Volt Star Malgré Lui de Chris Williams (2009)
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Volt Star Malgré Lui de Chris Williams (2009)
Pour le chien Volt, star d'une série télévisée à succès, chaque journée est riche d'aventure, de danger et de mystère - du moins devant les caméras. Ce n'est plus le cas lorsqu'il se retrouve par erreur loin des studios de Hollywood, à New York... Il va alors entamer la plus grande et la plus périlleuse de ses aventures - dans le monde réel, cette fois. Et il est convaincu que ses superpouvoirs et ses actes héroïques sont réels...
Heureusement, Volt va se trouver deux curieux compagnons de voyage : un chat abandonné et blasé nommé Mittens, et un hamster fan de télé dans sa balle de plastique appelé Rhino. Volt va découvrir qu'il n'est pas nécessaire d'avoir des pouvoirs extraordinaires pour être un vrai héros...
Tout cela pour signaler que le CGR de ma ville, Angoulême, proposera le film en 3D. Je suppose que ça n'est pas le seul endroit, mais l'initiative est surprenante : http://www.charentelibre.com/article-5- ... cle=255368
Heureusement, Volt va se trouver deux curieux compagnons de voyage : un chat abandonné et blasé nommé Mittens, et un hamster fan de télé dans sa balle de plastique appelé Rhino. Volt va découvrir qu'il n'est pas nécessaire d'avoir des pouvoirs extraordinaires pour être un vrai héros...
Tout cela pour signaler que le CGR de ma ville, Angoulême, proposera le film en 3D. Je suppose que ça n'est pas le seul endroit, mais l'initiative est surprenante : http://www.charentelibre.com/article-5- ... cle=255368
Re: Volt Star Malgré Lui de Chris Williams (2009)
Ca n'est pas très surprenant dans le sens que les CGR se sont massivement équipés en projecteurs numériques. Et qu'une fois équipé ainsi, le passage au relief n'est vraiment plus une étape technique lourde... Disney a aussi beaucoup poussé sur la promotion du relief pour ce film, insistant bien qu'il a été créé pour être vu avec cette technologie.
- kookaburra
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Re: Volt Star Malgré Lui de Chris Williams (2009)
Vu la semaine dernière avec ma fille, en 2D et en français et ma foi, c'est plutôt sympa.
Je ne pourrai pas le comparer aux derniers animés Disney en CGI comme CHICKEN LITTLE puisque je ne les ai pas vu. Difficile donc de savoir si l'arrivée de John Lasseter en tant que superviseur des films d'animation chez Disney a déjà eu un impact sur leur qualité. En même temps il est évident que le film est beaucoup plus "léger" que la plupart des Pixars et qu'il s'adresse donc en grosse priorité aux enfants (ce qui ne veut pas dire qu'il peut être baclé!)
Quoiqu'il en soit BOLT se laisse suivre, avec une scène d'intro franchement réussie et quelques situations plutôt drôles (mention spéciale au hamster Rhino, personnage pour le coup très "pixarien" et vraiment réussi).
Je ne pourrai pas le comparer aux derniers animés Disney en CGI comme CHICKEN LITTLE puisque je ne les ai pas vu. Difficile donc de savoir si l'arrivée de John Lasseter en tant que superviseur des films d'animation chez Disney a déjà eu un impact sur leur qualité. En même temps il est évident que le film est beaucoup plus "léger" que la plupart des Pixars et qu'il s'adresse donc en grosse priorité aux enfants (ce qui ne veut pas dire qu'il peut être baclé!)
Quoiqu'il en soit BOLT se laisse suivre, avec une scène d'intro franchement réussie et quelques situations plutôt drôles (mention spéciale au hamster Rhino, personnage pour le coup très "pixarien" et vraiment réussi).
I will hold the candle... till it burns up my arm
Oh, I'll keep takin' punches... until their will grows tired
Oh, I will stare the sun down... until my eyes go blind
Hey, I won't change direction and I won't change my mind.
Eddie Vedder, Indifference
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Re: Volt Star Malgré Lui de Chris Williams (2009)
L’alliance Disney – Pixar vient d’enfanter un beau phénomène schizophrène.
