Batman Begins, Christopher Nolan 2005 avis p.13 et +
Modérateurs : Karen, savoy1, DeVilDead Team
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Oui, mais s'il faut justifier l'illisibilité du montage haché par "c'est fait exprès parce qu'il est invisible", bof quoi....leWalrus a écrit :Batman se doit d'être invisible devant ses ennemis, ceux-ci dérouillent donc sans voir le type. La scène sur les docks en est le parfait exemple à mon sens
Pour prendre un contre-exemple, j'avais vu un vieux kungfu comedy, je sais plus lequel, mais c'était avec Samo Hung... Eh bien, le Samo, à un moment, il était menacé par un méchant qui était invisible, et qui lui tournait autour avant de lui donner des coups, et c'était très bien chorégraphié, très drôle.
Samo Hung aurait du jouer Batman.

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"Fear clouds your senses"... ca m'a bien fait marrer... Clin doeil ?Hrundi V. Bakshi a écrit :Petit jeu :
Combien de fois le mot "fear" est-il prononcé dans le film Batman Begins?
a) 3838
b) 4373
c) 3391
Not only does God play dice, but... he sometimes throws them where they cannot be seen - Stephen Hawking
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Bon pour moi le début de Batman c'est Bruce Wayne qui va sur la planete Hoth s'entrainer avec Qui Gon Jin... Ca me gacghe pas mon plaisir, ça me fait marrer et je trouve que ça fonctionne. Et a la fin de cette partie, Wayne s'entend dire "Fear clouds your senses" qui ressemble comme deux gouttes d'eau à ce que pourrait dire Yoda à un padawan quelconque. Genre "The dark side clouds everything" dit par Yoda dans SW2. Vala.Hrundi V. Bakshi a écrit :J'avoue ne pas avoir capté... Tu m'éclaires?meltingman a écrit :"Fear clouds your senses"... ca m'a bien fait marrer... Clin doeil ?
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meltingman a écrit :Bon pour moi le début de Batman c'est Bruce Wayne qui va sur la planete Hoth s'entrainer avec Qui Gon Jin... Ca me gacghe pas mon plaisir, ça me fait marrer et je trouve que ça fonctionne. Et a la fin de cette partie, Wayne s'entend dire "Fear clouds your senses" qui ressemble comme deux gouttes d'eau à ce que pourrait dire Yoda à un padawan quelconque. Genre "The dark side clouds everything" dit par Yoda dans SW2. Vala.

J'crois pas que ce soit un clin d'oeil délibéré alors !

Moi aussi, Qui-Gon m'a fait marrer lors de l'entraînement. Mais quand il fait son come-back surprise (enfin, si on peut appeler ça une surprise...



Mais sinon, Liam Neeson était excellent dans Kinsey.

