The Monolith Monsters (1957) – John Sherwood
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The Monolith Monsters (1957) – John Sherwood
Dans la petite ville de San Angelo, en plein desert, un geologue decouvre une etrange pierre lors de ses releves. Peu de temps après sa decouverte, les morts commencent a s’ammonceler dans cette ville pourtant si tranquille, et a chaque fois, des echantillons du meme minerai sont trouves sur place. Se pourrait-il qu’il y ait une relation entre les deux, et comment enrayer la catastrophe qui s’annonce... ?
Jack Arnold persiste et signe dans son amour pour la science-fiction qui sort des sentiers battus.
Apres s’etre fait la main sur It came from outer Space (1953), avoir donne sur le tard a l’Universal un de ses « classic monsters » avec Creature from the Black Lagoon (1954), avoir lache une tarentule geante sur les ecrans du monde entier dans Tarantula (1955), et tout comme pour cette derniere production, il aura egalement l’idee de l’histoire de TMM, meme si cette fois la realisation incombera a Sherwood.
Dans le monde du fantastique d’Arnold, les extra-terrestres ne sont pas toujours belliqueux, mais seulement mal compris ; il n’est pas necessaire d’avoir une armee de monstres, un seul suffit a la besogne; parfois meme, le monstre n’est pas le bourreau, mais la victime. Ainsi, dans ce metrage, l’invasion qui mettra petit a petit le monde en peril, n’est ni organique, ni vegetal, ni « vivante » d’ailleurs, car « minerale ». Le danger n’en sera pas moins grand…
Si l’intrigue parait « interessante » sur le papier, mais risquee a mettre en images, cette derniere est pourtant des plus reussies.
Une bonne interpretation alliee a une realisation bien rodee et des effets speciaux qui, non seulement ont du produire leur effet a l’epoque, mais parviennent encore a charmer, reussissent ce qui paraissait impossible : faire « peur » avec essentiellement une histoire de « (gigantesques) caillous meurtriers ».
Comme chez Arnold, la realisation est dans cela aidee par un scenario donnant assez de details techniques et scientifiques pour clairement etablir les tenants et aboutissants-meme les plus angoissants—et ainsi « inclure » le spectateur dans le recit.
Meme si Arnold n’occupe pas le siege de realisateur, le spectateur peut ressentir sa « presence » ou son « influence » dans le concept, la narration, la caracterisation des personnages, et cette envie de faire partager au public une aventure « bien troussee » et reposant sur des bonnes “bases”.
Encore une fois, les personnages principaux sont des scientifiques ou erudits. Une fois de plus, la narration scientifique est mise en exergue et represente le moteur du recit. Cette fois-ci, le spectateur aura ainsi droit a un cours accelere en mineralogie et biologie durant le cours du metrage.
Le suspense, grace aux effets speciaux qui parviennent a rendre credible cette catastrophe si rare et inattendue, monte graduellement, jusqu’a ce que l’etendue de la menace se profile dans tout son “gigantisme”.
En voyant le resultat des scenes incluant effets visuels et maquettes, il est evident que les studios Universal ont reussi a tirer profit de leur experiences sur de precedentes productions et ont mis les petits plats dans les grands pour cette aventure « inedite », jusque dans la bande sonore avec son grondement permanent qui accompagne la “marche” des gigantesques “tours” noires sur la ville…
Pour les producteurs, par contre, le concept a du etre un peu trop « depaysant » par rapport aux canons de l’epoque, canons qui n’ont d’ailleurs pas vraiment changes depuis.
Le titre du film finira par inclure le terme « monsters » (au pluriel !), et sur certaines affiches, les victimes sont mises en avant, le tout avec un maquillage etrangement colore, comme si en fait, ils etaient les soi-disant monstres du film. Marketing, quand tu nous tiens…Malheureusement, plus d’un spectateur a ainsi pu se sentir « floue » a la vision du produit fini...
Cinquante ans apres, ce film relativement peu connu du grand public, de par l’originalite de son scenario, la qualite de son interpretation et son excellente realisation, merite definitivement mieux que l’oubli ou une erreur d’orientation marketing et la frilosite des producteurs l’ont cantonne.
A voir, car un film fantastique aussi “original” ne doit pas tomber dans l’oubli !
The Monolith Monsters : 4.5 / 5
Jack Arnold persiste et signe dans son amour pour la science-fiction qui sort des sentiers battus.