Quelques courts instants en suspension, visages crispés et flashes de dialogues paniqués, entrecoupés de fondus au noir rythmés par une musique anxiogène. Puis une première demi-heure hallucinante de virtuosité. Une scène de poursuite démentielle. Décor urbain à l’architecture gigantesque, montage fluide et suspense haletant, mouvements de caméras amples et aériens. D’une lisibilité dont ne peuvent certainement pas se targuer les scènes d’action de blockbusters familiaux récents, allez au hasard, Transformers ou La momie 3. Un véritable tour de grand huit, magnifié qui plus est par le visionnage en relief. A cet instant donc c’est encore un rêve de petit garçon qui se réalise sur grand écran. L’aboutissement animé d’une certaine idée du sérial science-fictionnesque. Médusé, je me suis même demandé si je ne m'étais pas trompé de film.
S’ensuit une présentation de personnages humains vachement attrayants.
Et on se dit qu’on tient là l’esprit « feuilleton » que l’on espère chaque fois retrouver quand on met les yeux devant une série B.
Mais ensuite on se recentre sur les animaux (c’est quand même eux que le public du samedi après-midi est venu voir), et un traitement plus conventionnel reprend ses droits. Ce qui est gênant, c’est que, malgré des caractères attachants, quelques pointes d’humour drôlement bien senties, de courtes envolées de rythmes assorties de clins d’œil au genre, cela semble maintenant quelque peu longuet et sans surprise. Et surtout l’environnement urbain et les humains entr’aperçus sont complètement délaissés, il n’y aura aucun approfondissement de ce côté.
Les scènes finales, anti-climax au possible, viendront clore le film de façon frustrante, assorties de la traditionnelle morale sur l'amour et l'amitié.
Alors c’est sûr, il n’en faut pas que pour les geeks et autres amoureux de la culture pulp. La construction du film est définitivement casse-gueule, en ces temps de formatage à tout-va, ça c'est un bon point. Mais bon, quelque part, on assiste au final à un déboulonnage en règle de toute la construction populaire patiemment mise en place par un Brad Bird. Et je ne suis pas parvenu à prendre l'ultime raillerie au second degré.
« Un chien, un chat, un rongeur, c’est le bonheur » ? Si c’est toi qui le dis … Mais quand même une poursuite avec des hélicos et des motards griffus, quel p.... de pied !!!
Pour terminer, un petit mot sur la traduction française du nom du héros, type de contresens couramment pratiqué par chez nous. Comme plus personne ne se casse le cul à traduire les génériques, à l'apparition du nom "Bolt" en grand sur l'écran, les enfants n'ont pas manqué de réagir : « Hé ils se sont trompés ! ». Malin, ça ...
Comme le « five years later », plus la peine de sa fatiguer à sous-titrer ou à commenter par une voix off, comme au temps jadis. Merci pour les petits, messieurs les distributeurs ...
Quelques courts instants en suspension, visages crispés et flashes de dialogues paniqués, entrecoupés de fondus au noir rythmés par une musique anxiogène. Puis une première demi-heure hallucinante de virtuosité. Une scène de poursuite démentielle. Décor urbain à l’architecture gigantesque, montage fluide et suspense haletant, mouvements de caméras amples et aériens. D’une lisibilité dont ne peuvent certainement pas se targuer les scènes d’action de blockbusters familiaux récents, allez au hasard, Transformers ou La momie 3. Un véritable tour de grand huit, magnifié qui plus est par le visionnage en relief. A cet instant donc c’est encore un rêve de petit garçon qui se réalise sur grand écran. L’aboutissement animé d’une certaine idée du sérial science-fictionnesque. Médusé, je me suis même demandé si je ne m'étais pas trompé de film.
S’ensuit une présentation de personnages humains vachement attrayants.
Et on se dit qu’on tient là l’esprit « feuilleton » que l’on espère chaque fois retrouver quand on met les yeux devant une série B.
Mais ensuite on se recentre sur les animaux (c’est quand même eux que le public du samedi après-midi est venu voir), et un traitement plus conventionnel reprend ses droits. Ce qui est gênant, c’est que, malgré des caractères attachants, quelques pointes d’humour drôlement bien senties, de courtes envolées de rythmes assorties de clins d’œil au genre, cela semble maintenant quelque peu longuet et sans surprise. Et surtout l’environnement urbain et les humains entr’aperçus sont complètement délaissés, il n’y aura aucun approfondissement de ce côté.
Les scènes finales, anti-climax au possible, viendront clore le film de façon frustrante, assorties de la traditionnelle morale sur l'amour et l'amitié.
