Ça fait plaisir de te revoir par ici, FX!
Sinon pour Le Blu Ray, il est indiqué un format 1.66:1. Comme le film est en 2.35:1, est-ce une erreur de type ou Le firlztcest-il bie en 1.66:1??
Giallo a Venezia - Mario Landi - 1978
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Superwonderscope
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Re: Giallo a Venezia - Mario Landi - 1978
Oh really? Well then I'm sure you wouldn't mind giving us a detailed account of exactly how you concocted this miracle glue, would you ?
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igorfx
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Re: Giallo a Venezia - Mario Landi - 1978
Hello SWC, plaisir partagé, refaire un post c'est toujours sympaSuperwonderscope a écrit :Ça fait plaisir de te revoir par ici, FX!
Sinon pour Le Blu Ray, il est indiqué un format 1.66:1. Comme le film est en 2.35:1, est-ce une erreur de type ou Le firlztcest-il bie en 1.66:1??
Pour tes questions techniques malheureusement je suis un indécrottable incompétent à ce niveau, du moment que l'image est belle et qu'il y a des sous-titres que je comprends... cela suffit à mon bonheur, désolé de ne pouvoir en dire plus sur ce Blu-ray
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Superwonderscope
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Re: Giallo a Venezia - Mario Landi - 1978
pas de souci!
Après vérifications, le film est d'une durée de 99mn et bien au format 2.35:1 respecté.
Après vérifications, le film est d'une durée de 99mn et bien au format 2.35:1 respecté.
Oh really? Well then I'm sure you wouldn't mind giving us a detailed account of exactly how you concocted this miracle glue, would you ?
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Dragonball
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Re: Giallo a Venezia - Mario Landi - 1978
L'univers du Bis italien a comme les autres ses films prêtant plus ou moins au fantasme, des films généralement assez peu visibles caractérisés par une ou plusieurs scène choques et revenant assez régulièrement dans les conversations, qu'on ait vu ces films ou pas !
ça a longtemps été le cas d'Antropophagus par exemple ou encore de "Cauchemar à Daytona beach"!
Souvent la découverte du film permet de remettre les choses au clair : Ainsi, Antropophagus (Revu il y a quelques jours) si il reste encore aujourd'hui un film a l'ambiance assez particulière, est très très loin d'être le monument de gore souvent décris. Juste 2 scènes un peu hard, et encore, même pour l'époque, de nombreux films, comme ceux de Fulci par exemple, allaient beaucoup plus loin dans le "trash" !
Idem pour "Cauchemar à Daytona beach", psychokiller assez glauque mais, tout comme "Antropophagus d'ailleurs, assez lent et valant surtout pour
son intro et évidemment son épilogue, pour le coup en effet assez corsé !
Je ne m'attendais donc pas en regardant "Giallo a Venezia" à en effet tomber sur le giallo ultra hardcore souvent décris par certains fans un peu trop enthousiastes !
Et heureusement, parce que c'est pas du tout le cas !
Découvrant en ce moment pas mal de petite perles racées du Bis italien édité par "Le chat qui fume", on peut dire que le choc esthétique est rude quand on commence a voir "Giallo a Venezia" !
Purée que c'est moche !
Le réal a réussi l'exploit de faire de Venise lieu si privilégié des Gialli, une ville banale, moche, grisatre, bref, un peu à l'image de son film qui, a défaut d'être un film hardcore, est surtout un film crade, laid et vulgaire !
Et puis c'est quoi cet inspecteur à la tête pas possible dont le seul trait de caractère semble être sa passion pour les oeufs durs ?
Bon sinon, un bon point quand même, même si le film, avec sa tronche de téléfilm érotique du dimanche soir de M6, est super chiant (Enfin, à moins d'aimer les scènes érotique moches !), le scénario est tout de même intéressant, avec notamment un épilogue qui évite de verser dans le n’importe quoi comme c'est parfois le cas dans les Gialli !
Quand aux fameuses scènes ultra hardcore tant vanté par certains amateurs du genre ?
2 séquences toute pourries aux trucages minables, enfin surtout concernant la première, la seconde relevant un peu le niveau bien que restant elle aussi d'une banalité assez confondante !
Enfin bon, voilà au moins une case de cochée dans la culture "Bis", c'est toujours ça de fait !
ça a longtemps été le cas d'Antropophagus par exemple ou encore de "Cauchemar à Daytona beach"!
Souvent la découverte du film permet de remettre les choses au clair : Ainsi, Antropophagus (Revu il y a quelques jours) si il reste encore aujourd'hui un film a l'ambiance assez particulière, est très très loin d'être le monument de gore souvent décris. Juste 2 scènes un peu hard, et encore, même pour l'époque, de nombreux films, comme ceux de Fulci par exemple, allaient beaucoup plus loin dans le "trash" !
Idem pour "Cauchemar à Daytona beach", psychokiller assez glauque mais, tout comme "Antropophagus d'ailleurs, assez lent et valant surtout pour
son intro et évidemment son épilogue, pour le coup en effet assez corsé !
Je ne m'attendais donc pas en regardant "Giallo a Venezia" à en effet tomber sur le giallo ultra hardcore souvent décris par certains fans un peu trop enthousiastes !
Et heureusement, parce que c'est pas du tout le cas !
Découvrant en ce moment pas mal de petite perles racées du Bis italien édité par "Le chat qui fume", on peut dire que le choc esthétique est rude quand on commence a voir "Giallo a Venezia" !
Purée que c'est moche !
Le réal a réussi l'exploit de faire de Venise lieu si privilégié des Gialli, une ville banale, moche, grisatre, bref, un peu à l'image de son film qui, a défaut d'être un film hardcore, est surtout un film crade, laid et vulgaire !
Et puis c'est quoi cet inspecteur à la tête pas possible dont le seul trait de caractère semble être sa passion pour les oeufs durs ?
Bon sinon, un bon point quand même, même si le film, avec sa tronche de téléfilm érotique du dimanche soir de M6, est super chiant (Enfin, à moins d'aimer les scènes érotique moches !), le scénario est tout de même intéressant, avec notamment un épilogue qui évite de verser dans le n’importe quoi comme c'est parfois le cas dans les Gialli !
Quand aux fameuses scènes ultra hardcore tant vanté par certains amateurs du genre ?
2 séquences toute pourries aux trucages minables, enfin surtout concernant la première, la seconde relevant un peu le niveau bien que restant elle aussi d'une banalité assez confondante !
Enfin bon, voilà au moins une case de cochée dans la culture "Bis", c'est toujours ça de fait !