Apres s’etre fait la main sur It came from outer Space (1953), avoir donne sur le tard a l’Universal un de ses « classic monsters » avec Creature from the Black Lagoon (1954), avoir lache une tarentule geante sur les ecrans du monde entier dans Tarantula (1955), et tout comme pour cette derniere production, il aura egalement l’idee de l’histoire de TMM, meme si cette fois la realisation incombera a Sherwood.
Dans le monde du fantastique d’Arnold, les extra-terrestres ne sont pas toujours belliqueux, mais seulement mal compris ; il n’est pas necessaire d’avoir une armee de monstres, un seul suffit a la besogne; parfois meme, le monstre n’est pas le bourreau, mais la victime. Ainsi, dans ce metrage, l’invasion qui mettra petit a petit le monde en peril, n’est ni organique, ni vegetal, ni « vivante » d’ailleurs, car « minerale ». Le danger n’en sera pas moins grand…
Si l’intrigue parait « interessante » sur le papier, mais risquee a mettre en images, cette derniere est pourtant des plus reussies.
Une bonne interpretation alliee a une realisation bien rodee et des effets speciaux qui, non seulement ont du produire leur effet a l’epoque, mais parviennent encore a charmer, reussissent ce qui paraissait impossible : faire « peur » avec essentiellement une histoire de « (gigantesques) caillous meurtriers ».
Comme chez Arnold, la realisation est dans cela aidee par un scenario donnant assez de details techniques et scientifiques pour clairement etablir les tenants et aboutissants-meme les plus angoissants—et ainsi « inclure » le spectateur dans le recit.
Meme si Arnold n’occupe pas le siege de realisateur, le spectateur peut ressentir sa « presence » ou son « influence » dans le concept, la narration, la caracterisation des personnages, et cette envie de faire partager au public une aventure « bien troussee » et reposant sur des bonnes “bases”.
Encore une fois, les personnages principaux sont des scientifiques ou erudits. Une fois de plus, la narration scientifique est mise en exergue et represente le moteur du recit. Cette fois-ci, le spectateur aura ainsi droit a un cours accelere en mineralogie et biologie durant le cours du metrage.
Le suspense, grace aux effets speciaux qui parviennent a rendre credible cette catastrophe si rare et inattendue, monte graduellement, jusqu’a ce que l’etendue de la menace se profile dans tout son “gigantisme”.
En voyant le resultat des scenes incluant effets visuels et maquettes, il est evident que les studios Universal ont reussi a tirer profit de leur experiences sur de precedentes productions et ont mis les petits plats dans les grands pour cette aventure « inedite », jusque dans la bande sonore avec son grondement permanent qui accompagne la “marche” des gigantesques “tours” noires sur la ville…
Pour les producteurs, par contre, le concept a du etre un peu trop « depaysant » par rapport aux canons de l’epoque, canons qui n’ont d’ailleurs pas vraiment changes depuis.
Le titre du film finira par inclure le terme « monsters » (au pluriel !), et sur certaines affiches, les victimes sont mises en avant, le tout avec un maquillage etrangement colore, comme si en fait, ils etaient les soi-disant monstres du film. Marketing, quand tu nous tiens…Malheureusement, plus d’un spectateur a ainsi pu se sentir « floue » a la vision du produit fini...
Cinquante ans apres, ce film relativement peu connu du grand public, de par l’originalite de son scenario, la qualite de son interpretation et son excellente realisation, merite definitivement mieux que l’oubli ou une erreur d’orientation marketing et la frilosite des producteurs l’ont cantonne.
A voir, car un film fantastique aussi “original” ne doit pas tomber dans l’oubli !
The Monolith Monsters : 4.5 / 5
En direct du Japon. Bonsoir. A vous, Cognac-Jay.
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Re: The Monolith Monsters (1957) – John Sherwood
Excellente série B écrite par jack Arnold et réalisée par le metteur en scène de la seconde séquelle de la Creature du Lac Noir. Jack Arnold devai en effet produire et réaliser le film, mais fut réassigné par Universal à réaliser un film noir, The Tattered Dress.
Et c'est en effet toujours aussi efficace, même après une troisième vision. Concept novateur pour l'époque (comme le disait blusoul, le titre de tournage état en effet "Monolith"), cette météore qui s'écrase sur terre - à noter que cette scène est reprise directement de la scène d'ouverture de It came from outer space- n'a en effet de nature "monstrueuse" que de par sa transformation au contact de l'eau.
