SPOILERS INSIDE
personne n'est choquée par la mort de l'alien, qui aprés avoir resisté au plomb en fusion, meurt en explosant sous la douche ?!
cette fin a pour moi un peu plombé le film que j'appréciait , un peu comme la fin minable de die hard 3 ....
Alien 3 de David Fincher (1992)
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Modifié en dernier par fada le jeu. déc. 27, 2007 2:07 pm, modifié 1 fois.
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right hand of doom
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c'est le choc thermique qui le fait exploser, je ne vois pas en quoi c'est choquant.fada a écrit :SPOILERS INSIDE
personne n'est choquée par la mort de l'alien, qui aprés avoir resisté au plomb en fusion, meurt en explosant sous la douche ?!
cette fin a pour moi un peu plombé le film que j'appréciait , un peu comme la fin minable de die hard 3 ....
SPOILERSright hand of doom a écrit :c'est le choc thermique qui le fait exploser, je ne vois pas en quoi c'est choquant.fada a écrit :SPOILERS INSIDE
personne n'est choquée par la mort de l'alien, qui aprés avoir resisté au plomb en fusion, meurt en explosant sous la douche ?!
cette fin a pour moi un peu plombé le film que j'appréciait , un peu comme la fin minable de die hard 3 ....
oui oui j'ai bien compris, mais resister a la coulée de plomb et le voir finir sous la douche , sur le coup ca m'a tout drole.....
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Fatalis rex
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Re: Alien 3 de David Fincher (1992)
J'ai enfin vu cette version longue (4 E sur CDiscount, et le DVD regroupe version courte et longue). Ma review :
Synopsis
Alien 3 appartient à cette race de films mal aimés pour de mauvaises raisons. Basé sur un script de William Gibson, écrivain culte du mouvement cyberpunk, et réalisé par David Fincher, un inconnu néanmoins très célèbre dans le milieu de la pub (c'était avant Se7en et Fight Club), le film prend le parti de retrouver le rythme lancinant du premier opus de Ridley Scott après les débordements guerriers d'Aliens.
Le film débute avec le crash de la capsule de secours du vaisseau militaire dans lequel s'étaient échappés Ripley, le Caporal Hicks et Rebecca à la fin d'Aliens. L'histoire commence plutôt mal car non seulement Ripley est la seule survivante des rescapés, et elle échoue sur une planète pénitentiaire à l'environnement hostile nommée Fury 161. L'endroit est peuplé de prisonniers classés irrécupérables et condamnés à perpétuité pour toutes sortes de crimes ; relégués à l'oubli, ces hommes ont fondé une religion sous le commandement moral du charismatique Dillon, leur chef spirituel, une sorte de croisement entre Martin Luther King et Malcolm X. Forcément, la présence d'une femme dans cette communauté, qui a choisi de vivre selon les principes monacaux, ne peut que provoquer des tensions.
Et bien entendu, Ripley n'est pas venue seule. Nous savons, dès le générique, qu'un "face hugger" a pondu dans l'organisme d'un passager du vaisseau pendant son sommeil prolongé, mais lequel ?
Genèse
Alien 3 a fait un bide au box-office. Le rythme particulier du film, son ambiance morose, ses décors rouillés, sa Ripley au crâne rasé et sa bande de psychopathes pour alliés n'ont pas mobilisé les foules, désappointées par cette audace artistique et ce refus du compromis. Pourtant, Fincher a dû faire beaucoup de concessions sur la version initiale qu'il voulait tourner, avant de se faire finalement dégager du banc de montage (rappelons que, dans la version qu'il souhaitait, l'alien ne naissait pas dans un chien mais... dans un boeuf).
Des années après, à l'occasion de la sortie du coffret des 4 films, la Fox a décidé - Fincher étant désormais un cinéaste reconnu et le film n'ayant, de toute façon, plus rien à perdre - de sortir la version de travail du réalisateur, en reprenant son montage initial pour finaliser cette version censée être plus proche de sa vision (ce qui explique la piètre qualité des inserts de l'alien et de certaines prises de son). Il faut donc rester conscient que cette version longue N'EST PAS une director's cut montée et approuvée par David Fincher, qui semble écoeuré par son expérience sur ce film.
ATTENTION, SPOILERS
La version longue
(Cette comparaison avec la version courte, que j'ai vue il y a déjà un moment, est effectuée d'après mes souvenirs, ne m'insultez pas si je mentionne une nouvelle scène qui est déjà présente dans la version cinéma).
