres detaillée mais elle etait surtout à l'image du film lui-même. Bien foutu mais rien ne laissant une impression de grand spectacle, de ceux qui vous font rever, de ceux qui vous donnent envie de vous attacher des poids pour aller visiter le fond des océans.
Le son est, par contre, par instant très percutant. Ce n'est pas forcement ce que j'ai entendu de mieux mais ça avait une méchante peche sur certains passages.
Pour faire plaisir à Rusty (le copain de Rintintin ?), v'la une image...
C'est donc l'histoire d'un fils de fermier noir qui s'engage dans la Marine sous les promesses d'un recruteur qui lui promet la gloire et l'aventure. Il n'obtient pas du tout cela mais a force de volonté, il réussi a se faire "accepter" à l'ecole d'instruction des plongeurs. L'histoire ne se déroule pas de nos jours et on plonge donc avec les scaphandres de 100 kg reliés avec un tuyau d'air au navire d'où vous êtes partis.
Cuba Gooding Jr. incarne donc le héros noir qui va faire face au racisme ambiant de l'Amérique de cette époque. Vachard, mais finalement avec un bon fond, son instructeur est incarné par Robert De Niro. En soit, les deux acteurs assurent plutôt leur salaire. A choisir, je prefere Cuba Gooding Jr. si on doit comparer les deux prestations. On pourra aussi voir au détour de certains passages du film Powers Boothe en capitaine de navire dur mais sympa ou encore Hal Holbrook en commandant parait il cintré mais en tout cas bien degueulasse.
La chose est produite par Bill Cosby et mise en scène par George Tillman Jr. Autant dire que nous sommes donc en plein dans une production afro americaine militante. Mais le tout a de petits pieds et on nous parle du passé de façon à faire ressortir à gros traits le racisme ainsi que les gros obstacles auquel les noirs devaient faire face auparavant (mais aussi, dans une moindre mesure, de nos jours). Mais le métrage n'a pas la force d'un coup dans la machoire type Spike Lee et trace sans grande saveur le parcours atypique de son personnage principal.
L'histoire du film retrace donc celle tout a fait réelle d'un plongeur américain. Premier problème, sur les deux heures de métrage, le film a du mal à condenser son histoire et certains passages ressemblent plus à des vignettes qu'à une véritable narration. Le résultat donne l'impression de découvrir une version morcelée d'une mini série de 6 heures. Le passage du temps est ainsi toujours laissé dans un flou assez étrange. Les relations des personnages n'ont ainsi pas le temps d'évoluer et on n'a quand meme l'impression que pour former un scaphandrier à l'époque, il fallait 72 heures. Le film peche par un scénario assez mal foutu ou alors il était écrit pour un spectacle d'une durée largement plus imposante.
Quelques scènes sous-marines viennent émailler le drame humain. Cela n'a rien à voir avec INTO THE BLUE (les belles formes de Jessica lechée par l'onde marine et...
), la plongée en scaphandre se fait dans des environnements moins paradisiaque. Ce n'etait de toutes façons pas le propos du film de faire du tourisme sous-marin. On retiendra deux séquences impressionnantes (ou en tout cas tendues), celle d'un navire échoué au fond de l'eau qui glisse sur le sol pendant que des plongeurs sont à l'intérieur. Et, dans une moindre mesure, l'affrontement entre un plongeur et un submersible soviètique. Affrontement qui n'a rien d'un combat, cela ressemble plus à de la corrida !Pour le reste, si la narration est assez mal foutue, le film est cousu de fil blanc. Notre héros va donc arriver jusqu'au bout de ses rêves ou de ses ambitions à force de volonté et ce contre tous les obstacles qui se dressent sur son chemin. Malgré tous ses défauts, LES CHEMINS DE LA DIGNITE reste un film regardable mais franchement oubliable. Pas désagreable, donc, mais loin d'être une oeuvre à retenir !
Est-ce qu'il s'agit de l'un des meilleurs Blu Ray sortis à ce jour ? J'en doute fortement mais je n'en sais rien, de ma petite vie, je n'ai vu qu'un seul Blu Ray. Impossible de comparer ! Ca, c'est pour ennuyer Mr Rusty. De ce que j'ai vu du film, sur mon écran, l'image etait tres propre, tres detaillée mais elle etait surtout à l'image du film lui-même. Bien foutu mais rien ne laissant une impression de grand spectacle, de ceux qui vous font rever, de ceux qui vous donnent envie de vous attacher des poids pour aller visiter le fond des océans.
Le son est, par contre, par instant très percutant. Ce n'est pas forcement ce que j'ai entendu de mieux mais ça avait une méchante peche sur certains passages.
Pour faire plaisir à Rusty (le copain de Rintintin ?), v'la une image...
"Fuck The World", Rambo