Spiderman 2 - Sam Raimi (2004)

Science-Fiction, Horreur, Epouvante, Merveilleux, Heroic Fantasy et tout le toutim du Fantastique !

Modérateurs : Karen, savoy1, DeVilDead Team

Répondre

Spider-Man

Beurk, j'en ai le slip tout taché ...
9
8%
2
2
2%
3
7
6%
4
19
17%
5
22
20%
Génial, j'en ai le slip tout taché ...
51
46%
 
Nombre total de votes : 110

tuor
Messages : 376
Enregistré le : ven. avr. 30, 2004 9:44 am

Message par tuor »

Pitchblack a écrit :C'est vrai çà. Ca doit être le même cgi artist de me.de qui sévit aussi sur Army of the Dead (autre film avec des trucs merdiques en synthèse dans le ciel).
sauf qu'ils sont mieux fait dans "army..."


maintenant, je trouve aussi que le film ne fait preuve d'aucune originalité dans le scénario. il n'y a que des grosses ficelles :


SPOILERS TOUT PLEINS *****


- on savait déja dès la début, sans connaitre le comics, que m-j n'épouserait pas ken et courrait rejoindre peter
- on savait qu'un discours à la con ( tante may et le mioche ) convaincrait peter de redevenir spidey
- on savait qu'après ses confessions, tante may bouderait puis pardonnerait
- on savait qu'il allait louper la pièce de théâtre
- on savait que le gâteau au chocolat de la voisine serait bon avec du lait
- on savait que tante may avait elle aussi une force surhumaine pour se tenir pendant un long moment à un parapluie dans le vide
- on savait qu'n homme tout puissant, sorte de luthor, se contenterait de deux camouflets sur la joue de son ami quand il s'énerve
- on savait en parlant de lui qu'osborne n'oublierait pas de préciser, juste après que spidey lui sauve la vie, au cas ou on serait un peu con : " attention hein, ça veut rien dire, t'es toujours pas gentil méchant insecte ( oui, c'est l'insulte suprême dans la bouche d'harry de traiter quelqu'un d'insecte )
- et puis tiens on savait que les pizzas ne seraient pas livrées à temps et qu'aziz le virerais

et je savais que personne ne se moquerais de son magnifique casque de mobylette, là ou tout le monde ou presque a bloqué bêtement sur le casque de vélo de banner pour descendre "hulk"...

:wink:

...
kookaburra
Messages : 629
Enregistré le : sam. mai 01, 2004 1:55 am
Localisation : Lyon

Message par kookaburra »

tuor a écrit :et je savais que personne ne se moquerais de son magnifique casque de mobylette, là ou tout le monde ou presque a bloqué bêtement sur le casque de vélo de banner pour descendre "hulk"...

:wink:

...
n'empêche qu'il avait une bonne tronche de vainqueur peter avec son casque de mob! :lol:

enfin bon... le film est quand même une véritable bombe!

et dire que j'ai vu hellboy et spider-man 2 dans la même journée... Merci seigneur pour ce jour béni.
Fatalis rex
Messages : 7723
Enregistré le : ven. avr. 30, 2004 10:19 am

Message par Fatalis rex »

Ca y est je l'ai vu. Ca me gonfle toujours autant ces dialogues "Feux de l'Amour" déjà entendus 1000 fois, dans lesquels je ne me sens pas une seconde impliqué (et qu'on ne me dise pas que je suis une brute sanguinaire, quand Cameron sort les memes niaiseries dans Abyss ou Titanic j'ai la larme à l'oeil)

Bon, ça c'est dit. Alors le reste : ce film ressemble 10 fois plus à du comics sur grand écran que le 1er. Le Dr Octopus est parfait, les scenes d'actions monstrueuses, et exploitent enfin le potentiel "je saute et m'accroche n'importe où" de Spidey.
niko13
Messages : 4287
Enregistré le : ven. avr. 30, 2004 10:10 am
Localisation : Laboratory Of The Utility Muffin Research Kitchen

Message par niko13 »

tuor a écrit :et je savais que personne ne se moquerais de son magnifique casque de mobylette, là ou tout le monde ou presque a bloqué bêtement sur le casque de vélo de banner pour descendre "hulk"...