Dès son ouverture, cette version longue impose une sorte de poésie macabre au rythme plus lent, en insistant sur les paysages désolés, battus par le vent de Fury 161, et met en avant l'ambiance de cette planète où le temps semble s'être arrêté. On ne peut que regretter que les producteurs aient sacrifié ces plans au profit d'un rythme plus soutenu dans la version cinéma.
Dorénavant, c'est le médecin de la prison qui part à la rencontre de la capsule écrasée, pour y découvrir une Ripley coincée entre la vie et la mort. Il la ramène ensuite en la portant dans ses bras, dans une curieuse évocation de La Belle au Bois Dormant au romantisme affiché. On comprend dès lors l'intention initiale de Fincher : faire de ce film une sorte de conte philosophique, une fable dont l'alien serait le Loup.
Toute mention au chien qui abrite l'embryon est désormais écartée. Comme le voulait Fincher, l'alien naît désormais dans une sorte de boeuf, ce qui donne lieu a sa première apparition sous forme d'un "bébé" ensanglanté animé image par image, sous un aspect particulièrement effrayant.
La première scène dans la cantine ne donne plus lieu à l'attaque de l'alien, maintenant temporisée afin de repousser sa révélation. Le doute des prisonniers subsiste donc plus longtemps (Ripley est-elle folle ?). En revanche, la première scène dans la cantine donne cette fois l'occasion de montrer Dillon jouer son rôle de chef spirituel en réglant un conflit entre trois prisonniers, juste avant que Ripley n'impose sa présence (une affirmation de son autorité sur le groupe essentielle, mais sûrement jugée inutile par les producteurs).
Ainsi, cette version longue a été amputée de tous les éléments perturbants pour le public (et donc les plus intéressants) : le fait que l'alien se développe dans un boeuf, l'approfondissement de la religion et de la philosophie des détenus à travers le personnage de Dillon, tout acte qui pourrait les présenter sous un jour positif... Bref, tout a été fait pour transformer une fable contemplative en un film d'action. Forcément, le résultat est bâtard, puisque le film n'a pas été pensé comme tel en amont.
En définitive, le script que voulait tourner Fincher s'avère sans doute plus littéraire que cinématographique, plus axé sur la description d'un monde inhabituel et sur la psychologie de ses acteurs, dénué de scènes d'action vraiment marquantes. Comment l'en blâmer, en passant après Aliens, un des mètres-étalon des action movies ? Il suffit de voir la catastrophe Alien Resurrection pour comprendre que cela n'était clairement pas la voie à suivre.
Synopsis
Alien 3 appartient à cette race de films mal aimés pour de mauvaises raisons. Basé sur un script de William Gibson, écrivain culte du mouvement cyberpunk, et réalisé par David Fincher, un inconnu néanmoins très célèbre dans le milieu de la pub (c'était avant Se7en et Fight Club), le film prend le parti de retrouver le rythme lancinant du premier opus de Ridley Scott après les débordements guerriers d'Aliens.
Le film débute avec le crash de la capsule de secours du vaisseau militaire dans lequel s'étaient échappés Ripley, le Caporal Hicks et Rebecca à la fin d'Aliens. L'histoire commence plutôt mal car non seulement Ripley est la seule survivante des rescapés, et elle échoue sur une planète pénitentiaire à l'environnement hostile nommée Fury 161. L'endroit est peuplé de prisonniers classés irrécupérables et condamnés à perpétuité pour toutes sortes de crimes ; relégués à l'oubli, ces hommes ont fondé une religion sous le commandement moral du charismatique Dillon, leur chef spirituel, une sorte de croisement entre Martin Luther King et Malcolm X. Forcément, la présence d'une femme dans cette communauté, qui a choisi de vivre selon les principes monacaux, ne peut que provoquer des tensions.
Et bien entendu, Ripley n'est pas venue seule. Nous savons, dès le générique, qu'un "face hugger" a pondu dans l'organisme d'un passager du vaisseau pendant son sommeil prolongé, mais lequel ?
