C'est peut être un peu too much cette phrase non ?
"Cet éditeur loué par les dieux qu'est Le Chat qui fume".
Tu as payé de ton corps ? Tu as menacé de payer avec ton corps ?
Dessin et sketching liés au cinéma, au voyage, etc. :
Enfin regardé et malgré quelques apriori Forbidden zone s'est revelé être un authentique chef d'oeuvre. C'est excessivement drole, y a des fesses et des seins, un peu de vomit et de la musique entrainante. Sincerement, c'est un achat obligatoire même si vous êtes assez hermetique au delire Nightmare before christmas.
Les boni claquent sa race soit dit en passant.
Vivement les films de Richard kern et Hated avec GG ALLIN (comment ça c'est pas prevu ?)
Romain a écrit :
Les boni claquent sa race soit dit en passant.
Le nominatif pluriel de l'ADJECTIF latin "bonus" est bien "boni". Or dans le cas qui nous intéresse ("bonus" usité comme substantif pluriel en français), le terme est invariable. Certes, "boni" existe bien mais possédant une signification précise, d'ordre juridique. Si Le Chat qui fume emprunte tout de même ce dernier terme, il va devoir l'accorder: des "bonis".
Cela dit, je te rejoins: les bonis claquent leur race
Tu veux dire que, alors qu'il croyait être le seul éditeur à bien orthographier le pluriel de "bonus", il s'avère en fait que Le Chat est tout simplement le seul éditeur à faire une faute en employant un terme juridique là où il n'a pas lieu de le faire ?
Le Chat qui Fume deviendrait alors le seul éditeur à faire la même faute sur tous ses disques sans exception depuis le début. Qui plus est une faute que personne d'autre n'avait pensé à faire ! Qui plus est une faute revendiquée comme étant le top du must du bon goût en matière de bon Francais !
C'est trop fort !
Franchement, même si je sens le gros débat moisi débouler (et peut être une infirmation à la clef), ta remarque illumine ma journée puisqu'elle provoque chez moi un incroyable fou rire. Chose que je croyais pas possible vu la montagne de boulot qui m'étouffe.
Un grand merci à toi Mercredi !
Dessin et sketching liés au cinéma, au voyage, etc. :
Dommage, ca claquait mieux, je trouve des "Funky Boni".
Cela dit, je prefere une jaquette avec une pecadille (ou pas, j'en sais rien) et des disques qui sont des tueries editoriales qu'une galette miteuse avec une jaquette nickel. Mais bon, le mieux, c'est d'avoir le tout. Reste que là, bon, boni ou bonus, j'avoue, j'en sais rien. Appelez Maitre Capello !
boni / bonus
Au pluriel, boni fait bonis. Bonus est invariable.
1) Le terme boni, qui appartient au domaine du droit commercial et des relations de travail, est condamné par certains comme anglicisme. Quant à bonus, des auteurs prétendent qu'en français, il n'existe pas.
Boni n'est correct en français que dans deux cas.
a) Il désigne l'excédent d'une somme affectée à une dépense ou le surplus d'une recette par rapport aux prévisions. Dans cette acception, il s'apparente aux notions de profit, de gain, de bénéfice. Il convient de souligner qu'il est rarement employé dans ce sens. Faire, toucher un boni (gagner en plus). Son antonyme est déficit.
b) Il désigne l'excédent de salaire accordé à l'ouvrier qui dépasse les normes de production. De nombreux auteurs condamnent comme anglicisme l'emploi du terme boni en ce sens et lui préfèrent prime et gratification. Verser un boni à un employé à titre de rémunération supplémentaire.
La circonspection s'impose donc, surtout lorsqu'on veut utiliser boni dans le deuxième sens.
2) Bonus a lui aussi deux sens.
a) Un bonus est une gratification accordée par une entreprise sur le salaire d'un employé. Il est alors synonyme de boni (second sens) et constitue un anglicisme. Il doit être remplacé par prime ou par boni, en tenant compte des réserves déjà formulées au sujet de ce dernier terme.
b) Un bonus est un rabais consenti sur le montant de sa prime d'assurance à l'automobiliste qui n'a pas enregistré d'accidents. Il est alors dérivé du latin bonus (bon). Contraire : malus.
3) DÉRIVÉS : bonifier (au sens de donner à titre de boni), bonification (action de donner à titre de boni).
Tu veux dire que, alors qu'il croyait être le seul éditeur à bien orthographier le pluriel de "bonus", il s'avère en fait que Le Chat est tout simplement le seul éditeur à faire une faute en employant un terme juridique là où il n'a pas lieu de le faire ?
Le Chat qui Fume deviendrait alors le seul éditeur à faire la même faute sur tous ses disques sans exception depuis le début. Qui plus est une faute que personne d'autre n'avait pensé à faire ! Qui plus est une faute revendiquée comme étant le top du must du bon goût en matière de bon Francais !
C'est trop fort !
Franchement, même si je sens le gros débat moisi débouler (et peut être une infirmation à la clef), ta remarque illumine ma journée puisqu'elle provoque chez moi un incroyable fou rire. Chose que je croyais pas possible vu la montagne de boulot qui m'étouffe.
Un grand merci à toi Mercredi !
mais depuis quand n'a t'on pas le droit d'écrire en latin sur un DVD ?
on utilisait des mots latins à tire-larigot dans la langue française bien avant l'arrivée de nos DVD
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