:wink:
Farpaitement !!!
Pas encore vu Spidey, donc je lis tout en diagonale, mais je ne peux que souligner ce propos !!!

(c'etait un communique du comite pour la rehabilitation du film Hulk) :wink:
Fatalis rex
Messages : 7723
Enregistré le : ven. avr. 30, 2004 10:19 am

Message par Fatalis rex »

kookaburra a écrit :
tuor a écrit :et je savais que personne ne se moquerais de son magnifique casque de mobylette, là ou tout le monde ou presque a bloqué bêtement sur le casque de vélo de banner pour descendre "hulk"...

:wink:

...
n'empêche qu'il avait une bonne tronche de vainqueur peter avec son casque de mob! :lol:

enfin bon... le film est quand même une véritable bombe!

et dire que j'ai vu hellboy et spider-man 2 dans la même journée... Merci seigneur pour ce jour béni.
Oui sauf que Parker est un vieux loser, et que Rami s'amuse en l'enfonçant à chaque image dans sa médiocrité. Je crois pas que ce soit le But de Ang Lee, le Pr Banner n'ayant jamais été présenté comme un ringard dans la BD
Don Fabrizio
Messages : 159
Enregistré le : sam. mai 01, 2004 11:33 pm
Contact :

Message par Don Fabrizio »

Fatalis rex a écrit :Ca y est je l'ai vu. Ca me gonfle toujours autant ces dialogues "Feux de l'Amour" déjà entendus 1000 fois,
Vu moi aussi. Je soulignais ton texte Fatalis, car c'est le gros reproche que j'avais a faire aussi sur le film.

Sinon, j'ai trouvé ça pas trop mal. Mieux que le premier. La personnalité looze de Spidey est marrante. J'ai trouvé le film sympa.

SPOILERS

En plus a la fin, il se tape la meuf, le scénar nous laissent en suspens avec le fils de l'autre la.

FIN SPOILERS

Non j'étais content je dois dire. :D
PLISSKEN
Messages : 247
Enregistré le : sam. mai 01, 2004 8:57 am
Localisation : En errance

Message par PLISSKEN »

Petite contribution du journal Le monde à la découverte pour le grand public du talent et de l'humilité de Sam Raimi.
J'adore l'anecdote sur Joel Cohen :mrgreen:

LE MONDE | 17.07.04 | 19h25
Sam Raimi, le dilemme du héros anonyme
Le réalisateur de "Spider-Man" a voulu son personnage "maladroit, en proie au doute, proche de tout le monde". Et, comme l'homme-araignée, il estime que son travail lui donne des responsabilités morales.
Dans la suite 109 du Plaza Athénée, à Paris, une silhouette fait tache. Le lieu est investi par un groupe hétéroclite, techniciens affairés sur des écrans, serveurs de l'hôtel, attachés de presse, journalistes, photographes, acteurs et producteur. Au milieu de cette foule convertie au jean et des panneaux publicitaires où Spider-Man arbore son arachnéenne combinaison rouge et bleu, Sam Raimi assume son complet veston sombre avec chemise blanche et cravate.

Pas "Man in Black" pour un sou, il a plutôt l'air d'un garçon sage, patient, modeste, attendant l'entrée de la messe. Rapidement, on se rend compte que celui que l'on surnomma "le Chuck Jones du film d'horreur" ne correspond pas à l'image que l'on se fait des créateurs hollywoodiens.