Genèse
Alien 3 a fait un bide au box-office. Le rythme particulier du film, son ambiance morose, ses décors rouillés, sa Ripley au crâne rasé et sa bande de psychopathes pour alliés n'ont pas mobilisé les foules, désappointées par cette audace artistique et ce refus du compromis. Pourtant, Fincher a dû faire beaucoup de concessions sur la version initiale qu'il voulait tourner, avant de se faire finalement dégager du banc de montage (rappelons que, dans la version qu'il souhaitait, l'alien ne naissait pas dans un chien mais... dans un boeuf).
Des années après, à l'occasion de la sortie du coffret des 4 films, la Fox a décidé - Fincher étant désormais un cinéaste reconnu et le film n'ayant, de toute façon, plus rien à perdre - de sortir la version de travail du réalisateur, en reprenant son montage initial pour finaliser cette version censée être plus proche de sa vision (ce qui explique la piètre qualité des inserts de l'alien et de certaines prises de son). Il faut donc rester conscient que cette version longue N'EST PAS une director's cut montée et approuvée par David Fincher, qui semble écoeuré par son expérience sur ce film.
ATTENTION, SPOILERS
La version longue
(Cette comparaison avec la version courte, que j'ai vue il y a déjà un moment, est effectuée d'après mes souvenirs, ne m'insultez pas si je mentionne une nouvelle scène qui est déjà présente dans la version cinéma).
Dès son ouverture, cette version longue impose une sorte de poésie macabre au rythme plus lent, en insistant sur les paysages désolés, battus par le vent de Fury 161, et met en avant l'ambiance de cette planète où le temps semble s'être arrêté. On ne peut que regretter que les producteurs aient sacrifié ces plans au profit d'un rythme plus soutenu dans la version cinéma.
Dorénavant, c'est le médecin de la prison qui part à la rencontre de la capsule écrasée, pour y découvrir une Ripley coincée entre la vie et la mort. Il la ramène ensuite en la portant dans ses bras, dans une curieuse évocation de La Belle au Bois Dormant au romantisme affiché. On comprend dès lors l'intention initiale de Fincher : faire de ce film une sorte de conte philosophique, une fable dont l'alien serait le Loup.
Toute mention au chien qui abrite l'embryon est désormais écartée. Comme le voulait Fincher, l'alien naît désormais dans une sorte de boeuf, ce qui donne lieu a sa première apparition sous forme d'un "bébé" ensanglanté animé image par image, sous un aspect particulièrement effrayant.
La première scène dans la cantine ne donne plus lieu à l'attaque de l'alien, maintenant temporisée afin de repousser sa révélation. Le doute des prisonniers subsiste donc plus longtemps (Ripley est-elle folle ?). En revanche, la première scène dans la cantine donne cette fois l'occasion de montrer Dillon jouer son rôle de chef spirituel en réglant un conflit entre trois prisonniers, juste avant que Ripley n'impose sa présence (une affirmation de son autorité sur le groupe essentielle, mais sûrement jugée inutile par les producteurs).
Ainsi, cette version longue a été amputée de tous les éléments perturbants pour le public (et donc les plus intéressants) : le fait que l'alien se développe dans un boeuf, l'approfondissement de la religion et de la philosophie des détenus à travers le personnage de Dillon, tout acte qui pourrait les présenter sous un jour positif... Bref, tout a été fait pour transformer une fable contemplative en un film d'action. Forcément, le résultat est bâtard, puisque le film n'a pas été pensé comme tel en amont.
En définitive, le script que voulait tourner Fincher s'avère sans doute plus littéraire que cinématographique, plus axé sur la description d'un monde inhabituel et sur la psychologie de ses acteurs, dénué de scènes d'action vraiment marquantes. Comment l'en blâmer, en passant après Aliens, un des mètres-étalon des action movies ? Il suffit de voir la catastrophe Alien Resurrection pour comprendre que cela n'était clairement pas la voie à suivre.
Re: Alien 3 de David Fincher (1992)
Revu le 3 dans l'édition "Quadrilogy" de 2003, le pressage anglais, en l'occurrence sur la version cinéma. La copie n'est pas parfaite, on repère quelques petites saletés, une définition plutôt en retrait. Mais cela correspond assez bien au visuel cru du film, et on ne repère aucune trace de bidouillage ; ainsi, pratiquement aucun effet de halo n'est visible, l'image est bien naturelle. La bande son est disponible en anglais en 5.1 (le film est sorti en dolby stéréo sur les copies 35mm, en 6 pistes sur les copies 70mm) très convenable, même si les dialogues paraissent bizarrement un peu étouffés. Avec STA. Le disque contient aussi la version longue "special edition", apparue à l'occasion du coffret "quadrilogy".
