Quand on sait que Rio n'est pas la capitale du Brésil de suite on sait que le film n'est pas pour soit.
Vous avez déjà tout dit sauf peut-être:
- à la fin du 1er elle est censée être morte Jennifer mais finalement non ?!
Vu, oublié direct, rien à sauver, tout est débile (déjà souligé la séance UV où personne éteint la machine)
Souviens-toi l'été dernier 2 ! (1998)
Modérateurs : Karen, savoy1, DeVilDead Team
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Re: Souviens-toi l'été dernier 2 ! (1998)
Les plus :
- Le dernier acte est franchement réussi : bien rythmé, tendu comme il faut. Et Jennifer, en chemisier trempé sous la pluie... j'en prendrai pour un dollar.
- Côté meurtres, on monte d’un cran : c’est plus graphique, les maquillages sont bien foutus même si les plans restent brefs. On a droit à un peu de gore, façon slasher old school, même si ça se résume à des coups de crochet.
- Le changement de décor est sympa : les Bahamas (ou plutôt le Mexique
), un vieil hôtel, une touche de vaudou... Ça apporte une ambiance relativement originale.
- Bonne surprise de revoir Jeffrey Combs en hôtelier tête de con. A noter aussi un extrait de Rendez-vous avec la peur diffusé à la TV, un signe de bon goût.
- Moins premier degré que le premier film mais sans pour autant basculer dans la parodie (oui Eli Roth, je pense à toi).
Les moins :
- La suite n'a clairement pas la classe visuelle de l'original et semble moins ambitieuse alors que le budget était plus élevé. Allez comprendre.
- Les extérieurs sous la tempête avec les effets météo cheap : ça pique un peu les yeux.
- Certains persos sont juste là pour augmenter le bodycount : le collègue de Freddie Prinze Jr., le type du quai, la femme de ménage...
- Jack Black en "comique" de service, fumeur de joints avec ses fausses dreadlocks : probablement un de ses pires rôles.
- Trop de jumpscares tue le jumpscare. Et l'épilogue qui ne sert à rien. Finir sur la tombe de Ben Willis aurait eu bien plus d’impact.
- Toujours pas de nudité. Rendez-moi les années 80 !
Au final, je m’attendais à une catastrophe, et la suite tient quand même la route. Elle prolonge l’histoire avec les deux survivants du premier, sans trop trahir l’esprit. Oui le twist est téléphoné (désolé) et il y a plein d'incohérences comme dans la plupart des films du genre. Ça reste un slasher moyen, pas révolutionnaire, mais divertissant. C’est déjà pas mal.
- Le dernier acte est franchement réussi : bien rythmé, tendu comme il faut. Et Jennifer, en chemisier trempé sous la pluie... j'en prendrai pour un dollar.
- Côté meurtres, on monte d’un cran : c’est plus graphique, les maquillages sont bien foutus même si les plans restent brefs. On a droit à un peu de gore, façon slasher old school, même si ça se résume à des coups de crochet.
- Le changement de décor est sympa : les Bahamas (ou plutôt le Mexique

- Bonne surprise de revoir Jeffrey Combs en hôtelier tête de con. A noter aussi un extrait de Rendez-vous avec la peur diffusé à la TV, un signe de bon goût.
- Moins premier degré que le premier film mais sans pour autant basculer dans la parodie (oui Eli Roth, je pense à toi).
Les moins :
- La suite n'a clairement pas la classe visuelle de l'original et semble moins ambitieuse alors que le budget était plus élevé. Allez comprendre.
- Les extérieurs sous la tempête avec les effets météo cheap : ça pique un peu les yeux.
- Certains persos sont juste là pour augmenter le bodycount : le collègue de Freddie Prinze Jr., le type du quai, la femme de ménage...
- Jack Black en "comique" de service, fumeur de joints avec ses fausses dreadlocks : probablement un de ses pires rôles.
- Trop de jumpscares tue le jumpscare. Et l'épilogue qui ne sert à rien. Finir sur la tombe de Ben Willis aurait eu bien plus d’impact.
- Toujours pas de nudité. Rendez-moi les années 80 !
Au final, je m’attendais à une catastrophe, et la suite tient quand même la route. Elle prolonge l’histoire avec les deux survivants du premier, sans trop trahir l’esprit. Oui le twist est téléphoné (désolé) et il y a plein d'incohérences comme dans la plupart des films du genre. Ça reste un slasher moyen, pas révolutionnaire, mais divertissant. C’est déjà pas mal.
Man-eater