Masters of Horror (2006)
Modérateurs : Karen, savoy1, DeVilDead Team
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J'en ai vu 5 pour l'instant : La Belle est la Bête (Landis), La Fin absolue du Monde (Carpenter), Jenifer (Argento), Le Cauchemar de la Sorcière (Gordon), Les Amants d'outre Tombe (McNaughton).
Mon préféré est le Landis, qui renoue avec l'ambiance et le ton du Loup Garou de Londres. Le personnage de Brian Benben est génial.
Jenifer est une curiosité dans la filmo d'Argento, une agréable surprise. Le sujet appelait plus un réalisateur comme Cronenberg, mais Dario s'en tire très bien. Par contre, ça semble clair, il a tiré un trait sur le style qui a fait sa réputation (Suspiria et co). Un mal ou un bien, a chacun d'en juger.
La Fin absoolue du Monde aurait été parfait en long métrage. Là en moins d'une heure, je trouve que Carpenter n'est pas à l'aise. Son segment n'est pas mauvais, mais on s'y perd un peu.
Le Cauchemar de la Sorcière : Stuart Gordon qui fait du Lovecraft avec un petit budget, question prise de risque, c'est un peu comme confier un film de Zombie à Romero. Qu'importe, son segment est bon, ambigu et inquiétant. Une petite histoire à l'ancienne qui fonctionne bien, avec un final déviant qui fait plaisir.
Les Amants d'Outre Tombe : Adapter Clive Barker, c'est un peu casse gueule. Du coup John McNaughton retrousse ses manches et nous offre un sketch gothique assez joli à voir qui tombe soudain dans un trip nécrophile des plus exquis. Les références ne sont pas très subtiles et la fin est devinable. Pas grave, j'adore.
Mon préféré est le Landis, qui renoue avec l'ambiance et le ton du Loup Garou de Londres. Le personnage de Brian Benben est génial.
Jenifer est une curiosité dans la filmo d'Argento, une agréable surprise. Le sujet appelait plus un réalisateur comme Cronenberg, mais Dario s'en tire très bien. Par contre, ça semble clair, il a tiré un trait sur le style qui a fait sa réputation (Suspiria et co). Un mal ou un bien, a chacun d'en juger.
La Fin absoolue du Monde aurait été parfait en long métrage. Là en moins d'une heure, je trouve que Carpenter n'est pas à l'aise. Son segment n'est pas mauvais, mais on s'y perd un peu.
Le Cauchemar de la Sorcière : Stuart Gordon qui fait du Lovecraft avec un petit budget, question prise de risque, c'est un peu comme confier un film de Zombie à Romero. Qu'importe, son segment est bon, ambigu et inquiétant. Une petite histoire à l'ancienne qui fonctionne bien, avec un final déviant qui fait plaisir.
Les Amants d'Outre Tombe : Adapter Clive Barker, c'est un peu casse gueule. Du coup John McNaughton retrousse ses manches et nous offre un sketch gothique assez joli à voir qui tombe soudain dans un trip nécrophile des plus exquis. Les références ne sont pas très subtiles et la fin est devinable. Pas grave, j'adore.
Gna !
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JENIFER de Dario Argento (2005)

L'Idée de Mick Garris de regrouper les maîtres de l'Horreurs pour réalisez treize films de 1 h est exellentes . Elle provoquas d'ailleurs un orgasme pour certains amateurs du cinéma du genre . Dario Argento réalisateur méconnus du grand public est pourtant un des tout meilleurs ayant réalisés des oeuvres exeptionelles comme Suspiria , Opera , Tenebres ou encore Inferno . Pour cette série , Argento aura choisis Jenifer , un film sensuel légèrement érotique et bien gore .
Adapté de la célèbre BD crée par Bruce Jones dans les années 70' , JENIFER est le récit choquant d'une Lolita des temps modernes , qui avec ses pouvoirs de sirène , finit par détruire le corps et l'âme de tout homme malchanceux croisant son chemin . Après lui avoir sauvés la vie , l'officier de police Franck (Steven WEBER) l'emmène chez lui et découvre qu'aucune bonne action reste impunie ...