Revu aujourd'hui "Alien 3" commence d'emblée comme une cassure avec le 2.
Ce qui crée d'emblée un souci de cohérence : d'où vient cet oeuf et surtout, comment se fait-il que Ripley n'ait pas repéré cet objet assez gros, dans la cabine, avant de mettre tout le monde à congeler ? Bref...
"Alien 3" ne va effectivement pas apporter grand chose au monde alien, alors que le second s'était vraiment donné beaucoup de mal à ce sujet. On revient à la petite communauté sous-armée, recluse, perdue dans l'espace, devant lutter contre un alien unique qui se cache dans les recoins du vaisseau, qu'on tente de piéger en jouant la ruse contre l'instinct animal. Pour ma part, l'univers de ses prisonniers de l'espace ne m'a pas passionné, n'est pas toujours parfaitement crédible (la prison sans arme ? Mouais...), les personnages sont pour la plupart interchangeables, à part Charles Dance (malheureusement vite évacué), le casting est loin d'avoir la classe internationale du premier ! Si bien que les prisonniers deviennent interchangeables, ne parviennent pas à exister individuellement, que leurs morts nous indiffèrent... Les réactions de Ripley sont parfois étranges (pourquoi provoque-t-elle les prisonniers à la cantine ?)...
La vraie bonne idée néanmoins, c'est d'oser aller au bout du concept Alien, en proposant une SF gothique, sombre, une histoire bouclant vraiment la boucle de la série "Alien". "Alien 3" manque d'innovation, de surprise, de variété, les effets spéciaux sont discutables, le film est trop long, s'essouffle par moment... Mais ce film clôt la saga (pouvait-on le croire en 1992 !) avec une certaine intégrité...
Revu aujourd'hui "Alien 3" commence d'emblée comme une cassure avec le 2.
Ce qui crée d'emblée un souci de cohérence : d'où vient cet oeuf et surtout, comment se fait-il que Ripley n'ait pas repéré cet objet assez gros, dans la cabine, avant de mettre tout le monde à congeler ? Bref...
"Alien 3" ne va effectivement pas apporter grand chose au monde alien, alors que le second s'était vraiment donné beaucoup de mal à ce sujet. On revient à la petite communauté sous-armée, recluse, perdue dans l'espace, devant lutter contre un alien unique qui se cache dans les recoins du vaisseau, qu'on tente de piéger en jouant la ruse contre l'instinct animal. Pour ma part, l'univers de ses prisonniers de l'espace ne m'a pas passionné, n'est pas toujours parfaitement crédible (la prison sans arme ? Mouais...), les personnages sont pour la plupart interchangeables, à part Charles Dance (malheureusement vite évacué), le casting est loin d'avoir la classe internationale du premier ! Si bien que les prisonniers deviennent interchangeables, ne parviennent pas à exister individuellement, que leurs morts nous indiffèrent... Les réactions de Ripley sont parfois étranges (pourquoi provoque-t-elle les prisonniers à la cantine ?)...
La vraie bonne idée néanmoins, c'est d'oser aller au bout du concept Alien, en proposant une SF gothique, sombre, une histoire bouclant vraiment la boucle de la série "Alien". "Alien 3" manque d'innovation, de surprise, de variété, les effets spéciaux sont discutables, le film est trop long, s'essouffle par moment... Mais ce film clôt la saga (pouvait-on le croire en 1992 !) avec une certaine intégrité...
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Fatalis rex
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Re: Alien 3 de David Fincher (1992)
Ripley, elle ne voit même pas qu'une reine de 20 mètres est rentrée dans son vaisseau, dans ALIENS, alors bon...Manolito a écrit :
Ce qui crée d'emblée un souci de cohérence : d'où vient cet oeuf et surtout, comment se fait-il que Ripley n'ait pas repéré cet objet assez gros, dans la cabine, avant de mettre tout le monde à congeler ? Bref...
