The Sadness - Robert Jabbaz (2021)

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bluesoul
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Re: The Sadness - Robert Jabbaz (2021)

Message par bluesoul »

Commentaire sans interet, car pas vu le truc jusqu'au bout il y a quelques mois sur Prime.

D'emblee, aucune implication ou ressenti envers le couple qu'on devine "vedette". Ils sont sympas, mignons (je crois), mais tout comme un milliard d'autres personnes, personnes qui ne m'interessent pas et notre couple-vedette ne m'a pas plus interesse non plus.

En fait, c'est simple, Je pensais que le POV allait changer, notamment
Spoiler : :
quand le mec se fait blesser
et qu'un autre couple allait prendre la releve, genre, je sais pas
Spoiler : :
ex petit ami, cousin, frere, pere, etc prendre le relais
. Rate... )8

Pour le reste, le film vient deux decennies apres 28 Days Later (2002) qui a lance le "boom" des films d'infectes et 4 decennies apres les debordements gores au cine dans les annees 80s. Bref, rien de neuf a signaler.

Le film fait competent, mais cheap. Certaines scenes m'ont paru connue (car vue ailleurs), genre
Spoiler : :
la tronche dans la friteuse
. Come dit, rien de neuf sous le soleil. Ajoutons un cote bouts de ficelles, comme
Spoiler : :
la bande qui agresse un quidam et lui brise le bras a coups de pieds, avec juste l'acteur qui tord son bras et un son de craquement rajoute en post-prod pour donner le change


En fait, j'ai essaye d'aller jusqu'a la scene du metro dont j'avais entendu parler sur internet, me disant que c'est la ou le film passera ou se ramassera. Bilan: il se ramasse... )8

Ca commence pourtant bien avec un salaryman au regard libidineux qui harcele l'heroine. Par contre, eclat de rire quand
Spoiler : :
l'oeil d'une autre donzelle (un boudin, celle-la) se fait enucleer a coup de parapluie. :lol: C'est vrai, pitie pour les moches, quoi :D
.

A partir de la, n'a plus qu'une carte a jouer, celle qu'on devinait depuis le debut: la surenchere. Viols, massacre et seaux de sang balance en veux-tu, en voila. Probleme, quand les acteurs commencent a avoir du mal a garder l'equilibre avec toute cette hemoglobine sur le sol, j'ai literalement le theme musical...de Benny Hill qui a commence dans ma tete et qui m'a accompagne pendant toute la scene. Moment d'anthologie, mais serieux, s'abstenir. :lol:

Sam Raimi et ses potes aimaient les films comiques et le slapstick. Ils sont tombes dans l'horreur un peu par hasard et on (finement) joue sur le fil tres tenu entre horreur et comedie. The Sadness ne reussi pas l'exercice d'equilibriste et se prend beaucoup trop au serieux. Une perte de temps en ce qui me concerne...

Ceci etait un commentaire denoue de tout interet (vu que j'ai pas pu aller au bout du truc)...
En direct du Japon. Bonsoir. A vous, Cognac-Jay.
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