Alors c’est sûr, il n’en faut pas que pour les geeks et autres amoureux de la culture pulp. La construction du film est définitivement casse-gueule, en ces temps de formatage à tout-va, ça c'est un bon point. Mais bon, quelque part, on assiste au final à un déboulonnage en règle de toute la construction populaire patiemment mise en place par un Brad Bird. Et je ne suis pas parvenu à prendre l'ultime raillerie au second degré.
« Un chien, un chat, un rongeur, c’est le bonheur » ? Si c’est toi qui le dis … Mais quand même une poursuite avec des hélicos et des motards griffus, quel p.... de pied !!!
Pour terminer, un petit mot sur la traduction française du nom du héros, type de contresens couramment pratiqué par chez nous. Comme plus personne ne se casse le cul à traduire les génériques, à l'apparition du nom "Bolt" en grand sur l'écran, les enfants n'ont pas manqué de réagir : « Hé ils se sont trompés ! ». Malin, ça ...
Comme le « five years later », plus la peine de sa fatiguer à sous-titrer ou à commenter par une voix off, comme au temps jadis. Merci pour les petits, messieurs les distributeurs ...
- Plisken
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Re: Volt Star Malgré Lui de Chris Williams (2009)
Bolt n'est absolument pas déshonorant pour du Disney. C'est peut être ce que j'ai vu de mieux depuis un certain temps. Pixar excepté.
Bien sur on échappe pas aux bons sentiments, à l'amitié, le courage, une chanson en plein milieu, j'en passe et des meilleures. Le tout est suffisamment bien construit pour que l'on passe un bon moment. Avec en prime un hamster irrésistible de drôlerie que j'aurais aimé voir encore plus. J'avais vraiment l'impression de voir Jack Black dans une boule
Les enfants adoreront, les adultes y repaireront quelques sous-entendus disséminés ça et là mais peu développés. Le but étant de plaire d'abord aux têtes blondes. Contrat réussit.
Je lui met : 7/10
Bien sur on échappe pas aux bons sentiments, à l'amitié, le courage, une chanson en plein milieu, j'en passe et des meilleures. Le tout est suffisamment bien construit pour que l'on passe un bon moment. Avec en prime un hamster irrésistible de drôlerie que j'aurais aimé voir encore plus. J'avais vraiment l'impression de voir Jack Black dans une boule
Les enfants adoreront, les adultes y repaireront quelques sous-entendus disséminés ça et là mais peu développés. Le but étant de plaire d'abord aux têtes blondes. Contrat réussit.
Je lui met : 7/10
Re: Volt Star Malgré Lui de Chris Williams (2009)
Je l'ai vu en 3D avec môme. Elle était aux anges. Elle n'a pas tout compris mais elle a adoré. Moi, le papa, j'ai bien aimé aussi. Le seul truc que je trouve étrange, comme Savoy, c'est le changement de titre. Pourquoi ne pas l'avoir simplement appelé BOLT ? Enfin bon...
"Fuck The World", Rambo
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Re: Volt Star Malgré Lui de Chris Williams (2009)
Hormis l'introduction je me suis fait chier comme la mort.
Très enfantin, pas de double lecture comme on peut l'avoir avec les Pixars.
Rien d'époustouflant non plus côté technique, et une musique/chanson trop présente qui rappelle qu'en fait c'est du Disney.
=> je ne suis pas le public visé par ce film, même certains enfants s'ennuyaient dans la salle.
Très enfantin, pas de double lecture comme on peut l'avoir avec les Pixars.
Rien d'époustouflant non plus côté technique, et une musique/chanson trop présente qui rappelle qu'en fait c'est du Disney.
=> je ne suis pas le public visé par ce film, même certains enfants s'ennuyaient dans la salle.
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Re: Volt Star Malgré Lui de Chris Williams (2009)
Ennuyeux au possible, les gags sont prévisibles et de plus assez moyen, les doublages (anglais pour ma part) sont très limites.....
A oublier, et en espérant mieux pour monstres contre aliens.
A oublier, et en espérant mieux pour monstres contre aliens.
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Re: Volt Star Malgré Lui de Chris Williams (2009)
Je pense qu'ils ont changé le nom pour faire le rapprochement avec les volts dans le sens electricité, Bolt n'aurait surement pas parlé aux Francais, à part ca je ne vois pas.arioch a écrit :Le seul truc que je trouve étrange, comme Savoy, c'est le changement de titre. Pourquoi ne pas l'avoir simplement appelé BOLT ? Enfin bon...
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Re: Volt Star Malgré Lui de Chris Williams (2009)
Une bonne surprise. J'avais le BD depuis presque un an et j'y allais franchement a reculons, terrorisé à l'idee de voir un spectacle gnangnan. Bien mal m'en a pris, j.ai bien apprécié ce Bolt!
