Tabous au cinéma
Modérateurs : Karen, savoy1, DeVilDead Team
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Et dans un autre genre I love you...Pis sinon il y a Greystoke
Sinon plus récemment y'a Tabou du même Nagisa Oshima sur l'homosexualité...
Ah à quand un film sur les véritables coulisses du football et les joies des douches entre hommes hein Niko

Euh on pourrait citer tous les films chocs sinon ? (La grande bouffen, Salo...)
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En ce qui concerne l'inceste je crois qu'on peut remonter jusqu'au Souffle au coeur de Louis Malle.
Sinon Haneke est géneralement un casseur de tabou, relation S-M, violence sociale...
Maitresse de Schroeder est également l'un des premiers films à traiter aussi ouvertement de Sado-Masochisme.
Sinon Haneke est géneralement un casseur de tabou, relation S-M, violence sociale...
Maitresse de Schroeder est également l'un des premiers films à traiter aussi ouvertement de Sado-Masochisme.
http://www.chuckpalahniuk.net
Mon avatar : Jacek Yerka, dessinateur de génie.
"Mais qu'importe, que le vent m'emporte, nourrir les bêtes et les cloportes. Ce sera bien là de toute une vie, le seul contrat bien rempli." Mano Solo
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En ce qui concerne la zoophilie, il y a le film belge (si si) de Thierry Zeno, "Vase de noces", qui date de 1974 (quand même) sur un fermier qui couche avec sa truie.
Curieusement de la part des Belges, ils ont omis d'utiliser le slogan suivant, pour lancer le film: "Ne fais pas aux truies ce que tu ne voudrais pas qu'on te fasse à toi-même'.
Curieusement de la part des Belges, ils ont omis d'utiliser le slogan suivant, pour lancer le film: "Ne fais pas aux truies ce que tu ne voudrais pas qu'on te fasse à toi-même'.

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Quant à la mort violente d'enfants dans des films, pour le "gore" dans de telles scènes ce n'est sans doute pas très vieux, mais même en tenant compte de la censure de l'époque, il y a tout de même des scènes de ce genre dans des films comme "Frankenstein" (1931) ou "The Crimes of Stephen Hawke" (1936) - noyade et étranglement, c'est évidemment pas de la tripe qui gicle partout, mais dans le contexte d'alors, c'était tout de même gonflé.
Dommage que la fillette dans "Frankenstein" soit noyée dans un lac, ç'aurait été dans la mer, j'aurais pu dire "la mer d'alors", là c'est loupé.
Dommage que la fillette dans "Frankenstein" soit noyée dans un lac, ç'aurait été dans la mer, j'aurais pu dire "la mer d'alors", là c'est loupé.

