Excellente nouvelle. En espérant une sortie française également.dario carpenter a écrit : lun. avr. 28, 2025 9:44 am Le film ressort dans les salles américaines fin Juin, pour ses 50 ans.
Les dents de la mer - Steven Spielberg (1975)
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Re: Les dents de la mer - Steven Spielberg (1975)
Il y a un p'tit détail qui me chiffonne
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Re: Les dents de la mer - Steven Spielberg (1975)
déjà vu deux fois en reprise dans mon Pathé (à l'été 2013 et à l'automne 2020, entre deux confinements!) mais je ne dis pas non en effet à une troisième séance sur grand écranMachet a écrit : lun. avr. 28, 2025 12:53 pmExcellente nouvelle. En espérant une sortie française également.dario carpenter a écrit : lun. avr. 28, 2025 9:44 am Le film ressort dans les salles américaines fin Juin, pour ses 50 ans.


Re: Les dents de la mer - Steven Spielberg (1975)
Il y a un p'tit détail qui me chiffonne
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Re: Les dents de la mer - Steven Spielberg (1975)
Les plus :
- Chef-d'œuvre de mise en scène : chaque plan, chaque séquence renforce une angoisse et un suspense toujours inégalés aujourd'hui – et sans doute pour toujours.
- Le film regorge de passages mémorables. La toute première scène est encore terrifiante, tout comme la mort de Quint. Des moments gravés à jamais, qui illustrent à quel point le cinéma peut marquer les esprits.
- Le génie, c’est aussi d’en faire un pur spectacle : un vrai film d’aventure. Dès que l’Orca prend la mer, entre les bidons, les joutes verbales et la délivrance finale, on est embarqués. Et les touches d’humour permettent de respirer sans jamais casser la tension.
- Le succès du film repose évidemment aussi sur le requin : malgré une raideur perceptible sur quelques plans, l’attaque finale reste incroyablement crédible et spectaculaire, même 50 ans plus tard.
- La musique de John Williams ne fait pas qu’accompagner : elle transcende l’image. Que ce soit le thème principal ou les passages plus légers, la partition est indissociable du film.
- Casting parfait. Impossible d’imaginer d’autres acteurs tant l’alchimie fonctionne : Roy Scheider et Lorraine Gary sont justes, et le trio du dernier acte est mythique dès les premiers dialogues.
- Même les seconds rôles marquent : le maire, la mère du gamin tué, l'adjoint du chef Brody... Tous apportent quelque chose.
- Pour un film grand public, il faut se rendre compte à quel point il était osé : la mort du gamin dans un geyser de sang, le chien disparu (hors champ, mais glaçant), le cadavre dans l’épave, et bien sûr la fin atroce de Quint, qui a traumatisé tout le monde.
Les moins :
- Réaliser qu’on a aujourd’hui à peu près l’âge de Quint, que je voyais comme un vieux loup de mer décrépi à l’époque.
Bon, y’a pas à tortiller du cul : Les Dents de la mer ne vieillira jamais. Revu en 4K, c’est fascinant de constater à quel point chaque détail est millimétré. Une efficacité redoutable, intacte. Je peux le revoir en boucle, avec toujours autant de plaisir à retrouver les personnages, sursauter aux mêmes moments, sourire, être ému – notamment lors de la scène entre Brody et son fils. Traumatisé gamin, bluffé adulte. Je m’incline devant un tel génie. Pour moi, le meilleur Spielberg.
- Chef-d'œuvre de mise en scène : chaque plan, chaque séquence renforce une angoisse et un suspense toujours inégalés aujourd'hui – et sans doute pour toujours.
- Le film regorge de passages mémorables. La toute première scène est encore terrifiante, tout comme la mort de Quint. Des moments gravés à jamais, qui illustrent à quel point le cinéma peut marquer les esprits.
- Le génie, c’est aussi d’en faire un pur spectacle : un vrai film d’aventure. Dès que l’Orca prend la mer, entre les bidons, les joutes verbales et la délivrance finale, on est embarqués. Et les touches d’humour permettent de respirer sans jamais casser la tension.
- Le succès du film repose évidemment aussi sur le requin : malgré une raideur perceptible sur quelques plans, l’attaque finale reste incroyablement crédible et spectaculaire, même 50 ans plus tard.
- La musique de John Williams ne fait pas qu’accompagner : elle transcende l’image. Que ce soit le thème principal ou les passages plus légers, la partition est indissociable du film.
- Casting parfait. Impossible d’imaginer d’autres acteurs tant l’alchimie fonctionne : Roy Scheider et Lorraine Gary sont justes, et le trio du dernier acte est mythique dès les premiers dialogues.
- Même les seconds rôles marquent : le maire, la mère du gamin tué, l'adjoint du chef Brody... Tous apportent quelque chose.
- Pour un film grand public, il faut se rendre compte à quel point il était osé : la mort du gamin dans un geyser de sang, le chien disparu (hors champ, mais glaçant), le cadavre dans l’épave, et bien sûr la fin atroce de Quint, qui a traumatisé tout le monde.
Les moins :
- Réaliser qu’on a aujourd’hui à peu près l’âge de Quint, que je voyais comme un vieux loup de mer décrépi à l’époque.
Bon, y’a pas à tortiller du cul : Les Dents de la mer ne vieillira jamais. Revu en 4K, c’est fascinant de constater à quel point chaque détail est millimétré. Une efficacité redoutable, intacte. Je peux le revoir en boucle, avec toujours autant de plaisir à retrouver les personnages, sursauter aux mêmes moments, sourire, être ému – notamment lors de la scène entre Brody et son fils. Traumatisé gamin, bluffé adulte. Je m’incline devant un tel génie. Pour moi, le meilleur Spielberg.
Man-eater