"Je suis né dans une famille de classe moyenne du Michigan, un patelin de fermiers, raconte-t-il. Nous étions cinq enfants. Ma mère nous a inculqué le respect de la musique, et mon père a insisté pour que je fasse des études de littérature et d'histoire, mais rien ne me prédestinait à faire carrière dans le spectacle." Ce n'est pas la vision de tel ou tel chef-d'œuvre qui lui a donné la passion du cinéma : "C'est mon père qui m'a branché sans le vouloir. Il réalisait des films amateurs en 16 mm et, un jour, il a filmé mon anniversaire. Puis il a inversé les séquences, si bien qu'on voyait mes amis repartir de la fête, et ensuite je découpais le gâteau. J'ai été fasciné. Comme les frères Lumière et Georges Méliès, j'ai découvert qu'on pouvait capter le réel et changer le cours du temps. J'ai pensé que le cinéma était surnaturel, un cadeau des dieux. Je ne me suis d'ailleurs toujours pas remis de cet émerveillement."

Cette anecdote explique peut-être qu'il soit resté "captivé" par l'"énigme technique": "C'est pour cela que j'ai débuté en faisant des films d'horreur, estime-t-il. Je n'aime pas particulièrement le cinéma d'épouvante, ce genre de films me fait peur, mais, pour un cinéaste débutant, c'est un atelier inouï pour apprendre à émouvoir le public, tester des effets de lumière et des mouvements de caméra, apprendre l'impact d'un plan, d'un montage."

Sam Raimi avait bricolé des petits films comiques en Super-8. Son premier long métrage, Evil Dead, devenu un film-culte, accumule éventrations, décapitations et mutilations sans que l'auteur se prenne jamais trop au sérieux. Il fait jaillir des flots d'hémoglobine des canalisations d'une maison, trucide des zombies à gogo avec un sens de la dérision auquel la censure ne fut pas sensible. Il a même créé un faux sang destiné à atténuer la nausée des spectateurs sensibles : "Je fais mon propre sang. J'ai ma recette ! Une mixture avec des extraits de maïs, du lait, du café et des colorants. Un jour, à New York, j'entends une femme hurler. Je me précipite, je vois une porte ouverte, j'entre en frissonnant. La maison était obscure. Silence pesant. Je crie : "Y a quelqu'un ?", un gémissement me répond. Je crains de tomber sur un tueur, mais, vaillamment, j'allume la lumière. Une femme gît au pied de son lit, le crâne ouvert. Un meuble lui était tombé dessus. Savez-vous ce que j'ai pensé en la voyant baigner dans son sang ? Que le sang de mes films n'était pas au point ! J'y ai rajouté du café !"

La suite de la carrière de Sam Raimi reste humble. Entre une suite d'Evil Dead lorgnant sur Tex Avery, une Armée des ténèbres qui orchestre une sarabande de squelettes au temps du roi Arthur, un Darkman campant un grand brûlé masqué désireux de changer de peau, il produit des séries télévisées (Hercule et Xena) et un film de John Woo (Chasse à l'homme), fait de la figuration chez John Carpenter, cosigne le scénario du Grand Saut des frères Coen, et réalise un western avec Sharon Stone (Mort ou vif), puis un film où Kevin Costner joue un champion de base-ball tiraillé entre son envie de se consacrer à son sport et ses devoirs conjugaux (L'Amour du jeu). Déjà se profile la problématique de Spider-Man : quel est le prix à payer pour être considéré comme un héros ?

