
Sheitan de Kim Chapiron (2006)
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Je pense que le mec dans sa banlieue n'a jamais entendu parler de Sheitan et que c'est pas son genre de trip.Le seul problème c'est que je pense que la majorité de ceux qui devraient se reconnaitre la dedans et trouver ça ridicule voire flippant, prennent ça au premier degré.


C'est un pur clip anarchiste et rien que les paroles devraient faire comprendre que c'est un peu une parodie trash.
"Je deterre ta grand mère et la viole comme une chienne et si t'es pas content je viole ton père"... non mais franchement. Qui peut prendre ca au 1er degré


Comme les personnages du film. On a parlé des ruraux. Qui peut croire que Shapiron a voulu se foutre de la gueule ? A part une personne qui n'est jamais aller à la campagne ?

Moi me fait triper ce clip, c'est tellement excessif... mais de la caution je préfere quand meme "thé à la menthe" (non ce n'est pas pareil)
http://www.dailymotion.com/visited/sear ... -la-menthe
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woops
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Attention, avis personnel, qui n'engage que moi blabla...
Pour moi, j'y vois un court fait par des fils à papa, comme dit plus haut, et qui donnent une image nauséabonde de la banlieue parce qu'ils trouvent sûrement ça cool de se la jouer kaillera...
Voilà, pendant ce temps des types et des filles "biens" galèrent en banlieue malgré tous leurs efforts, et des mecs comme ça, pour s'amuser, renforcent dans leurs convictions les gens qui ont une mauvaise image des cités et qui voteront pour vous-savez-qui. D'ailleurs, la famille de la fille cramée vive dans une cave va sûrement se marrer devant cette "parodie".
Fin du HS.
Ah oui : j'ai vu SHEITAN, et pour résumer : clichés de kailleras contre clichés de paysan, au secours...
Aucune chance de s'attacher à un seul personnage.
Pour moi, j'y vois un court fait par des fils à papa, comme dit plus haut, et qui donnent une image nauséabonde de la banlieue parce qu'ils trouvent sûrement ça cool de se la jouer kaillera...
Voilà, pendant ce temps des types et des filles "biens" galèrent en banlieue malgré tous leurs efforts, et des mecs comme ça, pour s'amuser, renforcent dans leurs convictions les gens qui ont une mauvaise image des cités et qui voteront pour vous-savez-qui. D'ailleurs, la famille de la fille cramée vive dans une cave va sûrement se marrer devant cette "parodie".
Fin du HS.
Ah oui : j'ai vu SHEITAN, et pour résumer : clichés de kailleras contre clichés de paysan, au secours...

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C'est sur que les cailleras n'ont pas besoin qu'on en rajoute...Fatalis rex a écrit :Voilà, pendant ce temps des types et des filles "biens" galèrent en banlieue malgré tous leurs efforts, et des mecs comme ça, pour s'amuser, renforcent dans leurs convictions les gens qui ont une mauvaise image des cités et qui voteront pour vous-savez-qui. D'ailleurs, la famille de la fille cramée vive dans une cave va sûrement se marrer devant cette "parodie".
Cliché ?


http://www.dailymotion.com/video/xtetb_clip-mo
Not only does God play dice, but... he sometimes throws them where they cannot be seen - Stephen Hawking
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Au moins ils ont sûrement du foutre plus les pieds dans une banlieue que toi vu leurs courtsPour moi, j'y vois un court fait par des fils à papa, comme dit plus haut, et qui donnent une image nauséabonde de la banlieue parce qu'ils trouvent sûrement ça cool de se la jouer kaillera...


C'est sur que le clip fera autant de mal que 10ans de Tf1Voilà, pendant ce temps des types et des filles "biens" galèrent en banlieue malgré tous leurs efforts, et des mecs comme ça, pour s'amuser, renforcent dans leurs convictions les gens qui ont une mauvaise image des cités et qui voteront pour vous-savez-qui.


Il manque un v.meltingman a écrit :http://www.dailymotion.com/video/xtetb_clip-mo

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et "ais" après le "v" pour la bonne mesure...guncrazy a écrit :Il manque un v.meltingman a écrit :http://www.dailymotion.com/video/xtetb_clip-mo