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ah nononHrundi V. Bakshi a écrit :- Pourquoi on tombe?Prodigy a écrit :J'adore comme on sort une ou deux phrases pourries du contexte pour faire croire que ça représente l'ensemble des dialogues
- Pour mieux se relever.
c'est :
-pourquoi tombe t-on ?
-pour APPRENDRE à mieux se relever
c'est pas la même chose...y a un verbe en plus
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Vu à l'instant, mes impressions de geek çà chaud :
LES MOINS, comme ça ça sera fait :
- Le GROS problème : le montage. Encore un monteur qui ne connait même pas les bases, qui nous fait des plans super cut mis bout à bout sans cohérence, et des scènes qui passent du coq à l'âne. Et dès le début en plus, quand Wayne tombe dans la grotte (du pied gauche).
- Les dialogues, franchement on se fout de la gueule de Lucas, mais des fois... J'en ai pas de précis en tête, mais mon Dieu que c'est prévisible et téléphoné. Cliché, quoi. Ah oui aussi : les punch lines, David Goyer faut qu'il arrête tout de suite, c'est pas son truc. Y en a très peu c'est vrai, mais ça plombe tout (personne ne riait dans la salle).
- La sous-exploitation de tout le potentiel du truc : l'Epouvantail et ses cauchemars surtout, qui auraient pu être bien plus originaux en confrontant chacun à ses vraies peurs. Une orgie façon intro du WISHMATER, quoi
- Gotham ressemble plus à Metropolis qu'à la ville gothique si bien représentée chez Burton. On a une ville futuriste là où on devrait avoir une Sin City Cradingue.
LES PLUS :
- Rarement Batman n'aura été aussi fidèle à ce qu'il était au début. Détective, vigilante dans un cadre urbain.
- Goyer reprend pour bcp le YEAR ONE de Frank Miller, l'incorruptibilité du jeune Gordon, l'assaut du SWAT, Wayne et les mannequins qui tente de se faire passer pour un play-boy, et surtout et surtout : L'EPILOGUE !!! Exactement le même que dans YEAR ONE (il a laissé cette carte comme signature...)
- Goyer crédibilise intelligement tout ce qui peut paraître insensé chez Batman : où il a appris tout ça, d'où sortent ses gadgets, etc.
- Les relations entre personnages sont bien développées. Surtout entre Wayne et Alfred : le lien qui les unit est crédible dans le film. On y croit. Bon point de s'être attardé là-dessus.
- La révélation finale est bien sympa, tout à fait dans l'optique manipulatrice de Rasatruc. Même si on le voit arriver de loin.
- La photo, nickel.
- L'utilisation de l'asile d'Arckham, malheureusement sous-exploité.
- Nolan parvient à rendre flippant ses personnages, chose ESSENTIELLE dans un Batman. Le type qui joue l'épouvantail est parfait de folie contenue, et ils ont l'intelligence de ne pas le buter, comme dans tous les BATMAN. Batman lui-même est assez effrayant, alors qu'il ne l'a jamais vraiment été dans les autres films (bouh la grosse voix !).
- Le casting, pas seulement tape à l'oeil, est bien trouvée (mmmm Katie...). Chacun est à sa place, ils nous font tous leur numéro habituel, mais finalement l'osmose est bonne.
Voila, j'en oublie mais je reviendrai dessus. Disons pour moi un 4,5/6, à cause de ce montage qui veut aller trop vite et à de bonnes idées sous-exploitées.
PS : ah oui, les scènes d'action sont ILLISIBLES
LES MOINS, comme ça ça sera fait :
- Le GROS problème : le montage. Encore un monteur qui ne connait même pas les bases, qui nous fait des plans super cut mis bout à bout sans cohérence, et des scènes qui passent du coq à l'âne. Et dès le début en plus, quand Wayne tombe dans la grotte (du pied gauche).
- Les dialogues, franchement on se fout de la gueule de Lucas, mais des fois... J'en ai pas de précis en tête, mais mon Dieu que c'est prévisible et téléphoné. Cliché, quoi. Ah oui aussi : les punch lines, David Goyer faut qu'il arrête tout de suite, c'est pas son truc. Y en a très peu c'est vrai, mais ça plombe tout (personne ne riait dans la salle).
- La sous-exploitation de tout le potentiel du truc : l'Epouvantail et ses cauchemars surtout, qui auraient pu être bien plus originaux en confrontant chacun à ses vraies peurs. Une orgie façon intro du WISHMATER, quoi

- Gotham ressemble plus à Metropolis qu'à la ville gothique si bien représentée chez Burton. On a une ville futuriste là où on devrait avoir une Sin City Cradingue.
LES PLUS :
- Rarement Batman n'aura été aussi fidèle à ce qu'il était au début. Détective, vigilante dans un cadre urbain.
- Goyer reprend pour bcp le YEAR ONE de Frank Miller, l'incorruptibilité du jeune Gordon, l'assaut du SWAT, Wayne et les mannequins qui tente de se faire passer pour un play-boy, et surtout et surtout : L'EPILOGUE !!! Exactement le même que dans YEAR ONE (il a laissé cette carte comme signature...)
- Goyer crédibilise intelligement tout ce qui peut paraître insensé chez Batman : où il a appris tout ça, d'où sortent ses gadgets, etc.
- Les relations entre personnages sont bien développées. Surtout entre Wayne et Alfred : le lien qui les unit est crédible dans le film. On y croit. Bon point de s'être attardé là-dessus.
- La révélation finale est bien sympa, tout à fait dans l'optique manipulatrice de Rasatruc. Même si on le voit arriver de loin.
- La photo, nickel.
- L'utilisation de l'asile d'Arckham, malheureusement sous-exploité.
- Nolan parvient à rendre flippant ses personnages, chose ESSENTIELLE dans un Batman. Le type qui joue l'épouvantail est parfait de folie contenue, et ils ont l'intelligence de ne pas le buter, comme dans tous les BATMAN. Batman lui-même est assez effrayant, alors qu'il ne l'a jamais vraiment été dans les autres films (bouh la grosse voix !).
- Le casting, pas seulement tape à l'oeil, est bien trouvée (mmmm Katie...). Chacun est à sa place, ils nous font tous leur numéro habituel, mais finalement l'osmose est bonne.
Voila, j'en oublie mais je reviendrai dessus. Disons pour moi un 4,5/6, à cause de ce montage qui veut aller trop vite et à de bonnes idées sous-exploitées.
PS : ah oui, les scènes d'action sont ILLISIBLES