Pendant que Jean Claude Roy parle du film de la façon la plus sérieuse possible, un peu comme si on était en présence d'un Roméro ou d'un fulci (et non pas d'un Max Pécas un peu hard !) Bénoit Lestang, lui (merde, ce mec à l'air super jeune !
) n'arrête pas de déconner et de dire n'importe quoi. On dirait qu'il a légérement plus conscience que Jean Claude roy (au deumeurant très sympathique) que le film est quand même une grosse merde (ben oui, je crois qu'on peut malheureusement dire ça !) et qu'il vaut mieux en rire. Le pire est que lui même n'a pas a avoir honte de son travail assez sympa même si le film ne le met pas en valeur.Un entretien en tout cas bien sympathque !
, précipitée comme s'il manquait une demi-douzaine de plans.
. Jean-Claude Roy raconte quand même un monceau d'âneries, entre sa vision de la distribution d'aujourd'hui (comme si les frères Siritzky étaient tous blancs!) y compris lorsqu'il parle des entrées. il parle de 50 000 sur Paris...euh... c'est juste pas possible. Il faudrait que je retrouve mon Pariscope de la semaien d'après sa sortie, mais si le film a fait 10 000 entrées, ce serait déjà pas mal. Et en plus il allonge jusque 150 000 entrées province 
la remarque de Benoit Lestang à ce moment, je sais pas s'il se fout de sa gueule ou s'il est vraiment étonné. Mais bon, si l'entretien est marrant, Benoit Lestang est quand même limite par moments, mêm quanc c'est pour rire. Et puis en plus, ce bonus est tourné n'importe comment