The Survivor - David Hemmings (1981)
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Re: The Survivor - David Hemmings (1981)
Severin ne lock jamais ses disques donc zone all amha.
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Kekulé Von Sardonik
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Re: The Survivor - David Hemmings (1981)
D'après DVD Beaver, il est bien toutes zones.
En dehors d'un chien, un livre est le meilleur ami de l'homme. En dedans d'un chien, il fait trop sombre pour lire. - Groucho Marx
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dario carpenter
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Re: The Survivor - David Hemmings (1981)
Merci pour l'info! 
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Superwonderscope
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Re: The Survivor - David Hemmings (1981)
Revisitation de la version complète de 98mn21 sur le Blu ray de chez Severin.
C'est toujours la même impression bancale mais attrayante qui domine. Une volonté farouche d'amplifier le bizarre et l'atmosphère au profit de l'efficacité et de l'action. Les scènes d'ouverture et de clôture du film en forme de jeu de piste/boucle bouclée, en forme de quasi rêverie donne le ton.
Un crash spectaculaire (mais on sent le manque de moyen pour pleinement tout montrer, ceci dit...) et une promenade entre la vie et la mort par la suite. Il existe aussi cette volonté d'expurger les passages gore du bouquin, tout en gardant quelques scènes de mise à mort dont un égorgement brutal. Il me semble d'ailleurs que cela fait partie des scènes qui manquaient à la version du DVD de Mad Movies. A noter qu'il s'(agissait malgré tout du plus gros budget australien à l'époque. Et, d l'aveu du réalisateur, un film prétendu pour la première à travers le monde via un promo-reel effet par Brian trenchard-Smith et la zique de May... mais que le film ne archi pratiquement nulle part.
Le film verse plus dans l'horreur psychologique tendance surnaturelle, avec l'adjonction de Jenny Agutter. je l'adore. Mais force est de reconnaitre son insertion très maladroite dans le récit. Mais elle apporte une touche cérébrale, une des composantes du récit voulu par le producteur et le réalisateur, j'imagine.
Un format Scope superbement utilisé ici. Hemmings sait composer ses plans, maintenant les visites au lieu du crash dans un état, là aussi, de parfois quasi rêve/cauchemar. Très belle imagerie également dans les plans finaux avec l'hélice se déclenchant et l'arrivée des flammes en arrière.
Le film reste une oeuvre à part dans les années 80 en proie au slasher et au gore. Imparfait, certes, mais osant une direction inédite, avec une vraie volonté du bizarre et d mystère - même si résolu de manière peut être insatisfaisante.
Le BD Severin est un gros pas en avant par rapport au DVD français! Mais l'image parfois sombre des images extérieures (Jenny Agutter courant le long de la rivière, p.ex) fait quoi y vit parfois peu de choses. Quelques plans flous (Powell entrant sur le bateau d'Agutter), mais de manière générale, l'ensemble se hisse un poil au dessus du biveau "satisfaisant". LPCM Mono qui respecte la belle partition de Brian May.
Suppléments en pagaille, dont 22mn avec le producteur Ginnane et le directeur Photo qui reviennent de manière appuyée sur les conditions de tournage, la manière "compétitive" de David Hemmings de diriger l'ensemble.
Interview d'époque de David lemmings, Robert Powell sur deux segments, films annonce des films de Ginnane et des interviews d'époque du cast.
Une édition assez généreuse!
C'est toujours la même impression bancale mais attrayante qui domine. Une volonté farouche d'amplifier le bizarre et l'atmosphère au profit de l'efficacité et de l'action. Les scènes d'ouverture et de clôture du film en forme de jeu de piste/boucle bouclée, en forme de quasi rêverie donne le ton.
Un crash spectaculaire (mais on sent le manque de moyen pour pleinement tout montrer, ceci dit...) et une promenade entre la vie et la mort par la suite. Il existe aussi cette volonté d'expurger les passages gore du bouquin, tout en gardant quelques scènes de mise à mort dont un égorgement brutal. Il me semble d'ailleurs que cela fait partie des scènes qui manquaient à la version du DVD de Mad Movies. A noter qu'il s'(agissait malgré tout du plus gros budget australien à l'époque. Et, d l'aveu du réalisateur, un film prétendu pour la première à travers le monde via un promo-reel effet par Brian trenchard-Smith et la zique de May... mais que le film ne archi pratiquement nulle part.
Le film verse plus dans l'horreur psychologique tendance surnaturelle, avec l'adjonction de Jenny Agutter. je l'adore. Mais force est de reconnaitre son insertion très maladroite dans le récit. Mais elle apporte une touche cérébrale, une des composantes du récit voulu par le producteur et le réalisateur, j'imagine.
Un format Scope superbement utilisé ici. Hemmings sait composer ses plans, maintenant les visites au lieu du crash dans un état, là aussi, de parfois quasi rêve/cauchemar. Très belle imagerie également dans les plans finaux avec l'hélice se déclenchant et l'arrivée des flammes en arrière.
Le film reste une oeuvre à part dans les années 80 en proie au slasher et au gore. Imparfait, certes, mais osant une direction inédite, avec une vraie volonté du bizarre et d mystère - même si résolu de manière peut être insatisfaisante.
Le BD Severin est un gros pas en avant par rapport au DVD français! Mais l'image parfois sombre des images extérieures (Jenny Agutter courant le long de la rivière, p.ex) fait quoi y vit parfois peu de choses. Quelques plans flous (Powell entrant sur le bateau d'Agutter), mais de manière générale, l'ensemble se hisse un poil au dessus du biveau "satisfaisant". LPCM Mono qui respecte la belle partition de Brian May.
Suppléments en pagaille, dont 22mn avec le producteur Ginnane et le directeur Photo qui reviennent de manière appuyée sur les conditions de tournage, la manière "compétitive" de David Hemmings de diriger l'ensemble.
Interview d'époque de David lemmings, Robert Powell sur deux segments, films annonce des films de Ginnane et des interviews d'époque du cast.
Une édition assez généreuse!
Oh really? Well then I'm sure you wouldn't mind giving us a detailed account of exactly how you concocted this miracle glue, would you ?
Re: The Survivor - David Hemmings (1981)
Je l'avais découvert sur le dvd Mad (franchement daté avec sa compression digne du youtube d'il y a 10 ans), et j'avais été assez déçu par ce métrage. Qui part d'un point de départ intrigant, intéressant, d'une bonne scène d'ouverture, avant devenir statique, bavard et ennuyeux, malgré une durée courte. Un net cran en dessous des séries B fantastiques australiennes plus ambitieuses comme "Harlequin" ou "Soif de sang"...