Alors certes à l'époque ou sa a été produit, ont peut dire qu'il y avait pas mal de film mieux loti que lui du point de vue de son scénario stéréotyper jusqu’à l'os. J'en avait oublier que même si la Corée du Sud n'était que sous-traitante sur ces terres, à travers ce film Kim Moon-Saeng avait eu l'ambition de faire de son œuvre, un titre qui allais sonner l'heure du réveil pour le cinéma d'animation Coréen, voir l'animation pour adulte mondial tous court.
Bon il a clairement raté son coup, d'ailleurs lorsque l'ont écoute l'interview d'une vingtaine de minutes contenu sur le disque Pathé on y voit surtout un passionné. Maladroit dans ces choix de casting, les héros calé sur des vedette internationales comme Keanu Reeves, ou bien Isabelle Adjani en dise long sur sa manière de vouloir à la fois s'attirer un publique au delà du cercle locale, et finalement tombé dans les travers du cinéma à la Disney.
Malgré ces nombreux défauts ont peut quand même lui trouvé aujourd'hui encore un certain charme. Voir un véritable écho à la planète sur laquelle ont se trouve, surtout lorsque l'ont voit les parties écologiques se lancé dans des campagnes foireuses qui ne sont souvent comme le dis Kim Moon-Saeng lui même, que des vitrines politique à attrape nigauds.
Comment ne pas être encore une fois touché par sa sensibilité lorsque l'ont découvre cette histoire certes naïves, mais à la technique incroyable, vouloir mixé, de l'animé traditionnel donc dessiné à la main, avec des CGI, et y ajouter des maquettes pour jouer sur les ombres et lumières et pouvoir y ajouter du climat en direct. Kim Moon-Saeng à passer pas mal d'heure à essayer de recréer ces conditions météo particulière dans son métrage.
Un véritable désire de nous dire tous simplement occupons nous de nous avant de vouloir essayer de nous projeter dans un soit disant avenir vert, la planète sans remettra et nous balayera comme s'est souvent le cas. Un peut comme ces pauvres diable travaillant pour les élites d'Ecoban. Un message simple finalement mais tellement proche du réel. A force de recherché cette Eden lointain alors qu'il est tous simplement devant nous, nous en foulons le sol chaque jour

Vendu chez nous au travers d'une formidable BA, distribué comme un spectacle à la John Woo, donc bien loin des considération écologique auquel il faisait référence à l'époque, aujourd'hui pourrait-il être réhabilité ?
Une sorte d’œuvre batarde entre Gunm et d'Ergo Proxy, que j'avoue encore beaucoup apprécier.