Not only does God play dice, but... he sometimes throws them where they cannot be seen - Stephen Hawking
Spoiler
Je vous trouve globalement très difficiles avec le film. Outre la polémique "KOUTRAJMe" qui, par définition, n'influe pas véritablement sur les qualités de l'oeuvre, vos critiques semblent parfois injustifiées. Beaucoup d'entre vous dénoncent la caricature dont sont victimes "racailles" de banlieue et habitants des campagnes. Les jeunes dépeints évoquent d'abord ceux des slasher(s) américains. Portés sur le sexe, l'alcool (la débauche, quoi) les personnages sont, il est vrai, extrêmement stéréotypés. Néanmoins, le cinéaste inscrit le cliché dans une perspective sociale assez intéressante. Les héros du slasher baisent, boivent... parce qu'ils sont...jeunes. Le réalisateur ajoute à ce premier parti pris une explication sociale tendant à élargir considérablement les enjeux des modèles américains. Ainsi la petite bande adopte-t-elle un comportement formaté, inhérent aux codes (présumés, certes) en vigueur dans les cités. Argot imagé, mode vestimentaire particulière, attitudes convenues: on se bat en boîte, vole dans les stations et fait des blagues idiotes. Tout ceci relève d'un RÖLE social dénué de véritables assises. On vole, certes, mais des bonbons, on parle de conquêtes féminines mais ces dernières se réduisent à des rêves érotiques et à des simulations avec un coussin... La rencontre de ces "jeunes" avec des campagnards consacre un point de vue pas si bête que cela (guère original, ok). Cette confrontation de deux univers a priori contraires permet à la "racaille" de se découvrir (enlever son masque social) réellement Placés face à leurs doubles (cf omniprésence du thème), les jeunes constatent non sans effroi leur condition d'hommes, simplement. Cette découverte ne s'effectue pas sans heurt (personnage refusant de se dénuder dans la grotte). Tel Oedipe, Barth se trouve finalement privé de ses yeux, façon de signaler sa nouvelle lucidité (nique ta mère, Jocaste?). Aucunement raciste, Sheitan souligne au contraire l'égalité des hommes sous un masque social vide de sens. Bon, cela fait longtemps que je n'ai pas vu le film don j'ai pu me tromper mais j'en garde un bon souvenir (tout en regrettant avec Otis l'exploitation lacunaire des thèmes proprement "fantastiques").
Je vous trouve globalement très difficiles avec le film. Outre la polémique "KOUTRAJMe" qui, par définition, n'influe pas véritablement sur les qualités de l'oeuvre, vos critiques semblent parfois injustifiées. Beaucoup d'entre vous dénoncent la caricature dont sont victimes "racailles" de banlieue et habitants des campagnes. Les jeunes dépeints évoquent d'abord ceux des slasher(s) américains. Portés sur le sexe, l'alcool (la débauche, quoi) les personnages sont, il est vrai, extrêmement stéréotypés. Néanmoins, le cinéaste inscrit le cliché dans une perspective sociale assez intéressante. Les héros du slasher baisent, boivent... parce qu'ils sont...jeunes. Le réalisateur ajoute à ce premier parti pris une explication sociale tendant à élargir considérablement les enjeux des modèles américains. Ainsi la petite bande adopte-t-elle un comportement formaté, inhérent aux codes (présumés, certes) en vigueur dans les cités. Argot imagé, mode vestimentaire particulière, attitudes convenues: on se bat en boîte, vole dans les stations et fait des blagues idiotes. Tout ceci relève d'un RÖLE social dénué de véritables assises. On vole, certes, mais des bonbons, on parle de conquêtes féminines mais ces dernières se réduisent à des rêves érotiques et à des simulations avec un coussin... La rencontre de ces "jeunes" avec des campagnards consacre un point de vue pas si bête que cela (guère original, ok). Cette confrontation de deux univers a priori contraires permet à la "racaille" de se découvrir (enlever son masque social) réellement Placés face à leurs doubles (cf omniprésence du thème), les jeunes constatent non sans effroi leur condition d'hommes, simplement. Cette découverte ne s'effectue pas sans heurt (personnage refusant de se dénuder dans la grotte). Tel Oedipe, Barth se trouve finalement privé de ses yeux, façon de signaler sa nouvelle lucidité (nique ta mère, Jocaste?). Aucunement raciste, Sheitan souligne au contraire l'égalité des hommes sous un masque social vide de sens. Bon, cela fait longtemps que je n'ai pas vu le film don j'ai pu me tromper mais j'en garde un bon souvenir (tout en regrettant avec Otis l'exploitation lacunaire des thèmes proprement "fantastiques").
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C'est juste, mais dans les slashers, il y en a toujours un ou une d'un peu plus sympathique que les autres qui, généralement, survit. Ici, il n'y en a vraiment aucun à sauver (et là je précise : non je ne souhaite pas la mort des "racailles", mais je veux dire qu'aucun n'attire l'empathie). Attention : je ne spoile pas, ça ne veut pas dire que personne ne survit ou l'inverse.
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LEur sort m'est indifférent, en tant que spectateur. Ca n'est pas condamner, pas plus que ça n'est une critique sociale. Quand Denise Richards se fait buter dans un slasher, ça m'indiffère, et je ne suis pas porteur d'une critique sociale contre les pouffes siliconées, juste que son personnage est sans intérêt, sans personnalité, et donc il ne provoque pas l'empathie du spectateur.
