"Oliver Twist" (2005) de Roman Polanski
Modérateurs : Karen, savoy1, DeVilDead Team
Une déception pour moi. Evidemment, c'était difficile de passer après "Le pianiste", mais je n'ai vraiment pas été convaincu par cette nouvelle adaptation d'"Oliver Twist". Je dirai même que je n'ai pas été réellement convaincu par son utilité... Le début est vraiment intéressant. Polanski distille une humour noir d'une rare cruauté, et ponctue ses péripéties très rythmées de nombreux rires désespérés.
Mais, une fois qu'Oliver se fait kidnapper par Bill, le récit, très subjectif, totalement collé à Oliver, se délite. On se désintéresse d'Oliver pour suivre des perosnnages secondaires comme Nancy et Bill. Le film devient alors très banal, n'apportant plus grand chose d'original ou d'intéressant. La distribution est vraiment très bonne, et Ben Kingsley est l'acteur du film. Mais gros point noir pour moi : Jamie Forman n'est pas vraiment convaincant. Comme on est loin de la terrifiante interprétation qu'Oliver Reed avait livré du même personnage...
Reste un vrai talent de conteur, un vrai génie d'illustrateur qu'on peut difficilement nier, et une fin qui distille - trop tard à mon avis - l'émotion, avec la visite d'Oliver à Fagin en prison, moment à la fois touchant et ambiguë.
Un film honnête, certes, mais tout de même mineur de la part de Polanski...
Mais, une fois qu'Oliver se fait kidnapper par Bill, le récit, très subjectif, totalement collé à Oliver, se délite. On se désintéresse d'Oliver pour suivre des perosnnages secondaires comme Nancy et Bill. Le film devient alors très banal, n'apportant plus grand chose d'original ou d'intéressant. La distribution est vraiment très bonne, et Ben Kingsley est l'acteur du film. Mais gros point noir pour moi : Jamie Forman n'est pas vraiment convaincant. Comme on est loin de la terrifiante interprétation qu'Oliver Reed avait livré du même personnage...
Reste un vrai talent de conteur, un vrai génie d'illustrateur qu'on peut difficilement nier, et une fin qui distille - trop tard à mon avis - l'émotion, avec la visite d'Oliver à Fagin en prison, moment à la fois touchant et ambiguë.
Un film honnête, certes, mais tout de même mineur de la part de Polanski...
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- Localisation : le coffre d'une bagnole au fond d'un etang pres d'un motel glauque
je trouve qu'elle est très proche de la description de Dickens, là ou Oliver Reed etait un trop séduisant Bill Sykes (...enfin, trop seduisant par rapport a Dickens, sinon, pour le reste, c'est Oliver Reed au mieux de sa fome, too sexy!Manolito a écrit : Mais gros point noir pour moi : Jamie Forman n'est pas vraiment convaincant. Comme on est loin de la terrifiante interprétation qu'Oliver Reed avait livré du même personnage...

Sionon, j'ai été le revoir hier pour la 3em fois (et enfin en vov) et c'est vrai que la derniere scene dans la prison m'a boulversé cette fois, Ben Kingsley est vraiment magnifique, dommage que vu l'accueil fait au film au states l'idée même d'une nomination au oscar risque d'être compromise!
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...tssss! je sors de ma 5ém projections aujourd'hui.
J'ai le même phénoméne que celui que j'ai vécu y'a 15 ans (si pas 20? ...si, 20!
) quand j'ai découvert LE BAL DES VAMPIRES: ça devient comme une drogue, dés que le film se termine, suis déja en manque, et j'ai déja envie de recommencer!
Je n'arrive pas à l'expliquer, y'a quelque chose qui me fascine dans ce film et qui m'echappe en même temps, y'a pas d'avance, faudra y retourner pour en avoir le coeur net!
...pffff! dire qu'y faudra attendre' jusqu'a demain pour la 6ém en plus!!!
J'ai le même phénoméne que celui que j'ai vécu y'a 15 ans (si pas 20? ...si, 20!

Je n'arrive pas à l'expliquer, y'a quelque chose qui me fascine dans ce film et qui m'echappe en même temps, y'a pas d'avance, faudra y retourner pour en avoir le coeur net!
...pffff! dire qu'y faudra attendre' jusqu'a demain pour la 6ém en plus!!!

