
Le (très beau) visuel du zone 2 qui sort en janvier prochain :

Autant prendre le zone 1 en novembre, ce que je vais faire.
Modérateurs : Karen, savoy1, DeVilDead Team
Il est vrai que Superman a toujours eu bcp d'humour, c'est un peu le roi de la déconne. Quand à Spacey, il surjoue c'est vrai, presque autant que... Gene Hackman !Grenouille arrogante a écrit :La comparaison avec l'original est douloureuse. Brandon Routh n'a aucun humour, aucun charme, il n'est qu'une gravure de mode là ou Reeve était arrivé véritablement à s'approprier le personnage. Lois Lane est dix fois trop jeune, on dirait qu'elle a 19 ans (alors un gosse à 14 ans?) et n'a ni le peps ni le charme, ni la gouaille de Margot Kidder. Quand à kevin Spacey, il m'a fait pitié tellement il surjoue.
Pour moi il n'y a rien à retirer de ce soufflé totalement calibré. Brian Singer est pour moi décidément un piètre cinéaste et un vrai tacheron. Je crois que je préfère encore Brett Rattner. C'est dire.
Se serait bien aussi si les mecs du net arrêtaient de se donner un genre en tapant toujours sur Ratner vu que son Xmen 3 est quand même un très bon film pop corn rempli d'action et largement moins chiant que les Singer.Fatalis rex a écrit :Si le public ne fait plus la différence entre un film de Ratner et de Singer, c'est vraiment que la culture ciné va mal, et si j'étais ce dernier, ça me donnerait vraiment pas envie de me casser le cul à essayer de faire de "vrais" films plutôt que des téléfilms sur grand écran.
C'est bien ce que je disais. Ratner filme tout le monde au milieu, les plans sont pas raccords et les persos sont flous. Je parle même pas du montage. Il a foutu des prises du début à la fin. Il ne sait rien de ce qu'il filme, d'ailleurs on comprend rien à XMen 3.Ben ce qui serait bien, déjà, à la base, c'est de savoir faire au moins la différence entre un réalisteur qui connait les bases du cinéma, et un qui ne les connait pas. Sans écrire dans Les Cahiers du Cinéma, je sais pas, mais ça saute aux yeux que l'un des 2 a la maîtrise de son cadre, du montage, qu'il sait un minimum ce qu'il fait et qu'il a appris à le faire, plutôt que de foutre ses acteurs au milieu du champ en leur demandant de réciter leur texte.