Le Post Nuke, et d'une manière plus générale les films mettant en scène des personnages essayant de survivre dans une humanité dévasté ou toute forme de civilisation semble avoir disparue, est un genre bien plus diversifié qu'il n'y parait, loin de se limiter à la série des Mad Max et de tous ses ersatz américains et Italiens. On pourrait même dire que Mad Max et tous les filmes qui l'ont imité ont finalement imprimé chez le spectateur une idée totalement fantaisistes de ce que pourrait être l'image d'un monde dévasté par une catastrophe subite. Idée fantaisistes que vient casser de manière radicale "The Road".
En effet ici, point de paysages désertiques écrasé par un soleil torride, ni de barbares S.M, mais des ruines lugubres de villes et de villages abandonnés, des hommes étrant sur les routes et une menace ici débarasé des ses clichés habituels les plus folkloriques, se résumant au final la plupart du temps à de simples humains vétus de guenilles ou à quelques groupes certes plus organisé, mais au final guère plus impressionnants (Même si l'apparition du groupoe de redneck du début du film fait quand même son petite effet !

) .
C'est ce réalisme rarement attient dans un psot Nuke qui constitue une des plus grande qualité de "The road", récit centré sur la relation profondément émouvante ntre un père et son fils tentant de suivivre au milieu du chaos ambiant.
Aussi, il ne faut pas s'attendre avec "The road" à voir un films débordant d'action ou même de scènes purement horrifiques. En effet bien qu'un des principale danger de ce monde psot apocalyptique soit le fait que de nombreux humains soient devenu cannibales peu de scènes leurs sont flmalement consacré, (Celle ci n'en sont pr contre que d'autant plus forte), des scènes privilégiant au passage le hors champ aux effets gore explicite.
Évidement, celà frustrera un peu celui qui s'imaginait voir avec "The road" un mix entre "Mad Max" et "Cannibal Holocaust" !
Symbolique de cette volonté de sobriété, l'une des scènes les plus marquante du film est une scène toute simple, le face à face entre Le père, son ils et un vagabond noir.
Un passage très intense ou chacun des 3 protagonistes de la scène se montre particulièrement émouvant.
Bref, un poste nuke atypique et paradoxalement bien plus réaliste que la majorité des films de ce genre,
Un très beau film et une très grande réussite.