Si on peux reprocher à JENIFER d'êtres un peu répétitif , cet épisode qui est un des plus appréciés de la série possède de beaux atouts : Une réalisation et une mise en scène exellente d'Argento , une musique de Claudio Simonetti vraiment exellente et contre tout attentes , JENIFER n'est pas seulement un film d'horreur mais un récit touchant et terrifiant en mêmes temps . Cette Lolita représente le désir tout comme la terreur . Certaines scènes sont plutot choquantes et certaines censurés (Castration,Fellation...) car en effet le sexe est très présent durant le film , ce qui n'est pas pour déplaires ...Niveau Gore les scènes sont assez rares mais ca tripailles pas mal et les effets sont exellents .
Je pense quand mêmes qu'une bonne demie-heure de plus pour mieux présenter les personnages comme Franck superbement joués par Steven Webber et Jenifer aurai été intéressant car 60 minutes ca fait un peu court tout de mêmes .
Pour Jenifer cette femme est vraiment touchantes . J'ai rarement vu une femme aussi sensuelle et désirante malgrès une laideur évidentes .
Côtés Bonus , nous sommes gâtés , plusieurs entretiens dont un spécial avec le maître Argento .
Pour conclure , un achat que je conseille , des bonus saisissant , JENIFER est un film touchant , souvent érotique et parfois gore qui ravira les amateurs du genre et du maestro même si quelques minutes de plus n'aurai pas été de trop . Un bon coup pour Dario Argento .
Note : 7/10

L'Idée de Mick Garris de regrouper les maîtres de l'Horreurs pour réalisez treize films de 1 h est exellentes . Elle provoquas d'ailleurs un orgasme pour certains amateurs du cinéma du genre . Dario Argento réalisateur méconnus du grand public est pourtant un des tout meilleurs ayant réalisés des oeuvres exeptionelles comme Suspiria , Opera , Tenebres ou encore Inferno . Pour cette série , Argento aura choisis Jenifer , un film sensuel légèrement érotique et bien gore .
Adapté de la célèbre BD crée par Bruce Jones dans les années 70' , JENIFER est le récit choquant d'une Lolita des temps modernes , qui avec ses pouvoirs de sirène , finit par détruire le corps et l'âme de tout homme malchanceux croisant son chemin . Après lui avoir sauvés la vie , l'officier de police Franck (Steven WEBER) l'emmène chez lui et découvre qu'aucune bonne action reste impunie ...
Si on peux reprocher à JENIFER d'êtres un peu répétitif , cet épisode qui est un des plus appréciés de la série possède de beaux atouts : Une réalisation et une mise en scène exellente d'Argento , une musique de Claudio Simonetti vraiment exellente et contre tout attentes , JENIFER n'est pas seulement un film d'horreur mais un récit touchant et terrifiant en mêmes temps . Cette Lolita représente le désir tout comme la terreur . Certaines scènes sont plutot choquantes et certaines censurés (Castration,Fellation...) car en effet le sexe est très présent durant le film , ce qui n'est pas pour déplaires ...Niveau Gore les scènes sont assez rares mais ca tripailles pas mal et les effets sont exellents .
Je pense quand mêmes qu'une bonne demie-heure de plus pour mieux présenter les personnages comme Franck superbement joués par Steven Webber et Jenifer aurai été intéressant car 60 minutes ca fait un peu court tout de mêmes .
Pour Jenifer cette femme est vraiment touchantes . J'ai rarement vu une femme aussi sensuelle et désirante malgrès une laideur évidentes .
Côtés Bonus , nous sommes gâtés , plusieurs entretiens dont un spécial avec le maître Argento .
Pour conclure , un achat que je conseille , des bonus saisissant , JENIFER est un film touchant , souvent érotique et parfois gore qui ravira les amateurs du genre et du maestro même si quelques minutes de plus n'aurai pas été de trop . Un bon coup pour Dario Argento .