LE BON CHOIX

L'adaptation cinématographique de la bande dessinée de Stan Lee était convoitée, entre autres par James Cameron et David Fincher. Sam Raimi fut choisi parce qu'il connaissait bien les aventures de l'homme au masque d'araignée : "C'est mon grand frère qui m'a initié, quand j'avais 6 ans." A sa manière (sans se balancer d'un gratte-ciel à l'autre), il s'est identifié à son héros : "J'ai passé ma vie professionnelle à me dire que la célébrité n'est pas l'élément essentiel d'une carrière, à rester un artisan, à m'occuper de ma femme et de mes enfants, mais est arrivé un moment où je ressentais le besoin de remplir cette coquille vide qu'était mon savoir technique, de trouver un sens à mon travail. Ce qui m'intéresse dans le personnage de Peter Parker, c'est l'idée que l'acquisition d'un pouvoir entraîne des responsabilités. Lui, dans un premier temps, reste immature, cherche à reporter les responsabilités sur les autres, et ne pense qu'à son bien-être égoïste. Or ce choix-là n'est pas le bon. L'important, ce n'est pas son combat contre les méchants, c'est son combat contre lui-même. Il a un problème de conscience. Il n'en dort pas la nuit. En cela, il est humain. Ce n'est pas Superman qui aurait des problèmes d'insomnie !"

Deux justiciers, deux politiques. Superman fonce tête baissée dans la lutte contre le Mal extérieur, Spider-Man se frotte les yeux pour comprendre quel est le sens de sa mission. "Comme lui, je me trouve sans cesse devant un dilemme. Quand je suis témoin d'une agression verbale, par exemple, est-ce que je me lève pour protéger la personne injuriée, est-ce que j'interviens pour contredire l'agresseur ? Ou est-ce que je reste coi, jaloux de ma propre sécurité ? Je dois bien admettre que souvent je reste lâche. Et cela ne me satisfait pas. Spider-Man nous oblige à nous rendre compte que tous nous pourrions être plus nobles, plus altruistes. Il nous montre comment nous devrions être, de petits héros anonymes capables de puiser en nous le courage et la dignité que nous pensons à tort ne pas avoir. Susceptibles de prendre la défense des faibles. Je l'ai voulu maladroit, en proie au doute, proche de tout le monde."

Cette vision du personnage n'a pas convaincu tous les membres du fan club de Spider-Man, qui, sur Internet, ont dénoncé certaines infidélités à la bande dessinée. Sam Raimi n'en a cure : "Les critiques des professionnels m'intéressent. Les réactions du public sont capitales. Je m'assieds souvent dans une salle pour guetter ses réactions. Mais je me méfie des spécialistes. Si je commence à les écouter..."


Jean-Luc Douin


--------------------------------------------------------------------------------

Biographie

1959 Naissance dans le Michigan.

1982 "Evil Dead" au Festival de Cannes.

1990 "Dark Man".

2002 "Spider-Man", 820 millions de dollars de recette dans le monde.

2004 "Spider-Man 2".


--------------------------------------------------------------------------------

Les frères Coen, collaborateurs, coauteurs et complices

Parmi les complices de Sam Raimi, les frères Coen occupent le premier rang. Il travailla d'abord avec l'un d'eux, alors monteur : "J'étais dans ma voiture, le coffre arrière rempli des boîtes de pellicule de mon premier film, Evil Dead, lorsque je remarquai un homme sur le trottoir. Il était très maigre, avec de longs cheveux et des cernes noirs autour des yeux. J'ai cru qu'il s'agissait d'un drogué qui voulait me piquer mon fric et mes bobines, et je n'osais pas sortir. Il s'est approché et a tapé sur la vitre. Mort de trouille, j'ai entrouvert la fenêtre. Il m'a dit : "Je m'appelle Joel Coen, je suis l'assistant monteur de votre film.""

Son film suivant, Mort sur le grill, qui reprend les clichés du film noir sur un mode burlesque proche du dessin animé, est écrit par les frères Coen. Ce fut un gros échec public et critique. "Malgré la violence des coups échangés par les personnages, pas une goutte de sang n'y est versée. Dans un plan, de petites étoiles dessinées viennent auréoler la tête d'un homme assommé", commente Philippe Rouyer (Le Cinéma gore, Cerf, 1997).

