J'avais beaucoup aimé la façon de ramener les super-héros à notre quotidien réaliste, même si ça a déja été fait en BD. Surtout qu'en plus, rien dans la promo ne laissait présager une histoire de super héros, j'ai été surpris et j'aime ça.
Mais c'est vrai que les films de Night Machouillalamanetruc ne se voient qu'une fois, à la seconde vision c'est chiant. D'ailleurs je n'ai vu aucun de ses films 2 fois.
Incassable - 2000 - M. Night Shyamalan
Modérateurs : Karen, savoy1, DeVilDead Team
Le plus beau film de Shyamalan.
Il allie une classe et une rigueur indiscutables. Et le film prends de la bouteille lors des visionnages successifs.
Dialogues brillants, direction d'acteurs formidable, postulat intelligent, structure et composition qui font preuve d'une maîtrise impressionnante. Pour moi l'un des meilleurs films américains de ces 10 dernières années.
Il allie une classe et une rigueur indiscutables. Et le film prends de la bouteille lors des visionnages successifs.
Dialogues brillants, direction d'acteurs formidable, postulat intelligent, structure et composition qui font preuve d'une maîtrise impressionnante. Pour moi l'un des meilleurs films américains de ces 10 dernières années.
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dario carpenter
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quelle horreur,c'est bien pour ça que je n'ai pas acheté le dvd!niko13 a écrit :Tout a fait !! Panneau explicatif inutile absent de la projection en salles.
sinon,c'est peut être,effectivement,le meilleur Shyamalan (et pourtant je fais partie de ceux qui ont apprécié et défendu "le village"...
),avec un Bruce Willis convaincant,une réal élégante et la musique de James Newton Howard! 
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rusty james
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the masqué
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Le meilleur Shyamalan , véritable rélfexion sur ce que peut êtrev un superhéros dans notre société individualiste......Le twist final est bon (c'est déjà pas mal,parce que celui du VILLAGE...bon,la parenthèse se ferme) et l'ensemble se révèle un excellent thriller.
"Si on devait tirer sur tout ce qui bouge,on vieillirait bien seuls"
"En France je suis considéré comme un gros nul, En Allemagne comme un raté, En Angleterre aussi et aux Etats-Unis pareil"
Michael Bay
"En France je suis considéré comme un gros nul, En Allemagne comme un raté, En Angleterre aussi et aux Etats-Unis pareil"
Michael Bay
Explications bidons présentes sur TF1.tomfincher a écrit : Mention passable au DVD français qui propose la fin américaine, avec les explications qui n'ont rien à faire là...
David Dunn balance Elija et ses actes de terrorisme?
Elija finit dans un asile psychatrique?
C'était pas présent au ciné cela!!!
Recherche tout scan, écrivain ou personne ayant des informations sur la collection gore: collectiongore@hotmail.com
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Lurdo
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Le seul Shyamalan que j'aime vraiment.
Mais c'est marrant cette réput de super technicien que se traîne Chienmalade, passque perso, j'ai jamais trouvé sa réal formidable. C'est 95% du temps solide, certes, mais ya toujours un plan foireux qui vient démolir le chateau de cartes que Shyamalan s'est amusé à construire pendant deux heures....
EN général, c'est souvent des plans à base de ralentis, de steadycam au ralenti, de travelling avant ou arrière, voire de steadycam....
J'ai en tête les ralentis du Village sur le monstre qui se casse la gueule dans le trou, le steadycam shot tournoyant autour de la famille dans SIgnes, juste après le sauvetage du gamin, il me semble me souvenir de travelling très moche sur Willis ou Jackson dans Incassable.....
Et à chaque fois, ça râte pas, je me dis: "N'importe quoi, le Chienmalade, là".... et je parle même pas de ses apparitions Hitchcockiennes méga forcées....
Mais je kiffe Incassable, hein... sauf les plans finaux merdiques avec le texte, mais ça...
Mais c'est marrant cette réput de super technicien que se traîne Chienmalade, passque perso, j'ai jamais trouvé sa réal formidable. C'est 95% du temps solide, certes, mais ya toujours un plan foireux qui vient démolir le chateau de cartes que Shyamalan s'est amusé à construire pendant deux heures....
EN général, c'est souvent des plans à base de ralentis, de steadycam au ralenti, de travelling avant ou arrière, voire de steadycam....
J'ai en tête les ralentis du Village sur le monstre qui se casse la gueule dans le trou, le steadycam shot tournoyant autour de la famille dans SIgnes, juste après le sauvetage du gamin, il me semble me souvenir de travelling très moche sur Willis ou Jackson dans Incassable.....
Et à chaque fois, ça râte pas, je me dis: "N'importe quoi, le Chienmalade, là".... et je parle même pas de ses apparitions Hitchcockiennes méga forcées....
Mais je kiffe Incassable, hein... sauf les plans finaux merdiques avec le texte, mais ça...