Je trouve le film très audacieux, aujourd'hui encore. D'ailleurs j'ai retrouvé une vieille critique de la version longue, écrite a long time ago : http://www.noosfere.org/icarus/livres/F ... Adapt=1685
Re: Alien 3 de David Fincher (1992)
j'ai vu ce w.e. la version longue pour la 1ere fois. et ma foi(s) j'ai passé de bons moments. les relations sont un peu plus développées ou expliquées, de pourquoi sont t'ils encore là ?! .. excepté qu'on ne sait pas pour le Chef pourquoi reste t'il encore... je ne sais plus si c'était déjà dans le métrage originel sorti au cinéma. mais les commentaires de Dillon sur leur communauté et le fait qu'ils en ont rien à secouer du reste du monde, c'était plutôt.. zen !. vu qu'en plus ils ont le devenir de l'humanité entre leurs mains carrèment là !
j'avais oublié qu'il y a qq rares mais belles tranches d'humour. surtout Dillon qui ponctue la longue intervention de Morse, par un "je serais d'avis que tu fermes ta gueule"
, ou le fameux pourquoi de "65"
par contre c'est juste forcèment à la fois un peu bizarre, les changements d'intonations avec les multiples petits inserts coupés rajoutés, et on ne voit plus la photo numérique de "Hicks" et la fin diffère en plus lègère, je préférais quand.
Il y a un bouquin basé notamment sur les commentaires du prisonnier "Morse" qui était sorti en anglais, qui va sortir d'ici peu de temps en français... "le rapport weyland yutani".. heureusement en version standard pour le lire.. mais aussi en version luxe à presque 300€
j'avais oublié qu'il y a qq rares mais belles tranches d'humour. surtout Dillon qui ponctue la longue intervention de Morse, par un "je serais d'avis que tu fermes ta gueule"
, ou le fameux pourquoi de "65"par contre c'est juste forcèment à la fois un peu bizarre, les changements d'intonations avec les multiples petits inserts coupés rajoutés, et on ne voit plus la photo numérique de "Hicks" et la fin diffère en plus lègère, je préférais quand
Spoiler : :
Il y a un bouquin basé notamment sur les commentaires du prisonnier "Morse" qui était sorti en anglais, qui va sortir d'ici peu de temps en français... "le rapport weyland yutani".. heureusement en version standard pour le lire.. mais aussi en version luxe à presque 300€
Re: Alien 3 de David Fincher (1992)
En fait, l'idéal c'est de regarder la version longue jusqu'au début de la poursuite finale dans les couloirs avec l'alien et de repasser a la version cinéma à partir de la.
Parce qu'en terme d'ambiance, de changements (incubation de l'alien par ex) la version longue est meilleure pour les 2 premiers tiers du film. La poursuite sus-citée tire par contre en longueur et du coup perd en rythme, et comme le souligne Fiend41 la fin de la version ciné est plus forte que celle de la version longue (fin initiale changée après fuites).
Parce qu'en terme d'ambiance, de changements (incubation de l'alien par ex) la version longue est meilleure pour les 2 premiers tiers du film. La poursuite sus-citée tire par contre en longueur et du coup perd en rythme, et comme le souligne Fiend41 la fin de la version ciné est plus forte que celle de la version longue (fin initiale changée après fuites).
Re: Alien 3 de David Fincher (1992)
Il existe une troisième versions de ce film... en roman. Écrit par Alan Dean Foster (romancier officiel de la saga Alien), adapté du script original du film (celui que n'a pas pu faire Fincher), il pousse l'ambiance et le détails beaucoup plus loin, contient des scènes absentes de toutes les versions filmé et décrit un alien radicalement différent de celui du film (l'incubation dans le bœuf devait donner une être plus massif, avec quelques particularité physique qui explique que certains l'appel "le dragon").
J'en conseil la lecture à tout ceux qui ont aimé le film et à ceux qui veulent découvrir ce qu'il aurait réellement dû être.
J'en conseil la lecture à tout ceux qui ont aimé le film et à ceux qui veulent découvrir ce qu'il aurait réellement dû être.
Re: Alien 3 de David Fincher (1992)
C'est vrai, les scènes d'exposition au début apportent beaucoup alors que le final est complétement ruiné dans la version longue. Mais on peut se passer de la vache aussi. L'hybridation avec un chien expliquait la rapidité de l'alien, c'était cohérent. Alors qu'avec une vacheCosmodog a écrit :En fait, l'idéal c'est de regarder la version longue jusqu'au début de la poursuite finale dans les couloirs avec l'alien et de repasser a la version cinéma à partir de la.
