Saison 2 : épisodes 4-10. Je comprends les réticences de Rusty sur l'épisode 9, assez curieux par rapport au reste. Godric y apparait
ce qiu n'est pas inintérssant en soi d'un point de vue du caractère du persoannge (un vampire
) mais son choix final peut paraitre là aussi quelque peu étrange au regard de la série.
Pis encore, j'ai senti comme une fin avant la fin avec ce chapitre clos. Il estvrai que le personnage de Maryann n'est pas non plus mon préféré et qu'il déséquilibre quelque peu la série à ce stade.
Il n'empêche... je n'avais jamais vu une série franchir autant d'interdits télévisuels comme ici. M^me si Alan Ball trimballe une relation ambiguë à la religion qui m'exaspère un peu (j'avais le même sentiment sur les deux premières saisons de Six Feet under, avant qu'il ne se dirige vers autre chose après), ça reste assez extraordinaire en qualité d'environnement, de scénographie et d'écriture... chaque épisode me surprend - d'un bon ou mauvais côté-, les cliffhangers fonctionnent à plein régime à la fin de chaque épisode.
Et la ligne directrice se permet un rentre-dedans dans certaines arcanes du puritanisme américain et la perception de la différence. En se permettant des débordements sanglants, sexuels, visuels et sonores que je ne pense pas avoir vu auparavant. Les scènes d'orgies sont quand même

, la notion de déesse de la terre, aussi, donne un mélange curieux propice aux débordements en tous genres.... je met ça toujours en parallèle à une série comme Lost, par exemple, qui m'avait lassé assez rapidement. j'attends la fin avec impatience.
Verdict :

Oh really? Well then I'm sure you wouldn't mind giving us a detailed account of exactly how you concocted this miracle glue, would you ?