ça a l'air très bien tout çaFlytag a écrit :Nouvelle bande annonce
http://www.onbeatproductions.com/Starz/ ... ailer3.mov
Info trouvé sur http://www.highlander1592.net
Highlander - Kawajiri (2005)
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C'est mieux que les 5 films et la série mais, malheureusement, ça veut pas dire que c'est très bien. Le bon point, c'est qu'il n'y a pas toute la mythologie des immortels venant de la série, y'a aucune continuité et franchement, je vois mal comment on aurait pu nous justifier un énième écossais comme personnage principal. Le mauvais point, c'est que c'est un peu un Ninja Scroll light. C'est plus violent et sexuel que les films, mais moins que Ninja Scroll. Le sadisme habituel de Kawajiri est présent, mais ça reste en filigrane alors que ça partait sur un postulat qui aurait pu faire de "Ken le survivant" la mascotte de "Debout les zouzous".
Le côté interessant provient curieusement du scénario...il s'appuie sur le schéma classique/top relou (rayer la mention inutile) des films (temps présent/flashback/temps présent etc...) mais pour une fois, la quête du héros n'est pas noble du tout et il est régulièrement montré comme un gros looser.
Les combats sont pas mal sans plus...bref ça se regarde, mais ça reste pas en tête.
Le côté interessant provient curieusement du scénario...il s'appuie sur le schéma classique/top relou (rayer la mention inutile) des films (temps présent/flashback/temps présent etc...) mais pour une fois, la quête du héros n'est pas noble du tout et il est régulièrement montré comme un gros looser.
Les combats sont pas mal sans plus...bref ça se regarde, mais ça reste pas en tête.
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Re: Highlander - Kawajiri (2005)
cela sort finalement en france chez Kaze en juin, dvd et BR
http://www.manga-news.com/index.php/act ... -chez-Kaze
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Sa place est dans un Blu-Ray !
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Re: Highlander - Kawajiri (2005)
Mais sera-ce la version américaine, ou le director's cut ?
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Re: Highlander - Kawajiri (2005)
ça dépend à qui Kaze a acheté les droits
Sa place est dans un Blu-Ray !
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Re: Highlander - Kawajiri (2005)
Ce serait logique pour une boîte aussi sérieuse dans le domaine du manga de nous sortir la version de Kawajiri, celui-ci étant mécontent de la version ricaine...? Après peut-être que tous dépend du matériel pour la fabrication du DVD/BR....?Jérôme a écrit :ça dépend à qui Kaze a acheté les droits
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Re: Highlander - Kawajiri (2005)
tester dans le magazine LAL n°165 du mois de juin la durée annoncé de 86mn renvoi au DVD US qui lui aussi avait la même durée sur le site Devildead, dommage ! Reste que d'après le commentaire sur le test le film reste visuellement superbe et qu'il aligne pas mal de passage violent et sanglant. Un Kawajiri a ne pas louper



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Re: Highlander - Kawajiri (2005)
Quelle déception... 

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Re: Highlander - Kawajiri (2005)
La critique d'Animeland est assassine.
Re: Highlander - Kawajiri (2005)
Lien vers la critique d'animeland qui confirme que c'est la version coupée :
http://www.animeland.com/critiques/voir ... er-Blu-ray
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Re: Highlander - Kawajiri (2005)
Je faisais référence à la critique du mag, sur 2 pages, qui explique que l'anime est du niveau des suites ciné d'HIGHLANDER (au passage, plus ça va, plus les articles de ce mag sont mal écrits).
Re: Highlander - Kawajiri (2005)
Le director's cut est quant à lui bien dispo dans son édition DVD japonaise sur divers sites de cinéma asiatique, avec doublage anglais (mais pas de STA apparemment). Petit souci, il faut compter environ 40 €...
Un test du dvd japonais :
http://www.dvdanime.net/critiqueview.ph ... tique=2585
Un test du dvd japonais :
http://www.dvdanime.net/critiqueview.ph ... tique=2585
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Re: Highlander - Kawajiri (2005)
Clair qu'il faudrait qu'ils changent de secrétaire de rédaction chez Anime Land. Vu le film l'an dernier et pour ma part, j'ai été très déçue. Je me suis meme endormie devant (pas longtemps, hein !) et un an après, je garde des souvenirs méga flous !
J'ai trouvé la scène romantique obligatoire un peu cheapos, le méchant a un potentiel fabuleux malheureusement mal exploité et l'habituel side-kick à voix de petit vieux (quand c'est pas l'espèce de vieux guerrier dans Ninja Scroll, c'est la main parlante dans Vampire Hunter D) est, cette fois-ci bien énervante. Pourtant, ça vole un peu plus haut que les autres films de la saga Highlander, c'est évident, mais bof ! Un Kawajiri mineur à mes yeux.

J'ai trouvé la scène romantique obligatoire un peu cheapos, le méchant a un potentiel fabuleux malheureusement mal exploité et l'habituel side-kick à voix de petit vieux (quand c'est pas l'espèce de vieux guerrier dans Ninja Scroll, c'est la main parlante dans Vampire Hunter D) est, cette fois-ci bien énervante. Pourtant, ça vole un peu plus haut que les autres films de la saga Highlander, c'est évident, mais bof ! Un Kawajiri mineur à mes yeux.