Lorsqu'il tourna Un plan simple, sobre histoire de deux frères qu'on a séparés et qui se rendent compte trop tard qu'ils s'aiment énormément, Sam Raimi alla demander quelques conseils à ses amis : "Je voulais savoir quels étaient les secrets pour tourner dans la neige. Ils venaient de tourner Fargo, ils étaient à même de me dire comment ils avaient empêché lentilles et objectifs de s'embuer, comment éviter de passer sa journée à effacer les traces de pas ou de pneus sur le sol."

• ARTICLE PARU DANS L'EDITION DU 18.07.04
Lurdo
Messages : 542
Enregistré le : ven. avr. 30, 2004 5:13 pm
Localisation : Paumé dans un Labyrinthe, dans le doux pays de Xanth....

Message par Lurdo »

Fatalis rex a écrit :Ca y est je l'ai vu. Ca me gonfle toujours autant ces dialogues "Feux de l'Amour" déjà entendus 1000 fois, dans lesquels je ne me sens pas une seconde impliqué (et qu'on ne me dise pas que je suis une brute sanguinaire, quand Cameron sort les memes niaiseries dans Abyss ou Titanic j'ai la larme à l'oeil)
Faudrait voir à pas oublier que les créateurs de Smallville sont grandement responsables du scénar de Spidey 2.... et Smallville, un des plus gros défauts, c'est quand même des relations de soap opera, avec les dialogues qui vont avec.... :roll:
MovieRev
Messages : 1379
Enregistré le : ven. avr. 30, 2004 5:52 pm
Localisation : Prague
Contact :

Message par MovieRev »

... et ce sont les mêmes responsables de l'exécrable "SHOWTIME !" . :?

Bon voilà, c tout, je reviendrai quand j'aurais vu le film. :wink:
Blunt
Messages : 592
Enregistré le : ven. avr. 30, 2004 12:23 pm
Localisation : Paris
Contact :

Message par Blunt »

Lurdo a écrit :[Faudrait voir à pas oublier que les créateurs de Smallville sont grandement responsables du scénar de Spidey 2
Faux.
Lurdo
Messages : 542
Enregistré le : ven. avr. 30, 2004 5:13 pm
Localisation : Paumé dans un Labyrinthe, dans le doux pays de Xanth....

Message par Lurdo »

Blunt a écrit :
Lurdo a écrit :[Faudrait voir à pas oublier que les créateurs de Smallville sont grandement responsables du scénar de Spidey 2
Faux.
Vrai.
Blunt
Messages : 592
Enregistré le : ven. avr. 30, 2004 12:23 pm
Localisation : Paris
Contact :

Message par Blunt »

Non faux, screen story et screenplay ca n'a rien a voir. Les dialogues sont intégralement le fait de Alvin Sargent.
Lurdo
Messages : 542
Enregistré le : ven. avr. 30, 2004 5:13 pm
Localisation : Paumé dans un Labyrinthe, dans le doux pays de Xanth....

Message par Lurdo »

Blunt a écrit :Non faux, screen story et screenplay ca n'a rien a voir. Les dialogues sont intégralement le fait de Alvin Sargent.
Chuis d'accord avec toi, mais les dialogues découlent directement du scénario de base.... Avec un scénario rempli de scènes de soap, faut pas demander à Sargent de faire des miracles non plus....
Blunt
Messages : 592
Enregistré le : ven. avr. 30, 2004 12:23 pm
Localisation : Paris
Contact :

Message par Blunt »

Toute façon Spider-Man à la base c'est très soap, autant que les X-Men. Donc perso ça me dérange pas une seconde, même si je comprends que ça puisse agacer.
fiend471
Messages : 1307
Enregistré le : ven. avr. 30, 2004 4:01 pm
Localisation : depts 94, 75,99
Contact :

Message par fiend471 »

spiderman en numérique lissé pourri contre l'agent smith avec des tentacules dans un monde lisse virtuel tout beau trop propre, une production waltdisney/ george lucas, tout en images numériques, voilà le résumé que j'en ai tiré de la bande annonce :?
Cthulhu vs Macross Zero = my dream !
Répondre