Les effets spéciaux sont d'une soin remarquable, même après 53 ans... maquettes soignées et précises, incrustations, matte paintings... le noir et blanc était d'un avantage crucial mais tout s'imbrique parfaitement! Et les cristaux géants qui grandissent démesurément tut en s'abattant sur les maisons et autres montagnes ont un impact non négligeable, encore aujourd'hui. La notice du LD indiquait que les SFX (maquettes, explosion du barrage, inondations et les monolithes s'auto-reproduisant ont couté à l'époque... 75 458 $. Une misère. Surtout quand on voit la qualité de l'ensemble à l'écran on se dit que cela a facilement couté bien 10 ou 20 fois plus!
Une progression dramatique qui suit une recette classique pour les films de SF Universal, mais menée tambour battant, sans réel faute de rythme qui culmine avec un dénouement film-catatsrophe du plus bel effet. les 77 minutes passent ainsi de anière de plus en plus passionnantes! .Le récit est dynamisé avec des montées de suspense, ajout d'idées et rebondissements (les humains se transformant petit à petit en pierre)... juste le personnage féminin joué par Lola Albright, assez récurrent dans les années 50, qui est juste agaçante et parfois hors de propos. Hormis cette scorie, le traitement du film est toutefois assez adulte, et le propos du film suffisamment original pour être noté.
On reste tout de même à niveau "B" et les amateurs de SF reconnaitront le village ... éjà vu dans Tarantula (et déjà utilisé dans Le Météore de la Nuit, si mes souvenirs sont exacts), tout comme les acteurs de second plan qui étaient des habitués des prods Universal de cette époque, assez interchangeables...
Il n'empeche que le film reste une épatante série B, probablement une des 5 meilleures des années 50 (tout du moins pour moi!).
Revu sur le laserdisc NTSC de chez Uniersal, sorti das le coffret " Golden Age of Science Fiction", en quadruple programme avec Leech Woman, The Land Unknown (en scope) et Monster on the Campus. Une copie plus qu'honorable, par ailleurs!
Et c'est en effet toujours aussi efficace, même après une troisième vision. Concept novateur pour l'époque (comme le disait blusoul, le titre de tournage état en effet "Monolith"), cette météore qui s'écrase sur terre - à noter que cette scène est reprise directement de la scène d'ouverture de It came from outer space- n'a en effet de nature "monstrueuse" que de par sa transformation au contact de l'eau.
Les effets spéciaux sont d'une soin remarquable, même après 53 ans... maquettes soignées et précises, incrustations, matte paintings... le noir et blanc était d'un avantage crucial mais tout s'imbrique parfaitement! Et les cristaux géants qui grandissent démesurément tut en s'abattant sur les maisons et autres montagnes ont un impact non négligeable, encore aujourd'hui. La notice du LD indiquait que les SFX (maquettes, explosion du barrage, inondations et les monolithes s'auto-reproduisant ont couté à l'époque... 75 458 $. Une misère. Surtout quand on voit la qualité de l'ensemble à l'écran on se dit que cela a facilement couté bien 10 ou 20 fois plus!
Une progression dramatique qui suit une recette classique pour les films de SF Universal, mais menée tambour battant, sans réel faute de rythme qui culmine avec un dénouement film-catatsrophe du plus bel effet. les 77 minutes passent ainsi de anière de plus en plus passionnantes! .Le récit est dynamisé avec des montées de suspense, ajout d'idées et rebondissements (les humains se transformant petit à petit en pierre)... juste le personnage féminin joué par Lola Albright, assez récurrent dans les années 50, qui est juste agaçante et parfois hors de propos. Hormis cette scorie, le traitement du film est toutefois assez adulte, et le propos du film suffisamment original pour être noté.
On reste tout de même à niveau "B" et les amateurs de SF reconnaitront le village ... éjà vu dans Tarantula (et déjà utilisé dans Le Météore de la Nuit, si mes souvenirs sont exacts), tout comme les acteurs de second plan qui étaient des habitués des prods Universal de cette époque, assez interchangeables...
Il n'empeche que le film reste une épatante série B, probablement une des 5 meilleures des années 50 (tout du moins pour moi!).
Revu sur le laserdisc NTSC de chez Uniersal, sorti das le coffret " Golden Age of Science Fiction", en quadruple programme avec Leech Woman, The Land Unknown (en scope) et Monster on the Campus. Une copie plus qu'honorable, par ailleurs!
Oh really? Well then I'm sure you wouldn't mind giving us a detailed account of exactly how you concocted this miracle glue, would you ?
Re: The Monolith Monsters (1957) – John Sherwood
Et bin à vous lire tous les deux, il faut que je visionne cettr perle des 50!
Je vais ressortir mon coffret Universal zone 1 que j'avais oublié dans un coin de ma vidéothèque!

