
D'ou GRAND merci a la NHK nationale pour l'avoir diffuse et m'avoir ainsi permis de combler cette lacune.
Ma joie est par contre plutot mitigee a la vision du metrage...
Soyons francs, je suis reste completement hermetique au film et me suis poliment (sisi) ennuye.

Le film m'a rappelle une palanquee de films similaire quand au sujet: la memoire et l'histoire, films dont la plupart m'ont...egalement...laisse sur le bas-cote.

A rebours et pour le cote tripatouillage(?) des souvenirs: Enternal Sunshine of the Spotless Mind (2004) que j'avais decouvert sur le satellite il y a 7-8 ans--et adore



Pour le cote grand niais face a l'Histoire (notez le grand "H"): Forrest Gump (1994), film que bibi a vu "par morceaux" (et dans le desordre), mais qu'il n'a jamais eu vraiment envie de voir dans l'ordre, vu que je suis assez retif a Tom Hanks et que perso candide-naif-c.l-c.l a le don de m'irriter.
The World according to Garp (1982) pour le cote: vie peu ordinaire d'un personnage TRES ordinaire. TWatG est un film que j'avais a-d-o-r-e et que j'ai envie de revoir, tellement le cote "karma blagueur" secoue pas mal l'existence du hero, qui sait prendre les alleas de la vie avec humour et philosophie m'avais conquis.
Je t'aime, je t'aime (1968): film TRES experimental avec un perso "coince" dans une boucle de ses souvenirs (mais ici, c'est une machine qui s'est detraquee). Ca m'avait laisse passablement sur le bas-cote, mais j'ai envie de re-tenter l'experience.
En fait, dans les titres enumeres, seul Garp tire reellement son epingle du jeu, et presente peut-etre le plus grand "hick" de SH5, le fait que cette histoire de "voyage dans le temps" (et les souvenirs) tient plus du "gimmick" que d'autre chose. Racontez ca dans l'ordre et oublie la planete bidule et on a TWatG en nettement moins prise de tete (je soupconne TWatG d'avoir louche sur la copie de SH5 et d'avoir rectifie ce "detail").
[MEGA-SURPRISE: en recherchant un peu, je decouvre que G.R. Hill a EGALEMENT realise TWatG, base lui, sur un roman de John Irwing.

L'on a un peu l'impression qu'au final, la "morale" du film est que la guerre, c'est "mal". M'enfin, c'etait peut-etre novateur a l'epoque (j'ai des doutes), mais ca fait un chouillat depasse comme message de nos jours.
Le final tres 2001 dans son concept (avec une actrice de porno


Le final a le meme cote "theatral" que 2001, mais sans la maestria de Kubrik, ca fait tres "Au Theatre ce soir" facon vaudeville ou il ne manque plus que les portes qui claqueraient...
Bref, completement hermetique sur ce film...
Slaughterhouse Five: WTF / 5 (j'en reste a Garp et a The Sting, pour le reste, comme avec Zardoz, content de l'avoir vu et de l'avoir "raye de ma liste", mais bon, j'aurais treeeees bien pu vivre sans l'avoir jamais vu au final