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Mouais. Si l'analyse sociale peut se comprendre, je ne suis pas vraiment d'accord avec. Hormis ce contrepoint social (j'hésiterai franchment à parle r de sociologie tant l'approche du film ne fait que disposer du social comme toile de fond, mais aucunement d'approche d'une quelconque étude). Aussi le fait que le réalisateur soit conscient de ce que tu avances, pour l'avoir entendu parler du film en france et aux USA, j'en doute franchement! Il est surtout excessivement mal écrit, limite amateur parfois. Il souffre de beaucoup d'approximations et d'un rythme mal maitrisé (voir la scène totalement inutile de la grotte qui n'en finit pas de s'étendre). La seule chose que je lui trouve, c'est l'énergie qu'il déploie à faire vivre ses personnages devant la caméra. Mais il confond trop souvent excitation du jeu et virevoltage de la caméra avec énergie de mise en scène et de réalisation. Le scéanrio, aussi, patine méchamment et le fantastique ne vient là que pour une sorte de Deus ex Machina, pirouette scénaristique pour donner une fin au film.mercredi a écrit :Spoiler
Je vous trouve globalement très difficiles avec le film. Outre la polémique "KOUTRAJMe" qui, par définition, n'influe pas véritablement sur les qualités de l'oeuvre, vos critiques semblent parfois injustifiées. Beaucoup d'entre vous dénoncent la caricature dont sont victimes "racailles" de banlieue et habitants des campagnes. Les jeunes dépeints évoquent d'abord ceux des slasher(s) américains. Portés sur le sexe, l'alcool (la débauche, quoi) les personnages sont, il est vrai, extrêmement stéréotypés. Néanmoins, le cinéaste inscrit le cliché dans une perspective sociale assez intéressante. Les héros du slasher baisent, boivent... parce qu'ils sont...jeunes. Le réalisateur ajoute à ce premier parti pris une explication sociale tendant à élargir considérablement les enjeux des modèles américains. Ainsi la petite bande adopte-t-elle un comportement formaté, inhérent aux codes (présumés, certes) en vigueur dans les cités. Argot imagé, mode vestimentaire particulière, attitudes convenues: on se bat en boîte, vole dans les stations et fait des blagues idiotes. Tout ceci relève d'un RÖLE social dénué de véritables assises. On vole, certes, mais des bonbons, on parle de conquêtes féminines mais ces dernières se réduisent à des rêves érotiques et à des simulations avec un coussin... La rencontre de ces "jeunes" avec des campagnards consacre un point de vue pas si bête que cela (guère original, ok). Cette confrontation de deux univers a priori contraires permet à la "racaille" de se découvrir (enlever son masque social) réellement Placés face à leurs doubles (cf omniprésence du thème), les jeunes constatent non sans effroi leur condition d'hommes, simplement. Cette découverte ne s'effectue pas sans heurt (personnage refusant de se dénuder dans la grotte). Tel Oedipe, Barth se trouve finalement privé de ses yeux, façon de signaler sa nouvelle lucidité (nique ta mère, Jocaste?). Aucunement raciste, Sheitan souligne au contraire l'égalité des hommes sous un masque social vide de sens. Bon, cela fait longtemps que je n'ai pas vu le film don j'ai pu me tromper mais j'en garde un bon souvenir (tout en regrettant avec Otis l'exploitation lacunaire des thèmes proprement "fantastiques").
Pour une comédie, je la trouve ratée. Peu de choses m'ont fait rire.
Il y a pour moi des choses qui ne collent pas entre ce que tu dis et ce que j'ai pu y voir. Je disais dans mon compte-rendu que je trouvais le film "étrangement normatif, tant la caricature dessert ce qu'elle prétend se moquer: Les françaises sont des chaudes qui veulent coucher, les paysans sont des débiles consanguins de première, les lascars du 7-5 (ils ont le parler banlieue mais roulent en Golf Tuning immatriculé dans le 75) kiffent à mort, niquent leur mère mais c'est pour mieux coucher avec de la bourgeoise... Par contre, respecter la religion (même si on vend de l'alcool dans un bar ou si on baise comme un lapin), c'est primordial. Et on ne couche pas en dehors de sa religion."
C'est un peu tout cela. Les discours sur ces sujets lors des scènes à table sont très (trop) ambigus. Et c'est aussi là où le film se plante complètement. Il arrose une action pas très fine de dialogues assez pénibles sur "une certaine réalité des personnages" (leur rapport au sexe, à la bouffe, à la religion, etc.). je ne vois en rien un système de valeurs sociales remis en question, discuté tant les choses sont tranchées d'avance. C'est ce respect de la norme en vigueur que je trouve suspect. Le film est en cela assez benêt. A force de vouloir jouer sur des clichés bien en place, le film gagne petit à petit en mépris.
C'est un peu aussi ce qu'l se passe aux USA avec le nombre grandissant de films d'horrur qui ont comme cadre l'Amérique profonde et ses tares versus des pauvres urbains qui ne demandaient rien. C'est le même terreau et ne va jamais au-delà de cette simple opposition.
Je parlais aussi de "Max Pecas 2006". Ben c'est un peu ça. On baise, on court, on fait des gags, des pets dans l'eau, les filles à poil, on aime pas le pouvoir en place, on est rebelles, on veut du fun... mais c'est mieux pour rentrer dans le rang (ex: On se calme et on boit frais à St tropez qui , en dehors du fait d'etre techniquement désatreux, est baigné d'un conservatisme social affligeant...un peu come N'oublie pas ton père auvestiaire, aussi