En effet, ca commence par un scooter chase ebouriffant! La partition tonitruante de John Powell rythme a meveille la course poursuite qui frise m'hallu totale. Souci: ca commence tres fort et on se demande si le film tiendre ce rythme. Apres, grincement de dents: c'est une critique des medias et de la manipulation des spectateurs. C'es toujours bien d'en parler, mais la demo est un,peu lourdingue. Et des que Bolt est expédié dans le réel, le film gagne graduellement en coeur. Son parcours initiatique vers son vrai "moi" est plaisant, drole et les sidekicks font mouche. Le hamster est d'ailleurs probablement l'un des meileurs qui existe chez Disney a mi-chemin entre se foutre de la gueule des geeks/couch potatoes qui avalent de la TV a longueur de journée et, là aussi, une sorte de rite initiatique. Ses gags demeurent les meilleurs, comme les dialogues et il réussit à dynamiser le récit.
On est clairement dans du Disney, donc les bons sentiments abondent mais le sujet assez cruel au départ tempéré quelque peu le glucose a tous étages. Les valeurs d'amitié, de respect, de découverte de soi ne sont pas nouvelles. Je me souviens de The Tigger Movie (que j'avais beaucoup apprécié) qui exaltait ces mêmes sentiments avec une certaine audace et maturité pour un film destiné au jeune public.
Maintenant, le personnage de Bolt m'a bien fait craquer des qu'on me colle un chien en perso principal (ou presque) j'ai un peu la balance du bon cote. Ici, c'est la totale et j'y suis allé de ma petite larme (si,si) lors de la scene finale dans le studio où il retrouve Penny. J'ai trouvé ça touchant et juste. En cela, son perso est bien dessiné et sn caractere evolue dans un bon sens.
Pour l'animation,on est clairement en dessous du réalisme Pixar mais je en pense pas que cela soit le but de faire du Pixar - ce n'est pas le même budget, ni les mêmes ambitions. Les décors manquent de détails (le plan final de la ferme, a la morale pour le coup toute disneyienne du refus des élites, le bon sens près de chez vous, tout ça...), la palette de couleurs parfois morne (la scène du mobile-home). Mais ca reste fluide et agréable a voir, notamment les scènes d'action dont certains décors en plans larges sont curieusement a mi-chemin vers un rendu tres reel.
La zique de Powell colle admirablement bien au film. Je l'écoute déjà énormément toute seule mais avec les images c'est juste parfait!
96 minutes au final très agréables le generique de fin est également tres fun (et jusqu'au bout avec les deux hamsters . Faut juste tourner le son en off des que Miley Cyrus chante et remettre en "on" des que Powell prend le relais.
Précision : vue sur la copie 2D du Blu ray. la 3D étant effectuée en post prod
Pour la remarque de Taki, c'est un poil exagéré. on entend qu'une chanson pendant le film, lors du voyage à travers les USA des 3 compagnons..
NB : pour la traduction de Bolt en Volt pour la VF ça n'est pas idiot. Bolt veut dire a la fois "verrou" ou dans l'expression "lightning bolt" donnée dans le film, un "coup de tonnerre". Si bien que Bolt n'aurait pas vraiment eu de sens en plus, alors qu'en anglais, cela en a plein (energie, vitesse, etc.)
En effet, ca commence par un scooter chase ebouriffant! La partition tonitruante de John Powell rythme a meveille la course poursuite qui frise m'hallu totale. Souci: ca commence tres fort et on se demande si le film tiendre ce rythme. Apres, grincement de dents: c'est une critique des medias et de la manipulation des spectateurs. C'es toujours bien d'en parler, mais la demo est un,peu lourdingue. Et des que Bolt est expédié dans le réel, le film gagne graduellement en coeur. Son parcours initiatique vers son vrai "moi" est plaisant, drole et les sidekicks font mouche. Le hamster est d'ailleurs probablement l'un des meileurs qui existe chez Disney a mi-chemin entre se foutre de la gueule des geeks/couch potatoes qui avalent de la TV a longueur de journée et, là aussi, une sorte de rite initiatique. Ses gags demeurent les meilleurs, comme les dialogues et il réussit à dynamiser le récit.
