Devil Story - Bernard Launois - 1985
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Devil Story - Bernard Launois - 1985
Nanarland sort son premier dvd via son label SHEEP-TAPES le 12 sepetembre mais vous pouvez le pré-commander sur le site : http://www.sheep-tapes.fr/
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Re: Devil Story - Bernard Launois - 1985
Aie aie aie, mazette, qu'est-ce qui t'y vont pas nous chercher ces jeunes aujourd'hui.
Not' generation qui avait tout fait pour oublier certains films...Rate!
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En direct du Japon. Bonsoir. A vous, Cognac-Jay.
Re: Devil Story - Bernard Launois - 1985
Un grand bravo
Re: Devil Story - Bernard Launois - 1985
"Devil Story - il était une fois le Diable", malgré son titre tentant l'anglais et un prologue vaguement slasheresque, est un produit bien franchouillard, bien de chez nous, avec son histoire rurale, son grand manoir, ses petits vieux qui prennent le café accompagné d'un bon cognac, ses falaises normandes, ses histoires de naufrageurs, ses déshabillés vaporeux... Tout cela, mis en forme dans une ambiance de semi-amateurisme aux relents d'Eurociné, trouve sa singularité dans un des rythmes et des montages les plus étranges jamais vus au cinéma.
Cheval hennissant en boucle, plans étirés jusqu'à la démesure, scène allongée jusqu'à la démence (le cimetière et son interminable d'agonie gargouillante !)... Où commence le Dada, l'Art Brut accidentel ? Où se termine le champs de la nullité totale, de l'accumulation de maladresse absolue ? Voilà les questions auquel se voit confronté le spectateur visionnant cette absolue bizarrerie où se croisent momies baveuses, tueurs débile affublé d'une veste SS, cheval diabolique, pirates et autres. On peut penser à du Rollin, mais en beaucoup, beaucoup, beaucoup plus relâché et chaotique ! A côté, "Le lac des morts-vivants", c'est un monument de rythme et de cohérence !
"Devil Story" réussit à retranscrire curieusement assez bien le rythme et le déroulement d'un rêve. C'est un peu comme de visiter le rêve de quelqu'un d'autre, une expérience vraiment insolite, à réserver toutefois aux fantasticophiles avertis et endurants, armés d'une cafetière bien remplie pour tenir jusqu'au bout ! Un film artistiquement au delà du bon, au-delà du mauvais... Une expérience tout simplement bizarre !
Vu sur le dvd Sheep Tapes, qui sera sorti courageusement (inconsciemment ?) par l'équipe de Nanarland en septembre, et déjà envoyé à des souscripteurs. La copie est proposé en 1.77 16/9 de relativement bonne qualité. Il s'agit d'un vrai télécinéma 35mm avec de belles couleurs, une définition correcte pour un tel film, un rendu du grain et défauts d'origine sans bidouillages.
Certaines scènes (pour ne pas dire la plus grande partie du film) sont sous-éclairées, voire franchement enterrées, mais telle semble bien être la photo d'origine. On repère un défaut de télécinéma avec des petites stries vidéos (visible par exemple sur les lettres du génériques, mais aussi sur d'autres détails) anormales. Je reste quand même plutôt agréablement surpris par le résultat d'ensemble, je m'attendais plus ou moins à un repiquage de master vidéo des années 80, mais ce n'est heureusement pas le cas.
La bande son française est correcte, à nouveau dans les limites d'une facture technique d'origine très limite. Elle sort bizarrement en stéréo, mais c'est vraisemblablement un repiquage un peu vague d'une piste mono qui donne une spatialisation accidentelle. De toutes manières, personne ne s'attend à vivre l'expérience Home Cinéma ultime en visionnant "Devil Story", qui est un DVD techniquement très acceptable. Il y a même une Version anglaise pour s'assurer un carton à l'export, ainsi que divers bonus (making of, scènes commentées par le réalisateur, etc...)...
