Bon, on suit le film avec un ennui poli. ça gesticule mais on reste complètement extérieur à ce qui se déroule, comme d'hab.
Les scenes de reves s'integrent plutot bien et apportent une touche d'originalité même si comme toujours avec Zombie, on traite de psychologie au tractopelle : le cheval blanc

Aucun perso n'est attachant, Loomis en "intrigue" parallèle (conférence, plateau télé, dédicace de son bouquin) est un gros connard qui ne sert à rien sauf dans les cinq dernieres minutes.
Et au bout de 20mn de film, il ose nous faire le coup de "en fait c'était un rêve là".

La fin repompe vainement celle de
Le 16mm donne néanmoins un cachet intéressant à l'image.
J'ai une sympathie pour le bonhomme. Sur le plan artistique, c'est globalement de l'esbrouffe pour quelqu'un dont on a quand même osé accoller fût un temps à son nom le terme de "génie" ou qualifier les films de "chefs d'oeuvre"...
Bon, vivement le 3D avec Lussier et Farmer aux commandes qu'on s'amuse plus. Enfin qu'on s'amuse, déjà...