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Re: The Monolith Monsters (1957) – John Sherwood
Monolith Monsters mérite en effet bien mieux que l'ombre dans laquelle il a été cantonné. Faute au thème peu ordinaire qu'il traite et, bien sûr, avec assez peu de rapport dans les grands sujets des années 50 (peur du nucléaire, gigantisme animal, attaques extra-terrestres...), le film de John Sherwood s'en éloignant assez diamétralement.




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Re: The Monolith Monsters (1957) – John Sherwood
Au risque de me repeter; vas-y, c'est du tout bon!
J'avais decouvert le film dans le cycle Jack Arnold de la troisieme chaine allemande fin des annees 70s / debut 80s. Nos amis d'Outre-Rhin avait tendance a resortir Jack Arnold tous les deux ans a une epoque. Bizarrement, ils incluaient aussi le troisieme volet de la Creature du Lagon Noir (de--justement--John Sherwood) et The Monolith Monsters. M'enfin, que du bonheur!
Pour faire un bon "double-bill" de Bis 50s, rajoute The Mole People (1956) de Vogel, un chouillat en-dessous de TMM, mais sympatoche quand meme!
Bonne vision.

J'avais decouvert le film dans le cycle Jack Arnold de la troisieme chaine allemande fin des annees 70s / debut 80s. Nos amis d'Outre-Rhin avait tendance a resortir Jack Arnold tous les deux ans a une epoque. Bizarrement, ils incluaient aussi le troisieme volet de la Creature du Lagon Noir (de--justement--John Sherwood) et The Monolith Monsters. M'enfin, que du bonheur!

Pour faire un bon "double-bill" de Bis 50s, rajoute The Mole People (1956) de Vogel, un chouillat en-dessous de TMM, mais sympatoche quand meme!

Bonne vision.
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Re: The Monolith Monsters (1957) – John Sherwood
Merci.bluesoul a écrit :Pour faire un bon "double-bill" de Bis 50s, rajoute The Mole People (1956) de Vogel, un chouillat en-dessous de TMM, mais sympatoche quand meme!![]()
Bonne vision.
Comme j'ai celui-là aussi, me reste à trouver un soirée tranquille pour m'y attaquer!

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Re: The Monolith Monsters (1957) – John Sherwood
Blu-Ray en allemagne le 28 mars


Sa place est dans un Blu-Ray !
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Re: The Monolith Monsters (1957) – John Sherwood
Disponible chez nous en DVD à la demande dans la collection Etoiles


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Re: The Monolith Monsters (1957) – John Sherwood
La question a sans doute peu d'importance pour plusieurs ici, mais...comte vonkrolock a écrit :Disponible chez nous en DVD à la demande dans la collection Etoiles
Est-ce que le disque propose la VF itou?

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Re: The Monolith Monsters (1957) – John Sherwood
Pas de VF sur le dvd.
en fait, je me demande s'il y a bien eu une VF encore de dispo?
en fait, je me demande s'il y a bien eu une VF encore de dispo?
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Re: The Monolith Monsters (1957) – John Sherwood
Merci pour l'info.Superwonderscope a écrit :Pas de VF sur le dvd.
en fait, je me demande s'il y a bien eu une VF encore de dispo?

Universal a dans cette collection L'Oasis des Tempêtes avec une VF. Ça m'a étonné que l'on offre la VF pour ce titre encore moins connu, il me semble, que The Monolith Monsters.
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Re: The Monolith Monsters (1957) – John Sherwood
Beau film en effet à (re)découvrir, on y retrouve bien la patte de Jack Arnold. Même s'il n'est pas dernière la caméra. On y retrouve comme sur certains de ces précédents films (Tarantula) Une petite ville reculé dans les rocheuses désertique. L'interprétation, les SFX sont vraiment de qualité
Mais attention n'en attendez pas trop, sur l'affiche on y voit des blocs entité s'écraser sur des civiles, se n'est en aucun cas la situation qu'on retrouve dans le métrage. Bien au contraire tout est traité de manière plus subtile, des maisons détruites par ce monolithe en mouvement il y en a bien, mais on ne montre que le résultat après ce phénomène. Il faudra atteindre patiemment le dernier quart pour apprécier pleinement le spectacle.
La copie DVD Universal à la demande est particulièrement soigné je trouve. Le contraste sur ce très beau noir et blanc ainsi que la définition ferais presque pâlir certains diffuseur HD.

Mais attention n'en attendez pas trop, sur l'affiche on y voit des blocs entité s'écraser sur des civiles, se n'est en aucun cas la situation qu'on retrouve dans le métrage. Bien au contraire tout est traité de manière plus subtile, des maisons détruites par ce monolithe en mouvement il y en a bien, mais on ne montre que le résultat après ce phénomène. Il faudra atteindre patiemment le dernier quart pour apprécier pleinement le spectacle.
La copie DVD Universal à la demande est particulièrement soigné je trouve. Le contraste sur ce très beau noir et blanc ainsi que la définition ferais presque pâlir certains diffuseur HD.
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