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Re: Highlander - Kawajiri (2005)
Inintéressant sur toute la ligne. Finalement dans la droite lignée de ce que sera devenue la saga au fil des années. Soit d’incessants allers-retours passé-présent uniquement prétextes à duels et autres bastons.
Ici on touche quand même le fond. Le scénario (un virus !, un sauveur !, une vengeance !) offre à peine le minimum syndical ; où sont les retournements de situation ? La caractérisation des personnages frôle le néant, les deux protagonistes principaux résumés à une dichotomie bien-mal, les figures secondaires, vulgaires caricatures des side-kicks éternellement en vigueur dans les dessins animés. L’environnement post-apocalyptique est réduit à quelques ruines urbaines et égouts, les passages historiques à des décors dans leur plus simple expression. La mise en scène n’est pas mieux lotie, minimaliste au possible. Finis les effets de montage et de transitions qui ont fait la gloire de Russel Mulcahy, ici le fondu au noir prime, banale manière de clôturer bien des séquences. Tout cela ne serait au final guère étonnant dans le cadre d’une série Z italienne des 80’s, mais ici on parle bien d’un anime japonais, de Kawajiri qui plus est. Le médium n’est donc sollicité à aucun moment dans ce qu’il permet comme visions dantesques et angles de prises de vue originaux.
Le thème de l’immortalité est quant à lui traité par-dessus la jambe. Si vous avez compris pourquoi et comment le héros et la furie cuir de sa némésis sont devenus immortels, faites moi signe. Le Highlander en titre n’est finalement qu’une espèce de Wolverine des X-Men, les blessures infligées sans conséquences permettant d’en rajouter dans la souffrance et la destruction des corps en toute impunité scénaristique. Plus aucune empathie possible pour ces personnages. Il en ressort juste que le but que s’est fixé le méchant pour emplir sa vie éternelle, soit la reconstruction permanente de son empire, semble bien plus gratifiant que le seul souci de vengeance du bon concernant sa dulcinée. Eclairage pertinent sur le cycle « grandeur et décadence » des civilisations.
Pour enfoncer le clou, la copie diffusée sur Orange Cinéma Séries était victime d’une compression déplorable. Pixellisation et artefacts à tous les étages. N’ayant jamais constaté une telle dégradation de l’image lors d’une diffusion télé, j’ose tout de même espérer que cette copie était propre à la chaîne et non pas celle proposée sur galette numérique.
Et que dire de la version anglaise, avec ses voix vulgaires et avinées. Et ces dialogues à base de « let kick ass » et autres punch-lines qui parasitent tout actionner bourrin qui se respecte depuis maintenant plus de 20 ans, ça commence à bien faire.
Ici on touche quand même le fond. Le scénario (un virus !, un sauveur !, une vengeance !) offre à peine le minimum syndical ; où sont les retournements de situation ? La caractérisation des personnages frôle le néant, les deux protagonistes principaux résumés à une dichotomie bien-mal, les figures secondaires, vulgaires caricatures des side-kicks éternellement en vigueur dans les dessins animés. L’environnement post-apocalyptique est réduit à quelques ruines urbaines et égouts, les passages historiques à des décors dans leur plus simple expression. La mise en scène n’est pas mieux lotie, minimaliste au possible. Finis les effets de montage et de transitions qui ont fait la gloire de Russel Mulcahy, ici le fondu au noir prime, banale manière de clôturer bien des séquences. Tout cela ne serait au final guère étonnant dans le cadre d’une série Z italienne des 80’s, mais ici on parle bien d’un anime japonais, de Kawajiri qui plus est. Le médium n’est donc sollicité à aucun moment dans ce qu’il permet comme visions dantesques et angles de prises de vue originaux.
Le thème de l’immortalité est quant à lui traité par-dessus la jambe. Si vous avez compris pourquoi et comment le héros et la furie cuir de sa némésis sont devenus immortels, faites moi signe. Le Highlander en titre n’est finalement qu’une espèce de Wolverine des X-Men, les blessures infligées sans conséquences permettant d’en rajouter dans la souffrance et la destruction des corps en toute impunité scénaristique. Plus aucune empathie possible pour ces personnages. Il en ressort juste que le but que s’est fixé le méchant pour emplir sa vie éternelle, soit la reconstruction permanente de son empire, semble bien plus gratifiant que le seul souci de vengeance du bon concernant sa dulcinée. Eclairage pertinent sur le cycle « grandeur et décadence » des civilisations.
Pour enfoncer le clou, la copie diffusée sur Orange Cinéma Séries était victime d’une compression déplorable. Pixellisation et artefacts à tous les étages. N’ayant jamais constaté une telle dégradation de l’image lors d’une diffusion télé, j’ose tout de même espérer que cette copie était propre à la chaîne et non pas celle proposée sur galette numérique.
Et que dire de la version anglaise, avec ses voix vulgaires et avinées. Et ces dialogues à base de « let kick ass » et autres punch-lines qui parasitent tout actionner bourrin qui se respecte depuis maintenant plus de 20 ans, ça commence à bien faire.