Superfly a écrit :
Pour Dragonball: oui c'est encore de la méga branlette pour taer sur le film. Ca veut rien dire ce que tu dis ... parce que si je comprends bien quand tu fais un survival faut suivre des règles strictes. Pauvre cinéma.
Non, pas forcément. Lorsque tu as du talent, tu peux briser les règles à ta convenance, c'est même conseillé. Par contre, si tu es un pauvre tacheron, là, mieux vaut suivre le cahier des charges comme un gentil OS, parce que sinon, tu cours à la catastrophe.
Enfin bon, malheureusement, ce n'est pas une attitude qu'on est pret de retrouver chez ton copain.
Superfly a écrit :Et puis je vois pas comment on peut s'attacher totalement aux filles d'Haute Tension. Tu n'as pas envie qu'elle meurt comme les mecs d'Hostel (enfin à part toi) tu as surtout envie de voir du glauque.
J'ai rarement senti la souffrance dans un survival. Dans I spit on your grave par ex. Là j'ai souffert pour la fille.
Mais bon dans Hostel j'ai vu juste des branleurs de ricains comme j'en ai déjà beaucoup rencontré dans un boulot que j'ai fais.
Lorsque je vois 2 filles prise en ôtages et torutré par une bandes de maniacs, ça fait mal !
Lorsque je vois une bande de potes parti en promenade se faire courser par des rednecks dégénérés, ça fait mal !
Lorsque je vois une famille massacré par un sérial killer, ça fait mal !
Lorsque je vois 3 connards dont l'existence semblent se résumer à baiser et à fumer, là, ça me fait ...... rien !
Mais je peux comprendre que ça t'ai toucher personnelement, et que tu te sois senti proche des personnages.
Mais désolé, pour moi, l'indentification était impossible. Je restais hors du film, regardant perplexe les saynettes horrifiques balourdes s'enchainner une à une.
J'ai eu un peu mal pour la fille, mais la mise en scène de ses tortures était tellement grotesque que ce sentiment est bien vite retombé pour laisser place à la consternation.