Cheval hennissant en boucle, plans étirés jusqu'à la démesure, scène allongée jusqu'à la démence (le cimetière et son interminable d'agonie gargouillante !)... Où commence le Dada, l'Art Brut accidentel ? Où se termine le champs de la nullité totale, de l'accumulation de maladresse absolue ? Voilà les questions auquel se voit confronté le spectateur visionnant cette absolue bizarrerie où se croisent momies baveuses, tueurs débile affublé d'une veste SS, cheval diabolique, pirates et autres. On peut penser à du Rollin, mais en beaucoup, beaucoup, beaucoup plus relâché et chaotique ! A côté, "Le lac des morts-vivants", c'est un monument de rythme et de cohérence !
"Devil Story" réussit à retranscrire curieusement assez bien le rythme et le déroulement d'un rêve. C'est un peu comme de visiter le rêve de quelqu'un d'autre, une expérience vraiment insolite, à réserver toutefois aux fantasticophiles avertis et endurants, armés d'une cafetière bien remplie pour tenir jusqu'au bout ! Un film artistiquement au delà du bon, au-delà du mauvais... Une expérience tout simplement bizarre !
Vu sur le dvd Sheep Tapes, qui sera sorti courageusement (inconsciemment ?) par l'équipe de Nanarland en septembre, et déjà envoyé à des souscripteurs. La copie est proposé en 1.77 16/9 de relativement bonne qualité. Il s'agit d'un vrai télécinéma 35mm avec de belles couleurs, une définition correcte pour un tel film, un rendu du grain et défauts d'origine sans bidouillages.
Certaines scènes (pour ne pas dire la plus grande partie du film) sont sous-éclairées, voire franchement enterrées, mais telle semble bien être la photo d'origine. On repère un défaut de télécinéma avec des petites stries vidéos (visible par exemple sur les lettres du génériques, mais aussi sur d'autres détails) anormales. Je reste quand même plutôt agréablement surpris par le résultat d'ensemble, je m'attendais plus ou moins à un repiquage de master vidéo des années 80, mais ce n'est heureusement pas le cas.
La bande son française est correcte, à nouveau dans les limites d'une facture technique d'origine très limite. Elle sort bizarrement en stéréo, mais c'est vraisemblablement un repiquage un peu vague d'une piste mono qui donne une spatialisation accidentelle. De toutes manières, personne ne s'attend à vivre l'expérience Home Cinéma ultime en visionnant "Devil Story", qui est un DVD techniquement très acceptable. Il y a même une Version anglaise pour s'assurer un carton à l'export, ainsi que divers bonus (making of, scènes commentées par le réalisateur, etc...)...
Re: Devil Story - Bernard Launois - 1985
Il y a quelque chose de très fascinant dans ces produits franchouillards là quand même : que ce soit Devil Story, mais aussi Ogroff, La Revanche des Mortes Vivantes, Le Lac etc ...
C'est très difficile à exprimer, tant ça semble être subjectif, de l'ordre de l'affecte même, mais tout ce petit monde est vraiment fascinant : 2 bouts de ficelle, de la gouache, du jus de tomate .. un petit moment d'émotion, un patrimoine à sauvegarder, vraiment !
C'est très difficile à exprimer, tant ça semble être subjectif, de l'ordre de l'affecte même, mais tout ce petit monde est vraiment fascinant : 2 bouts de ficelle, de la gouache, du jus de tomate .. un petit moment d'émotion, un patrimoine à sauvegarder, vraiment !
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Re: Devil Story - Bernard Launois - 1985
Pour m'etre enquille "Le Lac" et "La Revanche" en VHS dans les annees 80s (peu de temps apres leurs sortie en salles(!) et de me rappeller des affiches de ces films (sauf Ogroff) dans les cinoches du quartier de la gare (entre Emmanuelle 4 et Histoire d'O No 2 "patrimoine", "emotion" ne sont pas vraiment vraiment les mots qui me viennent a l'esprit, ni maintenant, ni a l'epoque non plus d'ailleurs . Par contre, un documentaire ou des bonus a chopper quelque part, je veux bien!Il y a quelque chose de très fascinant dans ces produits franchouillards là quand même : que ce soit Devil Story, mais aussi Ogroff, La Revanche des Mortes Vivantes, Le Lac etc ...
Vraiment curieux de connaitre les gens derriere ces films et le pourquoi du comment. Rien que le docu sur Eurocine valait son pesant en cacahouetes!