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le film fais une meilleurs carriere que ce que je craignais: 116.000 en 1er s sur Paris, pres de 500.000/France c'est un peu moins bien que LES NOCES FUNEBRES (mais OLIVER a qd même 100 ecran de plus,
)
Enfin, on est loin de la catastrophe americaine!
Mais chez Polanski c'est une habitude, ses films marchent toujours bcp mieux de ce côté de l'océan

Enfin, on est loin de la catastrophe americaine!
Mais chez Polanski c'est une habitude, ses films marchent toujours bcp mieux de ce côté de l'océan
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- Localisation : dans la 2ème tombe à gauche.
On ne voit pas trop l'intérêt de porter encore une fois à l'écran cette histoire d'"Oliver Twist" que l'on connaît par coeur, sachant que la plupart des précédentes versions sont excellentes (surtout celle de David Lean et la version musicale de Carol Reed). Pourtant, on se laisse une fois de plus emporter par le souffle de cette histoire absurde, mais si bien contée. Le choix de Polanski est de clairement opter pour la noirceur, tant il se régale à filmer les bas-fonds de Londres, la boue et les visages grossiers. Ainsi, les adultes sont tous fortement caractérisés, toujours à la limite de la caricature. Le tout est illustré par de magnifiques images, des décors très soignés (on peut leur reprocher de rendre beau la saleté) et une jolie musique. C'est d'un classicisme total, ce qui explique l'irritation de bon nombre de spectateurs et de critiques. L'attaque est prévisible, mais le cinéaste respecte quand même parfaitement son cahier des charges. Son adaptation est très réussie, très soignée, sans doute trop et on regrette qu'il n'y ait pas un vrai grain de folie dans tout ceci. N'empêche que l'émotion finit par percer vers la fin d'un film dispensable mais très professionnel.
XXX
XXX
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Non c'est vraiment pas terrible. Je vois pas trop ce qui a pu interesser d'ailleurs Polanski dans ce sujet larmoyant à l'opposer de ce qu'il fait d'habitude. Même dans le pianiste et son sujet qui prête aussi au mélo. la sensibilité était tout autre.
Non pas qu'il faille se forcer pour regarder le film, çà vient plus de l'histoire, Hugo les trucs potache et lourdaux comme çà même quand c'est pas José Daillant çà m'emmerde
Y'a les bons, y'a les méchant et un pauv' p'tit gamin tout gentil qui a pas demander à être là. C'est triste certes mais pas besoin d'en faire des tartines et des tartines.
Est-ce que comme le vieux Eastwood il commencerait à sentir la mort proche le gars Polanski (et il en devienrait tout chose) ? Ce serait bien dommage...
Si ce n'est la scène sur les toit qui pourrait faire penser à celle de Frantic dans d'autres circonstances.
Tout est propre, lisse, les décors sont chouette mais peut-être un peu trop justement. C'est un conte ? OK ! Donc un bon film pour enfant mais quand on a passer la date de prescrition c'est un peu dur à avaler quand même...
Non pas qu'il faille se forcer pour regarder le film, çà vient plus de l'histoire, Hugo les trucs potache et lourdaux comme çà même quand c'est pas José Daillant çà m'emmerde

Est-ce que comme le vieux Eastwood il commencerait à sentir la mort proche le gars Polanski (et il en devienrait tout chose) ? Ce serait bien dommage...
Si ce n'est la scène sur les toit qui pourrait faire penser à celle de Frantic dans d'autres circonstances.
Tout est propre, lisse, les décors sont chouette mais peut-être un peu trop justement. C'est un conte ? OK ! Donc un bon film pour enfant mais quand on a passer la date de prescrition c'est un peu dur à avaler quand même...
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Wiiiie!
Vivement mercredi!!!!

Vivement mercredi!!!!
Oliver Twist
Sortie le 19 Avril 2006
Edition Collector, Keep Case, 2 DVD, PAL, Tous publics
DVD Zone 2
Audio : Français Dolby Digital 5.1, Anglais Dolby Digital 5.1, Anglais DTS 5.1
Vidéo : Format 16/9 compatible 4/3, Format cinéma respecté scope 2.35, Format DVD-9, Film en Couleurs
Sous-Titre : Français
Contenu :
DVD 1 :
Bande-annonce
Teasers
DVD 2 :
Making of : le film vu par Roman Polanski
Le meilleur d'Oliver Twist : documentaire sur les décors, costumes, musiques
Court-métrage sur les enfants réalisé par Ye'ela Rosenfeld
Les farces d'Oliver Twist : le film vu par le jeune acteur
Teasers inédits
Galeries de photos, décors, costumes, story-boards
(source:allo ciné)
