Ce qui est marrant c'est qu'avec renversement des valeurs tu emploies quasiment des mots Nietzschéens (même si on traduit souvent plutôt par "transvalution" des valeurs), et on connaît le goût du bonhomme pour la morale judéo-chrétienne (et ses valeurs)
Enfin bref il ne s'agit pas de remettre en cause les poèmes épiques ou la mythologie (j'ai pas ton bagage culturel, donc je m'abstiendrais bien volontiers de parler des mouvements que tu cites... même si en gros... bein, le classicisme, c'est cool justement

), les tragédies ou les fins qui tournent mal plus généralement, mais simplement de dire que j'avais l'impression que dans ce film on tirait bien au contraire plus vers un constat romantique justement, idéalisé (à l'opposé a priori des petits gars de la pleiade), enveloppant la mort dans de faux apparats. Il met en scène sa mort mais çà ne fait pas oublier pour moi qu'il fuit la vie et se suicide...
PS: ah oui et je bois trop de bière pour être épicurien, malheureusement

(par contre l'idéalisme trop peu pour moi, çà me donne mal à la tête ces bricolages de maboules

)