Parce qu'en terme d'ambiance, de changements (incubation de l'alien par ex) la version longue est meilleure pour les 2 premiers tiers du film. La poursuite sus-citée tire par contre en longueur et du coup perd en rythme, et comme le souligne Fiend41 la fin de la version ciné est plus forte que celle de la version longue (fin initiale changée après fuites).
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comte vonkrolock
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Re: Alien 3 de David Fincher (1992)
Vu déjà deux fois et j'ai adoré enfin de découvrir toutes ces scènes dont certains magazines à l'époque nous avait tant rabâche l'excellence, et puis cette bande annonce ou l'ont pouvait déjà en voir un aperçu... 
Au final on ce rend compte qu'elles manquaient beaucoup au montage définitif sorti au cinéma.
On peut dans le même temps comprend que les producteurs est voulu d'un film plus exploitable en salle, mais cela était dommage comme pour sur le Donner's Cut de Superman II de ne pouvoir le découvrir ainsi avec toutes ces séquences. Malgré tout il n'ont pas massacré le film de Fincher de toute façon la fin avait fuité à de multiple reprise et ils ne pouvait pas la changer pour autant. Cette fausse-vraie-version remonter par ceux-ci est assez intéressante, elle apporte une densité supplémentaire à cette histoire, des personnages plus compréhensible dans leurs façon de penser. Le gros défauts de se nouveau montage est en effet un film qui se traine un peu plus, du fait de la multitudes ces personnages ont ne retrouve pas l'équilibre du montage salle. Pareil pour cet Alien sorti du corps d'un bœuf qui se déplace réellement trop vite par rapport à l'animal dont il est issu, un montage des 2 aurait peut-être été la bonne solution ? En l'état ce BR avec ces deux montages reste une belle chose qui est enfin accessible, et rarement utilisé sur le support.
Un film que j'avais comme Manolito presque renier en salle à l'époque pour dire Star Trek 6 m'avait bien plus passionné, tous comme Batman le Défi. Mais là sur ce support s'est Byzance. Pareil pour l'image et le son même si ils n'ont pas eu les honneurs d'une restauration, s'est splendide
Au final on ce rend compte qu'elles manquaient beaucoup au montage définitif sorti au cinéma. On peut dans le même temps comprend que les producteurs est voulu d'un film plus exploitable en salle, mais cela était dommage comme pour sur le Donner's Cut de Superman II de ne pouvoir le découvrir ainsi avec toutes ces séquences. Malgré tout il n'ont pas massacré le film de Fincher de toute façon la fin avait fuité à de multiple reprise et ils ne pouvait pas la changer pour autant. Cette fausse-vraie-version remonter par ceux-ci est assez intéressante, elle apporte une densité supplémentaire à cette histoire, des personnages plus compréhensible dans leurs façon de penser. Le gros défauts de se nouveau montage est en effet un film qui se traine un peu plus, du fait de la multitudes ces personnages ont ne retrouve pas l'équilibre du montage salle. Pareil pour cet Alien sorti du corps d'un bœuf qui se déplace réellement trop vite par rapport à l'animal dont il est issu, un montage des 2 aurait peut-être été la bonne solution ? En l'état ce BR avec ces deux montages reste une belle chose qui est enfin accessible, et rarement utilisé sur le support.
Un film que j'avais comme Manolito presque renier en salle à l'époque pour dire Star Trek 6 m'avait bien plus passionné, tous comme Batman le Défi. Mais là sur ce support s'est Byzance. Pareil pour l'image et le son même si ils n'ont pas eu les honneurs d'une restauration, s'est splendide
Modifié en dernier par comte vonkrolock le mer. mai 02, 2018 9:49 am, modifié 1 fois.
Toi t'est un flic..? Non j'uis un con.
Snake Plisken Escape from NY
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Re: Alien 3 de David Fincher (1992)
Oui enfin vache ou chien, peu de rapport avec les capacités de l'alien, ce n'est qu'une "mère porteuse" quelque part.
Re: Alien 3 de David Fincher (1992)
Non, l'alien acquiert une partie du code génétique de son hôte pour survivre plus facilement dans un nouveau milieu et cela peut affecter ses capcités en le rendant plus ou moins fort, plus aptes aux déplacement aquatiques... Le fait est que l'alien normalement prévu pour le film par Fincher était radicalement différent, le studio ayant imposé un chien le design fut revu pour coller à ce nouvel hôte plus petit ce qui donne l'alien du film.