
La Passion du Christ-Mel Gibson
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Si Haribo.
Y a pas tant de ralentis que ça. Et ils sont beaux.
Sinon ce qui me fascine quand je le revois c'est lorsque le corps physique de Jésus meurt, se relâche dans un dernier souffle. J'ai jamais autant ressenti l'impression de voir un homme "partir" lors de la vision d'un film. Une sensation bouleversante.
Voilà.

Y a pas tant de ralentis que ça. Et ils sont beaux.
Sinon ce qui me fascine quand je le revois c'est lorsque le corps physique de Jésus meurt, se relâche dans un dernier souffle. J'ai jamais autant ressenti l'impression de voir un homme "partir" lors de la vision d'un film. Une sensation bouleversante.
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Un film qui, malgré ses apparences hard core, est très académique, se contentant de suivre à la lettre les évangiles en insistant tout particulièrement sur la souffrance physique, plutôt que de développer tout ce qui fait la particularité du christianisme : l'humanité et la proximité avec ses fidèles de son messie.
Paradoxalement, le Jésus de Gibson est plutôt froid, débite ses parabole d'un air inspiré, d'une manière théâtrale : bref, il est tombé dans le travers de pratiquement toutes les adaptations ciné des évangiles, si l'on excepte L'EVANGILE SELON MATTHIEU de.... merde j'ai plus son nom, enfin l'italien.
Alors bien sûr, on souffre pour lui parce qu'il morfle pas mal, mais on perd toute la dimension sacrificielle de Jésus car tout ce qui précéde son calvaire est à peine esquissé.
Finalement, et fidèlement aux Evangiles, ce sont les femmes qui ont la part belle, de Marie et Marie Madeleine à qui le film réserve les meilleures scènes (le sang essuyé sur le sol).
Je ne comprends toujours pas ce débat idiot autour de l'antisémtisme, dans une histoire où ilo n'y a que des juifs et des romains (qui ne sont pas mieux lotis en étant présentés comme des brutes cruelles).
Paradoxalement, le Jésus de Gibson est plutôt froid, débite ses parabole d'un air inspiré, d'une manière théâtrale : bref, il est tombé dans le travers de pratiquement toutes les adaptations ciné des évangiles, si l'on excepte L'EVANGILE SELON MATTHIEU de.... merde j'ai plus son nom, enfin l'italien.
Alors bien sûr, on souffre pour lui parce qu'il morfle pas mal, mais on perd toute la dimension sacrificielle de Jésus car tout ce qui précéde son calvaire est à peine esquissé.
Finalement, et fidèlement aux Evangiles, ce sont les femmes qui ont la part belle, de Marie et Marie Madeleine à qui le film réserve les meilleures scènes (le sang essuyé sur le sol).
Je ne comprends toujours pas ce débat idiot autour de l'antisémtisme, dans une histoire où ilo n'y a que des juifs et des romains (qui ne sont pas mieux lotis en étant présentés comme des brutes cruelles).
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