Je n'ai vu que la version dvd, qu'elle est la fin dans la version salle? C'est différent ou il y a des scènes en moins?John Yebs a écrit :Explications bidons présentes sur TF1.
David Dunn balance Elija et ses actes de terrorisme?
Elija finit dans un asile psychatrique?
C'était pas présent au ciné cela!!!
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tomfincher
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Superwonderscope
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Exact. Et c'est aussi le seul film que M. Night Shyamalan que j'apprécie.Haribo a écrit :Le plus beau film de Shyamalan.
Il allie une classe et une rigueur indiscutables. Et le film prends de la bouteille lors des visionnages successifs.
Dialogues brillants, direction d'acteurs formidable, postulat intelligent, structure et composition qui font preuve d'une maîtrise impressionnante. Pour moi l'un des meilleurs films américains de ces 10 dernières années.
Le premier plan dans le train est un modèle de mise en scène. Tout le langage cinématograhique à son aporgée : le langage par l'image. Aucun besoin de dialogue, tout passe par le regard du personnage et celui de la caméra. Magnifique.
Oh really? Well then I'm sure you wouldn't mind giving us a detailed account of exactly how you concocted this miracle glue, would you ?
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White Snake
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Après le triomphe stupéfiant de "Sixième sens", Shyamalan remet le couvert en abordant un second sujet fantastique : le film de super-héros. Mais si le parti-pris totalement réaliste et humaniste avec lequel il abordait "Sixième Sens" n'était pas nouveau pour une Ghost Story, elle parait par contre totalement inédite pour un film de super-héros - au cinéma en tous cas. Il s'éloigne du style comics classique pour aborder un ton plus proche du "graphic novel" à ambition plus adulte. Et ce tout en proposant toujours un film populaire sans prétention paraissant excessive. A la revoyure, on découvre quelques longueurs (dans la première heure en particulier). Mais l'émotion et la beauté de la mise en scène passent, eux, encore mieux. La révélation finale - qui n'en est qu'à moitié une - provoque encore un réel frémissement. Superbe musqiue de James Newton Howard et un Smauel Lee Jackson dans un rôle à contre-emploi étonnant...
En DVD, comme pour "Sixième Sens", il faut viser les éditions 2 DVD Vista Series. Le disque zone 1 propose une piste anglaise DTS et une vf DD 5.1. Pas de sous-titres français. Edition "ultime", donc, mais à réserver aux anglophones.
L'édition 2 DVD zone 2 propose la vf en DD5.1 et la VO (avec STF) en DD 5.1. L'interactivité est la même...
En DVD, comme pour "Sixième Sens", il faut viser les éditions 2 DVD Vista Series. Le disque zone 1 propose une piste anglaise DTS et une vf DD 5.1. Pas de sous-titres français. Edition "ultime", donc, mais à réserver aux anglophones.
L'édition 2 DVD zone 2 propose la vf en DD5.1 et la VO (avec STF) en DD 5.1. L'interactivité est la même...
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Fatalis rex
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Un film qui m'avait beaucoup surpris, car je ne m'attendais pas dutout à ce qu'il aborde le thème des super-héros.
Shyamalan choisit l'angle du réalisme, dans la lignée d'un Alan Moore avec ses WATCHMEN, et se pose la question : et si les super-héros existaient ? Et si un homme lambda se retrouvait confronté à une destinée de super-héros ? Sa théorie est d'une logique implacable, cette fois empruntée au DARK KNIGHT de Frank Miller : sans méchant, pas de super-héros, et le méchant est toujours l'exact contraire du héros. En gros : héros et vilains n'existent que dans l'opposition ; j'ai un adversaire donc je suis.
Le film reprend tous les codes du genre (découverte des pouvoirs, point faible, double-vie, anonymat...) au cours d'un exercice ingénueux où il est facile de s'identifier à Bruce Willis, le type ordinaire se découvrant un nouveau statut de demi-dieu. Ca n'est pas nouveau, mais c'était très bien vu, même si on voit le twist arriver de loin.
Shyamalan choisit l'angle du réalisme, dans la lignée d'un Alan Moore avec ses WATCHMEN, et se pose la question : et si les super-héros existaient ? Et si un homme lambda se retrouvait confronté à une destinée de super-héros ? Sa théorie est d'une logique implacable, cette fois empruntée au DARK KNIGHT de Frank Miller : sans méchant, pas de super-héros, et le méchant est toujours l'exact contraire du héros. En gros : héros et vilains n'existent que dans l'opposition ; j'ai un adversaire donc je suis.
Le film reprend tous les codes du genre (découverte des pouvoirs, point faible, double-vie, anonymat...) au cours d'un exercice ingénueux où il est facile de s'identifier à Bruce Willis, le type ordinaire se découvrant un nouveau statut de demi-dieu. Ca n'est pas nouveau, mais c'était très bien vu, même si on voit le twist arriver de loin.