Note : 7/10
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- Enregistré le : ven. avr. 30, 2004 10:19 am
Une heure à discuter entre quatre murs ? Déjà que là ça lasse un peu... J'ai bcp aimé, surtout pour le final totalement déviant inimaginable à la télé, mais la même chose au cinéma étiré sur 1h30, je sens que ça aurait été très chiant, et en plus le gore aurait été censuré donc on se serait fait chier une heure sans avoir de récompense à la fin.Lord Ruthven a écrit :
La Fin absoolue du Monde aurait été parfait en long métrage. Là en moins d'une heure, je trouve que Carpenter n'est pas à l'aise. Son segment n'est pas mauvais, mais on s'y perd un peu.
Ou alors il aurait fallu refaire L'ANTRE DE LA FOLIE, et Carpenter l'a déjà fait en très bien.
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sur play.com les preco du coffret anglais sont deja parties! (alors que la date est toujours annoncée au 23/10/2006
le prix a encore baissé il est deshormais à 24 malheureux euros (pour 7 épisodes)
sinon j'ai vu la gueule des editions francaise et les "digipack" font vraiment de la peine, la partie cartonnée est fine comme du PQ, toute ecrasée sous le blister...
le prix a encore baissé il est deshormais à 24 malheureux euros (pour 7 épisodes)
sinon j'ai vu la gueule des editions francaise et les "digipack" font vraiment de la peine, la partie cartonnée est fine comme du PQ, toute ecrasée sous le blister...
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J'ai été un peu déçu moi aussi par cet épisode dont j'attendais beaucoup. Je trouve que les personnages ne sont pas assez fouillés, et l'intrigue beaucoup trop ramassée, justement, les événements n'ont pas le temps de se mettre en place, on enchaîne trop vite les séquences. Le film aurait largement gagné a être développé en long métrage, et aurait pu, de ce fait, atteindre un In the mouth of madness qui restre toujours à mes yeux l'un des meilleurs, si ce n'est le meilleur Carpenter.Fatalis rex a écrit :Une heure à discuter entre quatre murs ? Déjà que là ça lasse un peu... J'ai bcp aimé, surtout pour le final totalement déviant inimaginable à la télé, mais la même chose au cinéma étiré sur 1h30, je sens que ça aurait été très chiant, et en plus le gore aurait été censuré donc on se serait fait chier une heure sans avoir de récompense à la fin.Lord Ruthven a écrit :
La Fin absoolue du Monde aurait été parfait en long métrage. Là en moins d'une heure, je trouve que Carpenter n'est pas à l'aise. Son segment n'est pas mauvais, mais on s'y perd un peu.
Ou alors il aurait fallu refaire L'ANTRE DE LA FOLIE, et Carpenter l'a déjà fait en très bien.
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Je te rejoins totalement sur ce point. Le gros point faible du film tient vraiment dans la caracterisation des personnages, et notamment du personnage principal : ses motivations ne sont jamais explicitées, ce qui pourrait etre un choix conscient scenaristiquement si l'on n'avait pas toutes ces scenes relatives à un pretendu trauma emotionnel qui n'est jamais, jamais exploité... le relief qu'il aurait du donner est vraiment tres mal geré je trouve, tout comme les relations avec le beau-pere chieur qui fait un peu bouche trou, surtout comme opposant : on parle d'une bande capable d'amener les gens au meurtre et au suicide, et le principal opposant du personnage principal se plaint de ses impayés. Un peu comme si James Bond etait poursuivi par son epicier pour une sombre histoire de cred pas payé; sur deux saucissons et une bouteille de blanc.Stilleben a écrit :J'ai été un peu déçu moi aussi par cet épisode dont j'attendais beaucoup. Je trouve que les personnages ne sont pas assez fouillés, et l'intrigue beaucoup trop ramassée, justement, les événements n'ont pas le temps de se mettre en place, on enchaîne trop vite les séquences. Le film aurait largement gagné a être développé en long métrage, et aurait pu, de ce fait, atteindre un In the mouth of madness qui restre toujours à mes yeux l'un des meilleurs, si ce n'est le meilleur Carpenter.
Nouveau numéro de Torso, revue de cinéma: JOE DANTE !!!
Pour nous contacter: torsofanzine@hotmail.com
Notre site web : http://torsorevuedecinema.fr/
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