En direct du Japon. Bonsoir. A vous, Cognac-Jay.
Re: Devil Story - Bernard Launois - 1985
On peut parler de patrimoine, dans sa définition même d'un héritage culturel de nos contrés. Faut dire que si même nous, en France, on ne cherche pas à préserver (lire : éditer, etc ..) ces films et même partitions musicales, y'a des choses qui se perdront ...après, c'est ma vision assez pessimiste des choses .. vu la génération qui va suivre
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Re: Devil Story - Bernard Launois - 1985
Au fond de la foret normande, foret ou la main de l'homme n'a pas mis le pied, des campeurs et des automobilistes sont tour-a-tour massacres par un monstre horriblement deforme. Mais que font ces sacres gendarmes??
Il etait une fois le Diable (1985), a.k.a. Devil Story ou encore, le tres justement titre: To vlemma tou diavolou (Le Diable a la Flemme) a l'exportation, ramene le cinephile aventureux a l'epoque ou le cinema de genre francais osait tout, absolument tout, et c'est d'ailleurs a cela qu'on le reconnaissait.
Parmi les herauts de ces aventures cinematographiques, l'on trouvait des compagnies comme Eurocine qui produira des films qui resteront dans les annales (pour ne jamais en resortir), tels: Senora casada necesita joven bien dotado (1971), Hommes de joie pour Femmes vicieuses (1974) avant de se tourner vers des genres certes moins auteurisants et plus populaires, mais toujours avec le meme enthousiaste sens de l'aventure, tels: L'Eventreur de Notre-Dame (1975), Helga, la Louve de Stilberg (1978), Terreur Cannibale (1980). D'autres compagnies suivront le mouvement, tel Condor Films avec le present DS.
Le film beneficiera de l'apport de talents tels Jean Sebastien Bach a la partition (partition d'ailleurs matinee d'une influence carpenterienne du meilleur gout), ou de pointures comme Marciel Portier (Vincent, Francois, Paul... et les autres (1974), Un mauvais Fils (1980) ) ou Nicole Desailly ( Le Chat (1971), Day of the Jackal (1973), Buffet Froid (1979) ) devant la camera et qui trouveront le temps d'encadrer des jeunes espoirs comme Pascal Simon (le fils du realisateur qui preferera jouer "profil bas" et ne pas monopoliser l'attention sur lui en endossant un nom de scene) et Veronique Renaud. Il est par contre dommage que le generique n'indique pas l'acteur qui joue le "chat noir" et qui est remarquable dans un role peu evident.
Pour chapauter l'entreprise qui vise a battre le cinema de genre horrifique americain a l'international, l'on retrouve Bernard Launois au scenario et a la realisation.
Veritable "renaissance-man" du cinema francais, Launois aura, une fois n'est pas coutume, mis en image son recit comme ce fut deja le cas avec ses oeuvres precedentes (Sacres Gendarmes (1980), Touch' pas a mon biniou (1980) ) qu'il aura aussi produit sous l'egide d'Eurocine.
Affirmant sa determination a controler ses oeuvres depuis ses debuts (Lachez les Chiennes (1972) et Les Depraves du Plaisir (1975) ). Il pourra donc compter avec fierete DS comme un des films dont le resultat a l'ecran lui est entierement du.
Le film brasse ainsi de nombreux genres; horreur pour son cote slasher, fantastique pour ses clins d'oeils aux classiques de l'Universal, mais aussi action, drame ou comedie, comedie, car tout cela n'est pas "serieux" et doit etre pris avec un grain de sel, semble-t'il dire en filigrane. un recul salutaire alors que sur grand ecran les exces se multiplieront, notamment dans la production US.
C'est donc vrai que pour les cinephiles les plus "extremes", le film pourrait pecher par sa retenue au niveau du "gore", meme si quelques eclairs fulgurants traversent le metrage.