On est clairement dans du Disney, donc les bons sentiments abondent mais le sujet assez cruel au départ tempéré quelque peu le glucose a tous étages. Les valeurs d'amitié, de respect, de découverte de soi ne sont pas nouvelles. Je me souviens de The Tigger Movie (que j'avais beaucoup apprécié) qui exaltait ces mêmes sentiments avec une certaine audace et maturité pour un film destiné au jeune public.
Maintenant, le personnage de Bolt m'a bien fait craquer des qu'on me colle un chien en perso principal (ou presque) j'ai un peu la balance du bon cote. Ici, c'est la totale et j'y suis allé de ma petite larme (si,si) lors de la scene finale dans le studio où il retrouve Penny. J'ai trouvé ça touchant et juste. En cela, son perso est bien dessiné et sn caractere evolue dans un bon sens.
Pour l'animation,on est clairement en dessous du réalisme Pixar mais je en pense pas que cela soit le but de faire du Pixar - ce n'est pas le même budget, ni les mêmes ambitions. Les décors manquent de détails (le plan final de la ferme, a la morale pour le coup toute disneyienne du refus des élites, le bon sens près de chez vous, tout ça...), la palette de couleurs parfois morne (la scène du mobile-home). Mais ca reste fluide et agréable a voir, notamment les scènes d'action dont certains décors en plans larges sont curieusement a mi-chemin vers un rendu tres reel.
La zique de Powell colle admirablement bien au film. Je l'écoute déjà énormément toute seule mais avec les images c'est juste parfait!
96 minutes au final très agréables le generique de fin est également tres fun (et jusqu'au bout avec les deux hamsters . Faut juste tourner le son en off des que Miley Cyrus chante et remettre en "on" des que Powell prend le relais.
Précision : vue sur la copie 2D du Blu ray. la 3D étant effectuée en post prod
Pour la remarque de Taki, c'est un poil exagéré. on entend qu'une chanson pendant le film, lors du voyage à travers les USA des 3 compagnons..
NB : pour la traduction de Bolt en Volt pour la VF ça n'est pas idiot. Bolt veut dire a la fois "verrou" ou dans l'expression "lightning bolt" donnée dans le film, un "coup de tonnerre". Si bien que Bolt n'aurait pas vraiment eu de sens en plus, alors qu'en anglais, cela en a plein (energie, vitesse, etc.)
Oh really? Well then I'm sure you wouldn't mind giving us a detailed account of exactly how you concocted this miracle glue, would you ?
Re: Volt Star Malgré Lui de Chris Williams (2009)
Sur un film 3D, le rendu 3D (relief) en post prod se fait comme pour un film 2D ?Superwonderscope a écrit :Précision : vue sur la copie 2D du Blu ray. la 3D étant effectuée en post prod
Peut-être est-ce une question idiote mais à priori l'information visuelle pour chaque œil existe pour un film 3D, il n'y a qu'à l'extraire (la générer, la rendre) non ?
woops
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Re: Volt Star Malgré Lui de Chris Williams (2009)
Vu aussi ce "Volt" en DVD il y a quelques temps en gardant mes nièces. Ca se laisse gentiment voir, même si ça s'oublie presque aussi vite. On est loin des Pixar, du moins des "grands" Pixar (parce que les derniers...) mais pour les Disney lambda, ça se situe dans une moyenne honnête, divertissant, entrainant, avec quelques bonnes idées (les pigeons je crois) et un entrain communicatif !
"J'ai essayé de me suicider en sautant du haut de mon égo. J'ai pas encore atteri... "
Re: Volt Star Malgré Lui de Chris Williams (2009)
"Volt" est bien de la vraie 3D.choy a écrit :Sur un film 3D, le rendu 3D (relief) en post prod se fait comme pour un film 2D ?Superwonderscope a écrit :Précision : vue sur la copie 2D du Blu ray. la 3D étant effectuée en post prod
Peut-être est-ce une question idiote mais à priori l'information visuelle pour chaque œil existe pour un film 3D, il n'y a qu'à l'extraire (la générer, la rendre) non ?
http://realorfake3d.com/
Un dessin animé numérique est de toutes façon modélisé dans un espace 3D au départ, donc les créateurs de ces films ont dès le départ toutes les informations nécessaires pour le convertir en 3D sans avoir besoin de faire du bricolage comme sur les films live.
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Re: Volt Star Malgré Lui de Chris Williams (2009)
mince, j'étais persuadé qu'il s'agissait de post prod pour la 3D!
Oh really? Well then I'm sure you wouldn't mind giving us a detailed account of exactly how you concocted this miracle glue, would you ?