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L'HOMME AU BRAS D'OR, d'Otto Preminger, si je ne me trompe pas de titre, qui aborda la toxicomanie avant tout le monde
LOLITA, de Kubrick, qui aborda quasiment la pédophilie
Je me trompe pt être de film mais dans J'EMBRASSE PAS on voit un viol entre hommes, et je me souviens aussi d'un autre film français dont je ne sais rien de plus ou un truand force un autre truand à tailler une pipe à son propre frère
Sinon j'en parle dans un autre thread mais la série OZ abrode tous les tabous possibles et imaginables (le plus dur étant de trouver un tabou non abordé dans OZ)
LOLITA, de Kubrick, qui aborda quasiment la pédophilie
Je me trompe pt être de film mais dans J'EMBRASSE PAS on voit un viol entre hommes, et je me souviens aussi d'un autre film français dont je ne sais rien de plus ou un truand force un autre truand à tailler une pipe à son propre frère
Sinon j'en parle dans un autre thread mais la série OZ abrode tous les tabous possibles et imaginables (le plus dur étant de trouver un tabou non abordé dans OZ)
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deux films de Lynn Stopkewich :
Kissed sur la nécrophilie (plutot sensuel et morbide)
Suspicious River sur son personnage qui se vend à des gens de passage (mais pas pour l'argent) pour revivre la destinée de sa mère qui n'a pas survécu aux violences engendrées.
sont assez inconfortables sur des sujets limites.
le film indien sur le sida : My Brother... Nikhil est en effet assez révolutionnaire en Inde (on met de côté le remake sauce hétérote de Philadelphia). je viens de le voir récemment et il n'est pas étonnant de voir les remus q'uil a pu provoquer. même s'il emprunte les codes du mélo.
de Louis Malle en replaçant les choses dans leur contexte, les Amants en 1958 avait scandalisé la France!
La Luna de Bernardo bertolucci, sur l'inceste. Aussi sur le même sujet, doublé de pédophilie, l'excellent film d'Aline Isserman avec un Alain Bashung hallucinant : L'ombre du doute en 1993.
Les enfants meurtriers, un sujet difficile, entre sociologie et exploitation) (¿Quién puede matar a un niño? de N/I Serrador, Attention les enfants regardent de Sege leroy, Les tueurs de la pleine lune d'ed Hunt...)
En même temps, à chaque époque ses propres tabous (à briser ou à respecter). Une fois ceux-ci dépassés, la société en remet d'autre ou en redresse d'autres déjà tombés que les arts (le cinéma, la littérature...)s'éver-tueront à démolir.
Kissed sur la nécrophilie (plutot sensuel et morbide)
Suspicious River sur son personnage qui se vend à des gens de passage (mais pas pour l'argent) pour revivre la destinée de sa mère qui n'a pas survécu aux violences engendrées.
sont assez inconfortables sur des sujets limites.
le film indien sur le sida : My Brother... Nikhil est en effet assez révolutionnaire en Inde (on met de côté le remake sauce hétérote de Philadelphia). je viens de le voir récemment et il n'est pas étonnant de voir les remus q'uil a pu provoquer. même s'il emprunte les codes du mélo.
de Louis Malle en replaçant les choses dans leur contexte, les Amants en 1958 avait scandalisé la France!
La Luna de Bernardo bertolucci, sur l'inceste. Aussi sur le même sujet, doublé de pédophilie, l'excellent film d'Aline Isserman avec un Alain Bashung hallucinant : L'ombre du doute en 1993.
Les enfants meurtriers, un sujet difficile, entre sociologie et exploitation) (¿Quién puede matar a un niño? de N/I Serrador, Attention les enfants regardent de Sege leroy, Les tueurs de la pleine lune d'ed Hunt...)
En même temps, à chaque époque ses propres tabous (à briser ou à respecter). Une fois ceux-ci dépassés, la société en remet d'autre ou en redresse d'autres déjà tombés que les arts (le cinéma, la littérature...)s'éver-tueront à démolir.
Oh really? Well then I'm sure you wouldn't mind giving us a detailed account of exactly how you concocted this miracle glue, would you ?
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- "Le diable au corps" de Bellochio et sa fellation pédophile en gros plan de toute pitite zigounette.
- Tous les John Waters du début qui explosent grave les tabous : Multiple Maniacs, Desperate Living, Female troubel et l'incontournable Pink Flamingos qui est un condensé de tout ce que l'on peut faire subir à l'idée de tabou.
- Amityville 2 et sa scène d'inceste frère/soeur méchamment glauque.
- "Dans les ténèbres" de Almodovar (connu pour avoir un jour dit à Victoria Abril "Tou t'es vou quand t'as bou ?")
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Not only does God play dice, but... he sometimes throws them where they cannot be seen - Stephen Hawking
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Pour la necrophilie, Lisa et le diable proposait une scène qui s'en approche dangereusement.
3 terribles courts métrages dont je n'ai vu que l'un des volets : Cutting Moments. Une oeuvre inssuportable, intrigante, sur l'histoire d'une famille en pleine descente aux enfers. Epaulé par les effets de Savini, le court se termine sur une horrible scène d'amour baignant littéralement dans le sang. Un choc pour ma part.
A la fin de La dernière femme, Depardieu se castre avec un couteau electrique en gros plan je crois
Pour la scène de Frankenstein ou la ptite se fait tuer, je crois qu'elle a été meme censurée sur la VHS
Le sang des bêtes, court rude mais epoustouflant signé Franju, alignant les scènes d'abatoir. Dure.
La maison est noire : court iranien de 62, filmant une communauté de lepreux et montre ouvertement leur douloureux physique abimé. Difficilement supportable.
Un film traite sur la necrophilie bien avant Nekromantif mais je ne me souviens plus du titre (kiss of death ou love dead quelque chose comme ça), lquelqu'un le connaitrai ?
3 terribles courts métrages dont je n'ai vu que l'un des volets : Cutting Moments. Une oeuvre inssuportable, intrigante, sur l'histoire d'une famille en pleine descente aux enfers. Epaulé par les effets de Savini, le court se termine sur une horrible scène d'amour baignant littéralement dans le sang. Un choc pour ma part.
A la fin de La dernière femme, Depardieu se castre avec un couteau electrique en gros plan je crois
Pour la scène de Frankenstein ou la ptite se fait tuer, je crois qu'elle a été meme censurée sur la VHS

Le sang des bêtes, court rude mais epoustouflant signé Franju, alignant les scènes d'abatoir. Dure.
La maison est noire : court iranien de 62, filmant une communauté de lepreux et montre ouvertement leur douloureux physique abimé. Difficilement supportable.
Un film traite sur la necrophilie bien avant Nekromantif mais je ne me souviens plus du titre (kiss of death ou love dead quelque chose comme ça), lquelqu'un le connaitrai ?
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