Ainsi, certains esprits chagrins semblent trouver le film lent, passant a cote de sa construction toute en atmosphere, atmosphere qui depasse le stade du "fantastique" pour entrer dans celui du "surrealisme", mouvement bien ancre dans la tradition cinematographique francaise, denigrant ainsi les valeurs et l'heritage du cinema national, et meme s'il est par contre vrai que l'on pourrait taxer Launois de radicalite a l'encontre des canons du cinema de l'epoque (et de la notre), tellement le realisateur semble faire fi des standards narratifs, visuels et textuels, c'est simple, il n'y a guere que Franju, Cocteau, Bunuel ou Moutier pour aller aussi loin dans leurs attentes envers le public.
Malheureusement, ce denigrement si franco-francais aura contribue a l'absence du film des salles et des chaines de television. Il faudra ainsi des passionnes pour s'atteler a la rehabilitation du patrimoine cinematographique francais et voir le metrage edite en DVD collector ou resortir en salle a l'occasion d'une memorable soiree en janvier 2017 ou l'on mettra en parallele la production nationale des films de genre des annees 80s avec ceux des annees 2010s pour rappeller au grand public qu'il existe et a toujours existe une tradition "autre" du cinema dans l'Hexagone.
Un film dont on ne peut qu'esperer qu'il ne sera pas oublie par ceux qui l'auront vu--et vecu. Mais aussi un film, qui en raison de sa nature "extreme" sera a reserver aux cinephiles les plus aventureux.
Il etait une fois le Diable / Devil Story: XX / 5 (un film qui ne se note pas, car trop rare et radical, un genre en lui-meme, une experience!)
Il etait une fois le Diable (1985), a.k.a. Devil Story ou encore, le tres justement titre: To vlemma tou diavolou (Le Diable a la Flemme) a l'exportation, ramene le cinephile aventureux a l'epoque ou le cinema de genre francais osait tout, absolument tout, et c'est d'ailleurs a cela qu'on le reconnaissait.
Parmi les herauts de ces aventures cinematographiques, l'on trouvait des compagnies comme Eurocine qui produira des films qui resteront dans les annales (pour ne jamais en resortir), tels: Senora casada necesita joven bien dotado (1971), Hommes de joie pour Femmes vicieuses (1974) avant de se tourner vers des genres certes moins auteurisants et plus populaires, mais toujours avec le meme enthousiaste sens de l'aventure, tels: L'Eventreur de Notre-Dame (1975), Helga, la Louve de Stilberg (1978), Terreur Cannibale (1980). D'autres compagnies suivront le mouvement, tel Condor Films avec le present DS.
Le film beneficiera de l'apport de talents tels Jean Sebastien Bach a la partition (partition d'ailleurs matinee d'une influence carpenterienne du meilleur gout), ou de pointures comme Marciel Portier (Vincent, Francois, Paul... et les autres (1974), Un mauvais Fils (1980) ) ou Nicole Desailly ( Le Chat (1971), Day of the Jackal (1973), Buffet Froid (1979) ) devant la camera et qui trouveront le temps d'encadrer des jeunes espoirs comme Pascal Simon (le fils du realisateur qui preferera jouer "profil bas" et ne pas monopoliser l'attention sur lui en endossant un nom de scene) et Veronique Renaud. Il est par contre dommage que le generique n'indique pas l'acteur qui joue le "chat noir" et qui est remarquable dans un role peu evident.
Pour chapauter l'entreprise qui vise a battre le cinema de genre horrifique americain a l'international, l'on retrouve Bernard Launois au scenario et a la realisation.
Veritable "renaissance-man" du cinema francais, Launois aura, une fois n'est pas coutume, mis en image son recit comme ce fut deja le cas avec ses oeuvres precedentes (Sacres Gendarmes (1980), Touch' pas a mon biniou (1980) ) qu'il aura aussi produit sous l'egide d'Eurocine.
Affirmant sa determination a controler ses oeuvres depuis ses debuts (Lachez les Chiennes (1972) et Les Depraves du Plaisir (1975) ). Il pourra donc compter avec fierete DS comme un des films dont le resultat a l'ecran lui est entierement du.
Le film brasse ainsi de nombreux genres; horreur pour son cote slasher, fantastique pour ses clins d'oeils aux classiques de l'Universal, mais aussi action, drame ou comedie, comedie, car tout cela n'est pas "serieux" et doit etre pris avec un grain de sel, semble-t'il dire en filigrane. un recul salutaire alors que sur grand ecran les exces se multiplieront, notamment dans la production US.
