
Y'a du filtre vert, rouge, jaune, bleu, violet, caca d'oie et le monteur est un épileptique parkinsonien doublé d'une bougeotte qui ferait presque de la peine. 1h30 de rien filmé n'importe comment avec n'importe qui, scénarisé avec les pieds. Tout ceci est mis en musique par un Hans zimmer du pauvre. Le pire c'est que tout ça se prends au plus grand sérieux.
J'ai adoré la scène du tout petit ambassadeur sud-coréen qui n'arrête pas de couper la parole au grand président (Peter Coyote) américain tout penaud

Effectivement les 3 scènes de flingues sont affligeantes, on y comprends rien.
Etonnament ce film n'est pas ennuyeux