Tu indiques que le film parle d'égalite de l'homme devant un masque social vide de sens. Je ne suis pas sur de comprendre ce que tu veux dire :

Modifié en dernier par Superwonderscope le mer. janv. 24, 2007 12:28 pm, modifié 1 fois.
Oh really? Well then I'm sure you wouldn't mind giving us a detailed account of exactly how you concocted this miracle glue, would you ?
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Mouaih, avant la projection du film à Gérardmer, Shapiron a clairement dit "Mon film c'est de la déconne, faites tout péter dans la salle, je veux voir du bordel" donc le message sous jacent, plein de belle promesse, je pense qu'il a servis à nourrir les chèvres du film (je parle pas des actrices la)mercredi a écrit :Spoiler
Je vous trouve globalement très difficiles avec le film. Outre la polémique "KOUTRAJMe" qui, par définition, n'influe pas véritablement sur les qualités de l'oeuvre, vos critiques semblent parfois injustifiées. Beaucoup d'entre vous dénoncent la caricature dont sont victimes "racailles" de banlieue et habitants des campagnes. Les jeunes dépeints évoquent d'abord ceux des slasher(s) américains. Portés sur le sexe, l'alcool (la débauche, quoi) les personnages sont, il est vrai, extrêmement stéréotypés. Néanmoins, le cinéaste inscrit le cliché dans une perspective sociale assez intéressante. Les héros du slasher baisent, boivent... parce qu'ils sont...jeunes. Le réalisateur ajoute à ce premier parti pris une explication sociale tendant à élargir considérablement les enjeux des modèles américains. Ainsi la petite bande adopte-t-elle un comportement formaté, inhérent aux codes (présumés, certes) en vigueur dans les cités. Argot imagé, mode vestimentaire particulière, attitudes convenues: on se bat en boîte, vole dans les stations et fait des blagues idiotes. Tout ceci relève d'un RÖLE social dénué de véritables assises. On vole, certes, mais des bonbons, on parle de conquêtes féminines mais ces dernières se réduisent à des rêves érotiques et à des simulations avec un coussin... La rencontre de ces "jeunes" avec des campagnards consacre un point de vue pas si bête que cela (guère original, ok). Cette confrontation de deux univers a priori contraires permet à la "racaille" de se découvrir (enlever son masque social) réellement Placés face à leurs doubles (cf omniprésence du thème), les jeunes constatent non sans effroi leur condition d'hommes, simplement. Cette découverte ne s'effectue pas sans heurt (personnage refusant de se dénuder dans la grotte). Tel Oedipe, Barth se trouve finalement privé de ses yeux, façon de signaler sa nouvelle lucidité (nique ta mère, Jocaste?). Aucunement raciste, Sheitan souligne au contraire l'égalité des hommes sous un masque social vide de sens. Bon, cela fait longtemps que je n'ai pas vu le film don j'ai pu me tromper mais j'en garde un bon souvenir (tout en regrettant avec Otis l'exploitation lacunaire des thèmes proprement "fantastiques").
Sacrée Shapiron.
"Comme disait mon ami Richard Nixon, mieux vaut une petite tâche sur la conscience qu'une grosse sur l'honneur. Allez en vous remerciant bonsoir."