C'est donc vrai que pour les cinephiles les plus "extremes", le film pourrait pecher par sa retenue au niveau du "gore", meme si quelques eclairs fulgurants traversent le metrage.
Ainsi, certains esprits chagrins semblent trouver le film lent, passant a cote de sa construction toute en atmosphere, atmosphere qui depasse le stade du "fantastique" pour entrer dans celui du "surrealisme", mouvement bien ancre dans la tradition cinematographique francaise, denigrant ainsi les valeurs et l'heritage du cinema national, et meme s'il est par contre vrai que l'on pourrait taxer Launois de radicalite a l'encontre des canons du cinema de l'epoque (et de la notre), tellement le realisateur semble faire fi des standards narratifs, visuels et textuels, c'est simple, il n'y a guere que Franju, Cocteau, Bunuel ou Moutier pour aller aussi loin dans leurs attentes envers le public.
Malheureusement, ce denigrement si franco-francais aura contribue a l'absence du film des salles et des chaines de television. Il faudra ainsi des passionnes pour s'atteler a la rehabilitation du patrimoine cinematographique francais et voir le metrage edite en DVD collector ou resortir en salle a l'occasion d'une memorable soiree en janvier 2017 ou l'on mettra en parallele la production nationale des films de genre des annees 80s avec ceux des annees 2010s pour rappeller au grand public qu'il existe et a toujours existe une tradition "autre" du cinema dans l'Hexagone.
Un film dont on ne peut qu'esperer qu'il ne sera pas oublie par ceux qui l'auront vu--et vecu. Mais aussi un film, qui en raison de sa nature "extreme" sera a reserver aux cinephiles les plus aventureux.
Il etait une fois le Diable / Devil Story: XX / 5 (un film qui ne se note pas, car trop rare et radical, un genre en lui-meme, une experience!)
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- Dragonball
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Re: Devil Story - Bernard Launois - 1985
Le film, qu'on qualifiera gentiment de curiosité franchouillarde si on est sympa ou de grosses bouse si on est un peu plus objectif, débarquent en BR chez Vinegar Syndrome !
Si le film est sortie chez nous il y a quelques années déjà en DVD, alors que la VHS française se revendait alors à prix d'or sur internet, je suppose qu'il est totalement inconnue chez les américains !
Et, hum, peut être aurait il fallu que ça reste ainsi hein !
Si le film est sortie chez nous il y a quelques années déjà en DVD, alors que la VHS française se revendait alors à prix d'or sur internet, je suppose qu'il est totalement inconnue chez les américains !
Et, hum, peut être aurait il fallu que ça reste ainsi hein !
Re: Devil Story - Bernard Launois - 1985
Préco ouverte pour le Blu-ray français édité par Pulse, livraison fin novembre.
https://pulsestore.net/produit/devilstory/Ce blu-ray est identique en touts points à l’édition américaine de Vinegar Syndrome. Cette édition bénéficie d’une jaquette réversible en français.
Suppléments :
Il était une fois… Devil Story – Making-of réalisé par Régis Brochier
Il était une fois… Bernard – Interview avec le réalisateur et scénariste Bernard Launois réalisée par Romain Plourde
Séléction de scènes commentées par Bernard Launois
Reportage TV & bande-annonce originale.
Version originale française et version anglaise
Re: Devil Story - Bernard Launois - 1985
Quelqu’un connaît la pertinence /durée des suppléments ??
Re: Devil Story - Bernard Launois - 1985
Les bonus dvd repris ici sont superbes.
Re: Devil Story - Bernard Launois - 1985
Reçu le magnifique BR ce jour...
"Que sert-il à un homme de gagner le monde s'il perd son âme?"
Marc 8:36
Marc 8:36
Re: Devil Story - Bernard Launois - 1985
Remasterisation au max de ce qui doit être possible pour ce nanar cosmique.
STA imposés sur les bonus, ça par contre c’est vraiment dommage.
STA imposés sur les bonus, ça par contre c’est vraiment dommage.
- Dragonball
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Re: Devil Story - Bernard Launois - 1985
Bon alors il donne quoi techniquement ce BR par rapport à l'édition DVD ?